• Et hop, je disparais de la circulation pendant un mois, chantier de fouilles oblige ! J'ai des livres avec moi, je compte bien vous les critiquer dès mon retour !

     

    Passez un bon mois d'aout !


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  • "Le dernier maitre de l'air" (ou the last airbender en VO) est un film de Night Shyamalan est Noah Ringer, Dev Patel, Nicola Peltz, Jackson Rathbone entre autre. La musique a été composé par James Newton Howard.

    Ce film est inspiré par le dessin animée "Avatar, le dernier maitre de l'air"

     

    Synopsis :


     Air, Eau, Terre, Feu : l'équilibre du monde bascule par une guerre sauvage engagée depuis un siècle déjà par la Nation du Feu contre les trois autres nations. Mettant au défi son courage et son aptitude au combat, Aang découvre qu’il est le nouvel Avatar, seul être capable de maîtriser les quatre éléments. Il s’allie à Katara, un Maître de l’Eau, et à son frère aîné Sokka, afin de stopper la Nation du Feu avant qu'il ne soit trop tard...

     

    Bande-Annonce :

    Critique :

    Avant de commencer la critique deux remarques.
    Premièrement, que les fans de Shyamalan prennent garde ! Ce film n'a RIEN à voir avec ses productions précédentes ! Donc ne vous étonnez pas comme des idiots en allant voir ce film. Depuis quand peut-on comparer un thriller avec un film fantasy ? Couillon !
    Deuxièmement, je suis un peu frustrée que le film n'est pas pu conserver son titre original : "Avatar the last airbander". Je crois que tout le monde aura vu le problème de ce titre...Il me semble d'ailleurs que Cameron a menacé de projet pour "plagiat".... No comment sur cette connerie....
    Ha, que j'ai passé un bon moment ! Je m'inquiétais un peu car j'avais eu des echos assez négatifs alors que le film n'était pas encore sorti en France.
    Le film suit assez bien le dessin animé. D'ailleurs, il annonce immédiatement qu'il s'agit du Livre I : L'Eau (j'espère que les autres livres pourront se faire !). Quelques petits changements mais rien qui ne perturbent. Certains personnages, comme Sokka et Zuko, paraissent plus adultes, ce qui fait très bon effet à mon gout. Bon, je passe sur la VF que j'ai du me taper et je conseillerai aux inspecteurs du travail de faire un tour chez les doubleur car je les soupçonne de faire travailler des gamines de 5 ans.....
    On retrouve bien les côtés tiraillés de Zuko et de Aang. L'un veut absolument retrouver l'amour de son père, mais n'a rien d'un type méchant, quant à Aang n'assume pas sa condition d'Avtar. Je suis contente car ça me gonfle de voir les gamins de dix ou douze ans qui sont super heureux de devenir des sauveurs du monde et qui ne semblent pas à voir de problèmes avec les responsabilités. Oncle Iroh est bien mais c'est dommage que Shyamalan n'est pas insisté sur son côté vieux schnock.
    Les combats sont tout simplement superbes ! On est loin du film d'art martiaux où l'on se tape bêtement dessus. Shyamalan nous propose de très belles danses ! Chacun nation a son propre style. C'est vraiment bien fait !
    Bon, par contre, il y a quelques défauts. C'est assez rare mais je pense que le film aurait mérité d'être un peu plus long ! En effet, il ne faut qu'1h40.....Je pense qu'il y a eu une certaine volonté à ne pas faire un film trop long. Du coup, certains passages ont été coupé, donnant des effets de faux-raccord....Ensuite, le début va un peu trop vite. "Mon Oncle" Iroh comme je l'ai dis, fait un peu trop sérieux. Un autre défaut mais propre à la VF, Zuko qui tutoie son oncle.....Ça fait pas terrible.....
    Avis mitigé sur la musique. Je n'ai pas bien fait gaffe pendant le film, mais le thème du générique de fin était super !
    Sur le point "non objectif", Iroh est trop canon !! Zuko et Sokka ont beaucoup de charme !
    Donc voila pour la critique de film. Des bons points, quelques mauvais, mais cela reste un bon film très divertissant et très beau visuellement !

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  • "Homo Vampiris" est un roman de Fabien Clavel (un prof de français !)

     

    Synopsis :

    21e siècle. 8 mai
    Roumanie. 2h environ. Un patient s'échappe de l'Usine, une clinique d’un genre un peu particulier.

    Londres. 13h02. Une jeune étudiante quitte en courant une conférence de l'ONU. Sa soif de connaissance a capitulé devant une faim plus insatiable encore.

    Dubaï. 21h48. Dans une luxueuse suite de L'Al-Mahara, autrefois l'hôtel le plus cher du monde, seule une panthère ressortira vivante de la violente dispute qui oppose deux hommes.

     

    http://ekladata.com/OncZ-nNEq-4xVHwSFPpLRIxLA8Y.jpg

     

    Critique :

    Encore un livre de vampire, je n'arrête pas !

    Très bon roman ! C'est avec plaisir que l'on dévore ses personnages très variés. Bon je dois bien avouer que certains d'entre eux m'ont énervé. Non pas que leurs mis en scène soit mauvaise, mais c'est leur personnalité qui est irritante. Je prendrais volontiers Nemrod pour taper sur Nina et inversement....En parlant de Nina, j'adore son franc parler ! "je suis même pas une fille connard !" Typique le genre de phrase que j'aime. J'aime aussi le fait que ce soit une vampire qui s'assume : "le l'ai buté car je pouvais pas la blairé"....ue ça fait du bien ! Y en a marre des "mordre, c'est mal".Pourtant un seul truc me gênes dans ce perso, c'est sa presque adiction au sexe. D'ailleurs, je trouve que le différente scène de sexe, qui sont très bien écrite cependant, ne servent franchement à rien.... Mais bon, l'auteur est un prof de français et les profs de français ont la réputation de voir du cul partout dans les romans.....

    Sinon, j'ai une affection toute particulière pour le personnage de Zero. D'ailleurs, je me demande vraiment si Zero est un homme...

    Un point qui m'a fait hurler : le latin !! Encore une facétie de prof de français ça ! Truc de sadique ! Perso, cela m'a irrité car j'étais toujours été nulle. Je me suis sentie frustrée de reconnaître certains mots et de ne pas avoir été capable de traduire (et bien sur, j'ai pas mon vieux dico sous la main....)

    L'univers est sombre, décadent et c'est super appréciable. Je trouve ce monde très réaliste ! Et voir l'espèce humaine sombré est aussi un régale. On voyage aussi pas mal ! Londre, Paris, Prague, Berlin, Vienne, Pékin....sans compter les localisation anciennes qui apparaissent avec les souvenirs (imaginés ?) de certaines personnages ! C'est vraiment plaisant de se balader dans différente culture ! J'ai surtout apprécié le petit passage à Babylone ! Par contre, je reste un peu...déçu, du passage au le "monde druidique"....

    Pour les vampire, c'est assez bizarre de voir les Bathory tant mis en avant alors que Dracula est lui inexistant. C'était une bonne idée même si je trouve que pas assez bien exploité....

    Seul défaut : la fin....Ça donne un peu l'impression de "j'en ai marre donc j'arrête, les lecteurs n'auront qu'à imaginer la suite...". On ne sait même comme quels seront les conséquences du dernier coup d'éclat de l'Anoclie.... Son impact sur les Bathory, ou sur le monde humain....

     

    Bon, très bon roman malgré une fin assez décevante !


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  • Il y a quelques temps sur mon FB, j'avais annoncé que je m'étais lancée dans l'écriture d'une nouvelle histoire (probablement une saga....et merde encore ! -__- ! Je veux revenir au one shot !) qui s'intitule simplement "Avalbane Connor".

     

    Dans ce nouveau projet, je peux me plonger dans un univers qui me tient à coeur et qui me passionne, les légendes Arthuriennes. Mais mon histoire ne se passera pas au temps du célèbre roi. J'ai décidé de créer un monde en me basant sur cet univers. Donc pas de Perceval et de Graal, pas d'excalibur et de dragon dormant sous les fondations d'un château. Par contre, des personnages comme Merlin, Morgane et Viviane  tiendront un rôle, bien que ces derniers soient morts depuis bien longtemps.

     

    Sinon, mon héroïne, Avalbane....la pire que j'ai jamais du créer ! Je toujours voulu mettre une scène une jeune femme violente et agressive, ce projet me permet enfin de la faire. Donc, Avalbane ne se contente pas de violence verbale mais aussi physique : elle se bat souvent et elle n'est pas tendre.

    Trop souvent, on entend dire que seuls les hommes (et les garçons)  font preuves de violence extrême. Je voulais casser cette image avec une fille violente. Il faut dire qu'une fille peu être bien plus agressive qu'un homme. Qui ne s'émeut pas quand les infos parlent de jeunes filles qui agressent des personnes faibles. On a l'impression que c'est une chose impensable. Je voulais donc aborder ce point. Je ne sais pas que cela donnera....ce sera à vous de me dire.

    Il y a aussi le principe de "groupe" de héros. Il y a le personnage principal (exemple : Aragorn) et ses copains (exemple : Legolas et Gimli). Ici, je zap ça ! Avalbane va devoir tout affronter seule. Bien sûre, elle recevra de l'aide de la part de nombreux personnages, mais jamais dans les moments critiques ou d'action. Vraiment aborder la thème de la solitude.

     

    Ensuite, pour reparler de l'univers (je vais me faire taper dessus), cela se passera dans une Université de Magie. Bon, je vous voit déjà bondir au plafond en hurlant : encore une qui se prend pour JKR et qui veut monter son Harry Potter. Je tiens à dire plusieurs choses : JKR n'a pas inventé le principe d'école de sorcier, elle ne l'a que popularisé. Ensuite, j'ai choisi de mettre en scène une ado et non une enfant. Pourquoi : par ce que je pense que mettre en scène un gamin de 11 ans qui lutte contre un méchant, c'est un peu faire de lui un enfant soldat (thème à développer, mais pas ici).

    Donc pour revenir à l'Université, je me base sur mon expérience personnelle. Donc on parlera de campus, de logement universitaire etc... Le seul truc qui fait un peu britannique, c'est le principe des Collèges. Mais je pensais au Collège de France quand j'ai monté ça.

    Pour ce qui est de la Magie, elle est divisée en trois domaines : Alchimie, Élémentaire et Possession. J'en parlerai plus en détail dans d'autre post.

     

    Enfin, se truc : que va-t-il se passer ?

    Ha ha ha....Bon, pas de révélation faut pas abuser. Donc, il va principalement se passer des choses qui relèvent de l'ordre personnel. Mon héroïne va en voir des vertes et des pas mûres. Au milieu de cela, il y aurait aussi des problèmes qu'on pourrait qualifier de "politique", mais ses problèmes vont directement découler des problèmes personnels entre les différents personnages.

     

    Sur la forme, j'ai essayé de tenir compte de tous les conseils que j'ai pu recevoir. C'est-à-dire qu'il y a moins de dialogue, plus de descriptions aussi bien du physique des personnages, des décors et environnements que les états d'esprits des divers personnages. J'essaie aussi de plus travailler la psychologie.

     

    Donc voila. Je ne sais pas quoi dire de plus. Je suis ouverte à toute vos questions. Cinq chapitres ont déjà été rédigés mais méritent une petite réécriture. Je ne pense pas pouvoir en écrire d'autre avant septembre pour cause de chantier de fouille.

    Pour le moment, elle n'est pas prévu sur Plume Imag'In Air.

    Bonus :  vieux dessin de l'héroïne.

     

    http://ekladata.com/QchEs6ytnxzr2xsCkUll8FjnrDM.jpg


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  • J'ai une nouvelle fois participé au challenge que Caliope a mis en place.

    J'espère que cela vous plaira, et je remercie l'organisatrice de ses bonnes idées ! 

     

    Avec la musique qui m'a inspiré

     

     

     


     

    Les Nuages naissent dans les Montagnes.

     


             Doucement, tendrement portés par le vent, nous, les gouttes, montons lentement vers les hauts monts verdoyants. La chaleur nous enveloppe. Le voyage est calme, paisible. Petit à petit nous voyons nos mères-rivières rapetissées, le coulis de leurs eaux se fait de moins en moins entendre.

    Nous voila enfin sur les sommets boisés des montagnes. Le monde est beau. Il s’étend loin vers l’horizon infini. Les rivières semblent gigantesques, pourtant elles s’affinent en s’éloignant, calmes et ondulantes entre les rochers et les villages. Un sentiment de plénitude nous gagne tant tout cela nous émerveillent. Ha ! qu’il est bon de se retrouver tout ensemble, condensés, dans les nuages. Plus que jamais nous nous sentons flottés, le vent nous caressant avec délicatesse.

    Puis l’effervescence nous gagne, nos pères-nuages quittent les monts pour survoler la vallée où circule ma mère. Je la voie, naissante, fougueuse et dangereuse, se frayer un chemin sur les côtes rocailleuses. Elle s’insinue avec grâce et force entre les pierres. Dans la vallée, elle se calme, son lit se ressert. Puis elle devient un long chemin d’eau qui court vers une terre que peu d’entre nous connaisse.

    Une lourdeur commence à nous envahir. Oui, nous le sentons. Nos nuages, fatigués en ce jour, vont nous laisser tomber très vite. Tous, nous espérons tomber au sein de notre mère. Le poids qui nous gagne nous emplie d’une joie sans nom.

    Soudain, le voile qui nous enrobait se fend. La terre apparait en dessous de nous. Et puis c’est la chute !

    Ha, quelle poussée d’adrénaline ! La vitesse nous gagne. C’est la fête. Le court instant, où nous ne sommes ni dans le ciel ni sur la terre, nous laisse croire que nous n’appartenons plus au cycle des pluies. Le vent nous fait prendre une multitude forme, nous fait changer de direction, nous retourne. C’est un véritable manège qui nous empli de bonheur. Mais cela n’est rien comparé à ce qui nous attend, surtout pour les chanceux qui tomberont dans le lit de notre mère.

     

                Aujourd’hui, nous eûmes ce plaisir.

    Le sol se rapprochait de plus en plus, notre mère se dessinait de mieux en mieux jusqu’à ce que venions violemment percuter sa surface. Les trombes d’eau de la rivière nous emportèrent dans son torrent. Ainsi noyé, nous ne faisions plus qu’un ave elle.

    Son tourbillon nous entrainait avec une rage folle. Le tournoiement puissant nous fracassait contre les roches qui jonchaient le fond de la rivière. Tous étaient sans dessus dessous. Il n’y avait presque aucun moyen de savoir où se trouvait la surface. Certains d’entre nous se faisaient expulser, gagnant les rivages, leurs courses se terminant ainsi. Il  faudrait les prochaines chaleurs pour qu’ils puissent enfin regagner nos pères-nuages.

    De notre côté, nous étions toujours dans ce tumulte infernal. Rien d’autre en ce monde ne pouvait nous procurer plus de plaisir. Virage à droite, roulé-boulé à gauche, expulsion en haut, culbute en bas, vrille au milieu, parfois un saut en surface.

    Les eaux impétueuses nous faisaient rouler, nous chahutaient, nous entrainaient dans une danse folle dont nous ne méprisions pas les mouvements.

    Ce parcours fou nous fit dévaler tout le vallon. En arrivant en bas, le courant se calma doucement, nous laissant ainsi le temps de profiter encore un peu des tumultes de notre mère. Puis, épuisés par notre chute et notre course, nous finirent par nous laisser aller à la douceur et à la tendresse de la rivière. Ha, quelle expérience pour nous.

     

    Nous coulions lentement, nous approchant du bord.  Avec une délicatesse toute légère, nous nous échouions sur les galets qui parsemaient les berges. Puis, appelés par le vent et la chaleur, nous reprirent notre long pèlerinage vers les montagnes vertes de notre origine, là où nos pères-nages naissaient.  

                 


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  • "Le Vampyre" est le second tome de la Chronique des Immortels de Wolfgang Hohlbein.

     

    Synopsis :


    Brûlez les sorciers ! Seuls survivants d'un naufrage commandité par l'inquisiteur Domenicus, Andrej, Frederic et Abou Doun le pirate tombent aux mains du prince Vladimir Tsepech, mieux connu sous le nom de Draculea l'Empaleur. Dans l'ombre terrifiante de la forteresse de Vaïks, Andrej fait l'expérience de la cruauté de Draculae, en quête d'immortalité... et du secret des Delañy. Devient-on vampyre ou l'est-on par nature - par malédiction ?

     

    http://ekladata.com/pWL-BjPD11mW1GofyiSon27sylk.jpg

     

    Critique :

     

    Le premier tome m'avait déjà emballé, je ne suis pas déçu par ce second tome ! Et la couverture est plus que belle, simplement magnifique !

    L'auteur a vraiment l'art de faire des renversements de situation sans pareil ! Le style est toujours aussi appréciable ! Il décrit à merveille les sentiments des personnes, surtout ceux d'Andrej qui se sent changer après ses transformations.

    Abou Doun me fait délirer avec ses quelques pointes d'humour, ce qui permet d'alléger parfois une ambiance lourde.

    Tepesh est aussi traité avec un plaisir immense ! Pour une fois, ce n'est pas lui le vampire, un plaisir ! Il est méchant, calme et sadique ! Un mélange quoi fait de lui un fou raisonné et prudent ! Un personnage très complexe qui semble vraiment sans faille. Un calculateur méticuleux qui ne semble rien laisser au hasard ! Un pur monstre !

    Pas de manichéisme, ce qui fait de ce roman est une perle ! Ha, que c'est bon !

    Sinon, la fin ! Quelle fin ! S'il n'avait pas été minuit et que j'avais été seule, j'aurai poussé des hurlements d'extases ! C'est tout simplement incroyable ! L'auteur est un dieu ! Et en plus, adieu Frédérick que je ne pouvais pas blairer depuis le début de cette superbe épopée !! Non, superbe, sublime, merveilleuse fin !

     

    Voila, je ne sais que dire de plus. J'ai hâte de lire le troisième tome, bien que je pense cela ne pourra se faire qu'en septembre ! J'enrage !


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  • Comme vous le savez (ou pas) je suis administratrice d'un forum consacré principalement à la littérature et aux écrits de jeunes auteurs, Plume Imag'In Air. Dans ce cadre là, notre mascotte Chenille Lecter a réalisé une interview avec chacun des admins pour nous présenter et parler de ce projet.

     

    Je vous mets donc ici le lien pour vous permettre de lire ma rencontre. J'y parle (rapidementà de moi, de mes pojets, de Plume Imag'In Air, de mes attentes.

    J'espère que cette rencontre, ainsi que les présentation que vous trouverez sur le blog, vous donnera envie de rejoindre cette belle aventure qu'est Plume Imag'In Air !

     

    Au passage, Plume a sa communauté sur Overblog, rejoingnez là !


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  • Après de heures de longues souffrances pour écrire le dernier chapitre, je suis heureuse de vous annoncer que j'ai (enfin) finit le premier tome de ma série des Yggardiens !

    J'avais présenté ce premier tome ici.

    Bon, je tiens tout de suite à modérer mes propos. C'est la fin de la première versions ! Si j'ai le temps, un jour, et si j'arrive à avoir assez de recul, je pourrais reprendre ce premier tome pour l'approfondir un peu, surtout en ce qui concerne la psychologie des personnages (domaine où j'ai encore des lacunes) et dans la description !

     

    Sinon, pour ce qui concerne la suite de cette série/saga, je vous avais déjà fais par du titre dans cet article. Ce nouvel épisode verra apparaître plein de nouveaux personnages. Je ne l'ai pas fais exprès non plus, mais il y aura plus de vampire que jamais ! Je ne pense pas qu'on en revoit autant dans les tomes qui suivront. D'ailleurs, quand je m'en suis rendu compte, j'ai presque pété un câble de peur que l'on m'accuse de voguer sur la vague vampire du moment.... Mais bon, comme je sais que ce n'est pas ça, j'espère juste que les gens me croiront....
    Par contre, je ne pense pas attaquer se second tome avant mi-septembre.....

     



    Logo Moderne des Yggardiens

     

    Cette histoire est toujours en cours de publication sur Plume Imag'In Air.


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  • "Iron Man" est un film de Jon Favreau avec Robert Downey Jr, Terrence Howard, Jeff Bridges, Gwyneth Paltrow.

     

    Sysnopsis :

    Tony Stark, inventeur de génie, vendeur d'armes et playboy milliardaire, est kidnappé en Aghanistan. Forcé par ses ravisseurs de fabriquer une arme redoutable, il construit en secret une armure high-tech révolutionnaire qu'il utilise pour s'échapper. Comprenant la puissance de cette armure, il décide de l'améliorer et de l'utiliser pour faire régner la justice et protéger les innocents.

     

    Bande-Annonce :

    Critique :
    Je n'avais pas pu voir ce film à sa sortie, je n'ai pas vu le second film non plus. Premièrement, je ne connais pas super bien ce super héros, je me souviens surtout d'un dessin animé que je regardais plus jeune. Il y a aussi ce nouveau dessin animé en 3D diffusé sur FR4 mais je n'ai pas été super emballé. Passons.

    Donc, commençons par le côté subjectif de ce film : il est bien et Robert Downey Jr y est pour quelque chose.
    Pour le fond, rien de surprenant dans ce film, tout est prévisible ! Même lorsqu'à la fin Stark avoue être Iron Man, les bandes-annonces du 2 m'ayant préparer à une telle révélation. Là où il aurait pu avoir une surprise, c'est le présence de Samuel L. Jackson à la fin, en Nick Fury. Mais bon, je savais qu'il avait tourné dans ce premier opus et la présence du SHIELD m'a immédiatement fait comprendre son rôle.
    Un bon point pour toute la partie où l'on voit Stark mettre au point son armure jaune et rouge et les essais. Mais les choses s'arrêtent là.
    Dommage que les psychologies des personnages de soient pas plus approfondies ! Ça aurait pu combler les lacunes du scénario.
    Ensuite, mais ce n'est pas une critique spécifique à ce film, j'aime pas que les supers héros tuent leurs ennemis ! Non mais c'est vrai ! Un super vilain tu quelqu'un c'est un montre, un super héros tue un super vilain c'est un héros ! Mais de quel droit ce super héros décide t-il de mettre fin à la vie d'une personne aussi méchante soit-elle....Enfin bref....
    Enfin voila....
    Bon divertissement, mais c'est pas un drame si vous l'avez pas vu ou pas indispensable dans une DVDthèque.
    Pensée pour mon amie Elsa qui bave devant ce film...on se demande pourquoi....


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  • Plume Imag'In Air a lancé un concours cet été consistant à faire une courte nouvelle à partir de cette photo.

    http://i175.photobucket.com/albums/w127/xian_palpatine/Blog%20Plume/_Rves.jpg

    (Photo de Hellisa, visible sur son BOOK. /!\ ne pas utiliser sans sa permission.)

     

    J'ai présenté ce texte.

     


    La Malédiction des Hommes-Roseaux




    Il y a de cela de nombreuses lunes, les miens et moi-même étions de fières et courageux chasseurs. Nous parcourions le monde, à la recherche de gibiers et de femmes. Nous formions un clan très soudé d’hommes forts et robustes. Aucunes bêtes ne pouvaient nous échapper. Le Grand Loup Blanc était notre guide et notre protecteur.
    Un jour, au détour d’une rivière, dans un merveilleux petit vallon, nous vîmes de magnifiques jeunes filles à la peau pâle et aux cheveux gris teintés de reflets bleutés. Elles jouaient gaiement sur les berges. Éblouis par leurs grandes beautés, nous décidâmes de tout faire pour conquérir leurs charmes. Comme le veut les coutumes de nos contrées, nous nous sommes présentés nus devant elles, exhibant fièrement nos sexes.
    Les jeunes femmes ne furent nullement impressionner, au contraire, elles prirent peur. Par des bonds gracieux, elles se jetèrent les unes à la suite des autres dans les eaux de la rivière. Aucune d’entre elles ne refit surface, ce sont de majestueux cygnes aux plumes blanches étincelantes qui ressortirent des profondeurs.
    Notre désir pour ces créatures fut renforcé par ces métamorphoses : objets de désirs et gibiers élégants. Mus par une pulsion que nous avions peine à contrôler, nous avons veillé, monté des pièges et mis en place de nombreux stratagèmes pour acquérir ces femmes. Toutes nos tentatives échouèrent.

    Une nuit, l’un de nous rêva. Il vit le Grand Loup Blanc s’approcher des femmes, jouer avec elles. Juste avant de sortir du pays des songes, il vit également notre guide spirituel les yeux injectés de sang, de la bave rouge coulant de sa mâchoire entre ses crocs acérés.
    Le lendemain matin, il nous fit part de sa vision. Dans la journée qui suivit, nous traquions et abattions suffisamment de loups pour tous nous dissimuler sous leurs peaux. Revigorés et enthousiasmés par cette extraordinaire partie de chasse, nous ne nous étions pas aperçût que le Grand Loup Blanc nous guettait, attentif à toutes nos actions.
    Puis vint le grand jour, celui où nous allions enfin atteindre celles que nos corps réclamaient violemment.
    Lentement, nous nous sommes glissés parmi ces femmes à la chevelure grise. Notre arrivée les perturba, les rendirent méfiantes. Le temps et notre patience jouèrent pour nous. Elles commencèrent à caresser les doux poils des peaux de loups qui recouvraient nos dos. Nous nous laissâmes faire. Puis elles acceptèrent que nous posions nos têtes sur leurs genoux. Enfin, nos mains virent toucher leurs peaux douces comme de la soie. Ce simple contact nous transcendait de désir.
    Alors que nous nous apprêtions à nous révéler et a, enfin, assouvir nos pulsions, le Grand Loup Blanc bondit au milieu du groupe compact que nous formions. Au son de hurlement de mort, les femmes se ruèrent dans la rivière se transformant en cygnes blancs. Nous, nous n’étions plus en mesure de bouger. Une force invisible et puissante nous empêchait de nous mouvoir ou bien de crier. Tel une bête féroce faisait la fine bouche pour choisir sa proie, le Grand Loup Blanc déambula parmi nous, ses yeux injectés de sang, nous dévisageant.
    La force imperceptible qui nous emprisonnait nous traîna vers les eaux de la rivière, nous laissant flotter à sa surface. Elle dirigea nos regards vers les sublimes cygnes, les rayons du soleil faisaient luire leurs plumes. Le Grand Loup Blanc vint s’interposer entre les majestueux oiseaux et nous. Une voix se fit entendre dans nos esprits.
    « Petits êtres faibles, je vous ai toujours accordé ma confiance et ma protection. Je vous avais mis en garde. Nul ne peut prendre mes filles sans en subir les conséquences ! Votre désir bestial nous a fais oublier ce que vous étiez : de grands et fières chasseurs. Je vous condamne à dévorer du regard ce que jamais vous ne pourrez avoir. »
    A ces mots, nos corps se mirent à se transformer. Notre peau se durcit, se changeant en un bois à la fois souple et dur. Nos cheveux devinrent de longues bandes, enchevêtrement de fibres, à allure de tissu. Puis ainsi métamorphosés, nos corps s’allongèrent pour que nos pieds-racines s’enfoncent dans les boues au fond de la rivière.

    C’est ainsi, que nous, les Hommes-Roseaux, sommes condamnés à regarder ces créatures, tantôt cygnes tantôt femmes, se baigner. Parfois, les calmes et soyeux volatiles viennent à nous, nous effleurent, mais jamais ne restent à nos côtés. Nous, nous les voyons se reposer au loin, posés sur un rocher émergeant.
    Au dessus de nous, le reflet du Grand Loup Blanc se dessine dans les sombres eaux de notre prison.


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