Une fois n'est pas coutume, je me suis dessinée. Plus exactement, je me suis représentée....Car vous le constaterez, ce n'est pas très réel....

La chose est claire et net : c'est le point mort.

Avec mes énormes heures de cours, près de 35 par semaine (comparé à mes 17h des année précédente) je n'ai pas énormément de temps à consacrer à mes écrits.

Pourtant, c'est pas les idées et l'envie qui manquent. Bon, là exceptionnellement, je suis malade depuis une semaine, et malade bien comme il faut ! J'espère que ça va vite passer parce que ça commence vraiment à me barber.

Sinon, j'ai imprimé "Novgorod" (et j'ai usé une cartouche toute neuve) dans l'espoir de le confier à la correctrice bénévole (ma maman quoi...). De plus, si je parviens à relire cette horreur, je pourrais  commencer à noter les choses à modifier ou à revoir. J'ai eu pas mal de commentaire sur ce texte, une aide précieuse pour améliorer ce récit. La vrai question est : quand vais-je pouvoir faire cela ? Une fois cela fait, aurais-je le temps et l'envie de tout réécrire tant je croule, littéralement, sous les idées de nouveaux projets !

Sinon, j'ai presque finis de la publier sur Plume Imag'in Air.

Pour le second tome, "Le Clan de Prague", je vous avais proposé le prologue. Mais maintenant, il faudrai se mettre au texte ! Là encore, je sais ce que je veux faire. Le récit va se découper en trois parties. La première, et la principale, concernera Novgorod. J'ai tous les événements jusqu'à un certain temps T. Le problème, c'est que je ne sais pas si je dois arrêter le récit de Novgorod à ce temps T ou si je fais la césure pour le tome 3 avant....A voir. La seconde partie concernera Kureno, la troisième et dernière sera centrée sur Dajan et Indriðason. Pour ces deux parties, il y a un certain flou sur les événements. J'ai les choses en gros, mais je ne sais pas encore comment je vais les relier avec la première partie. Mais je pense que les idées viendront en écrivant et qu'il ne faut pas que je me bloque pour commencer. Après tout, je n'ai pas forcément besoin de la fin pour commencer.

Là où je bloque, ce sont sur certains personnages secondaires qui vont entrer en jeux, surtout dans la partie de Novgorod. J'ai pour habitude de faire des fiches personnages avant de me mettre à la rédaction (cela évite que certaines personnages ne changent de couleurs de cheveux en plein milieu du récit), et je n'ai pas encore réussi à les faire. J'ai même pas les noms de ces personnages secondaire ! Je n'arrive pas à me mettre d'accord ! Il faut que je me décide car j'ai vraiment envie de me lancer dans ce second volume ! Je devrais peut-être proposer un sondage....Cela pourrait être cool....A réfléchir.

Pour les tomes suivants (hé oui ! j'en envisage beaucoup), je pense que le 3ème ira dans la "continuité" des deux premiers. Par contre, le quatrième devrait plus être une histoire à part. Pour tenter de m'expliquer, je vais prendre la métaphore de la quête. Mes héros suivent donc une quête (tome 1, 2 et 3) qu'on pourrait dire principale. Mais ils vont devoir faire une pause dans cette quête principale pour accomplir une quête secondaire. Cette seconde quête n'aurait probablement pas de lien immédiat avec la quête principale.

Bon, la chose est un peu simpliste, mais ça va dans ce sens.

Parce qu'on estime que 75 000 femmes sont violées en France et que c'est assez !Des mouvements et associations féministes lancent cette campagne !

La Honte doit changé de camps ! Peu importe ce qui se passe, c'est l'Homme qui est responsable et qui devrait avoir honte !

Participez à la campagne que le viol et signer la pétition !

"Extra-Muros" est un cycle de 3 tomes ": La griffe du Diable", "Le bal des Gargouilles", et "L'apprenti sorcier". Le cycle a été réalisé par Daniel Hulet.

Synopsis du tome 1 :

Un groupe de six jeunes gens s'adonnant à des jeux de rôles découvrent un lieu-dit mystérieux qui renferme un terrible secret. D’autres individus s’y intéressent : les autorités du village de Mordange, une secte inquiétante, un curieux promoteur qui tente d’y implanter un gigantesque parc d’attractions, et un rôdeur vivant dans l'ombre de la forêt.

Synospsis du tome 2 :

À Mordange, petit village des Ardennes françaises, c'est l'ouverture du bal des gargouilles, des sinistres partenaires qui protègent ou convoitent le terrible secret enfoui sous la chapelle templière.
La Mort, le maître de danse, donne le ton : complots, meurtres horribles, empoisonnement, sorcellerie...
Une effroyable sarabande au milieu de laquelle un groupe de jeunes campeurs enquêtent malgré les menaces et la peur qui les tenaille.

Synopsis du tome 3 :

Dans ce dernier volet du cycle de Mordange, Arthur Pic, l'étrange jeune homme au masque de fer, se découvre un nouveau don. Un dangereux pouvoir d'apprenti sorcier qui précipitera le village ardennais et tous ses acteurs dans une terreur sans nom, point culminant et révélateur d'un passé templier et d'un présent compromettant. Au centre de ce délire temporel, les jeunes campeurs iront de surprise en surprise.

Critique :

Rien que mettre en scène quelques choses dans les Ardennes c'est s'assurer que l'aventure va être pas net. Il suffit d'y aller une fois pour comprendre (comment que je suis méchante avec les Ardennes moi....).

Cette série en huit-clos dans un petit village des Ardennes est sombre et passionnante. Des flash-back viennent parsemer le récit.

Les événements se suivent à un ryhtme affolant où tout un tas de monde semblent s'intéressé un peu trop près d'une étrange colline.

J'ai remarqué que les demoiselles de cette série sont bien plus intrépides que les hommes : hé même pas peur des grottes ou de l'homme au masque....

Par contre, ce sont encore ces pauvres templiers qui prennent....Ha, ils sont vraiment partout ceux-là.

Le 2 décembre se tiendra à l'Université Rennes 1 le second Séminaire Archéologique de l'Ouest du second semestre 2010. Il s'intitulera "L'Age du Bronze dans l'Ouest de la France. Et si on  parlait métal ?"  et est organisé par Muriel Fily et Cyril Marcigny.

Je vous parle de ce SAO c'est par ce que j'y ferais ma première intervention archéologique ! Bon, moins y a de monde, mieux ça me plait car j'ai trop peur en public...Mais vous pouvez venir quand même.

N'hésitez pas non plus à faire passer l'information sur ce SAO !

Haaa SW...toute ma jeunesse...et pour moi, une source d'inspiration sans limite ! Entre la multitude de personnages, les relations entre les protagonistes, la politique, la Force, le pouvoir...autant dire que je peux faire ce qu'il me plais. Et encore, quand on est un GROS fan comme moi, il y a aussi tout l'univers expansé !

La chose qui m'inspire le moins dans cette saga intergalactique, ce sont les planètes. Ou alors, la chose se fait de manière bien inconsciente. Il faut dire qu'avec la montagne de jeux vidéo que je me fais (de temps en temps), il est difficile de trouver de l'originalité.

Ce que j'aime faire (en bien ou en mal) c'est de reprendre un personnage, une situation et de l'adapter à ma guise. Bon, pour un auteur, je ne sais pas si c'est une "bonne" chose mais comme j'écris surtout pour m'amuser....Bon, je ne pense pas aller jusqu'au plagiat (enfin j'espère) car là, je n'y vois aucune sorte de "création". Je pense que tout le monde (ou du moins les fans) de voir Ben Kenobi se prendre une taloche dans la tronche (surtout quand il sort des blagues nulles), de voir l'Empereur au petit déj'....heu je crois que je m'égare....

D'ailleurs, SW n'est pas le seul film à suber ce sort. N'importe quelles scènes, n'importe quels personnages, n'importe quelles situations dans n'importe quels livres, films, série qui me plaît mais que j'aimerai voir autrement ou prolongé subissent ce sort. Je crois que l'une des mes plus grosse inspiration/copiage vient de Hellboy (du film) dont j'ai repris pas mal d'élément pour mon premier tome des Yggardiens....

Bon....encore un post pour ne rien dire...

Seth est un personnage de Nathanael Daswhox qui apparaitra dans son projet littéraire "Le peuple des Ténèbres". Merci de ne pas utiliser ce dessin sans mon autorisation ou celle de N. Daswhox.

"Morse" ("Latt den ratte komma in" en VO)  est un film de Tomas Afredson avec Kare Hedebrant, Line Leandersson.

Synopsis :

 Oskar est un adolescent fragile et marginal, totalement livré à lui-même et martyrisé par les garçons de sa classe. Pour tromper son ennui, il se réfugie au fond de la cour enneigée de son immeuble, et imagine des scènes de vengeance. Quand Eli s'installe avec son père sur le même pallier que lui, Oskar trouve enfin quelqu'un avec qui se lier d'amitié. Ne sortant que la nuit, et en t-shirt malgré le froid glacial, la jeune fille ne manque pas de l'intriguer... et son arrivée dans cette banlieue de Stockolm coïncide avec une série de morts sanglantes et de disparitions mystérieuses.
Il n'en faut pas plus à Oskar pour comprendre : Eli est un vampire. Leur complicité n'en pâtira pas, au contraire...

Voila mon court texte que j'ai écris pour le concours de Plume Imag'in Air "Sous Contrainte 1". Il fallait écrire un texte, de maximum 5 pages, qui devait contenir un zombie dépressif, le mot "conceptuel" et le zombie doit faire pousser des citrouilles.

Monologue du Zombie

            La vie est injuste. Mais qu’est ce que je raconte ! Je suis mort depuis des siècles !

La mort est injuste…C’est ridicule comme remarque car la mort est toujours injuste !

            Reprenons, il y a longtemps quand j’étais encore un…ouai, disons humain, je suis parti à l’aventure sur un bateau pour voir le nouveau monde. Ma direction : Haïti. Petit con que j’étais, et malgré les mises en garde des mes ainés, je me suis aventuré, la nuit, dans un cimetière. Enfin, cela est un peu exagéré. A cette époque, les noirs, les esclaves, étaient juste balancés dans des fosses qu’on aurait aisément pu confondre avec des trous à purin.

Donc, c’est en cette nuit –comme par hasard- que ma vie –oui, j’étais encore vivant à ce moment là- que tout à basculer.

Je me souviens de peu de choses. J’ai du prendre un coup sur la tête. Il y avait des torches, des senteurs étranges qui me faisaient tourner la tête. Des gens de peau sombre et aux marques blanches dansaient   autour de moi en agitant des poulets morts. Ensuite, il y a encore un gros trou dans ma mémoire. Quand je me suis réveillé, je ne pouvais plus contrôler mes mouvements. C’était comme si quelqu’un me manipulait. Je me suis –involontairement bien sur- joins aux danses et autres rîtes étranges qui consistaient à éparpiller les entrailles de gallinacés sur les tombes.

Puis je suis retourné dans l’obscurité. Au début, je pensais que c’était mon esprit qui était embrumé par l’étrange fête de la veille. Non ! C’était bel et bien dans le noir, mais je n’étais pas dans le coltard. J’étais dans un cercueil ! enterré six pieds sous terre ! Je vous épargne les détails sordides qui m’ont permis de sortir de ce trou.

            C’est là que ma vie, enfin ma mort, est devenue un enfer : je suis un zombie.

Zombie, dixit le Petit Robert : n. m. – 1832 ; créole zonbi. 1. Fantôme, revenant (dans les croyances vaudou des Antilles). « les noctambules le prirent pour un zombie et l’accablèrent de jurons pour la renvoyer dans sa tombe » (P. Chamouseau). 2. Par ext (1975) Personne qui parait vidée de sa substance et dépourvue de toute volonté. Errer comme un zombie.

En ce qui me concerne, c’est bien la première définition qui me concerne. Il y a cependant une chose qui n’est dit nulle part, dans aucuns textes. Si un zombie sort de terre et que personne ne parvient à le l’y renvoyer, il pourrit ! Lentement, certes, mais pourrit ! Je vous laisse également le soin d’imaginer à quoi je ressemble aujourd’hui. Je pue tellement que les parfums et autre déodorants ne suffisent plus. Je dois rester cloitrer dans ma petite maison de campagne. Mes vêtements ne sont que des choses longues et épaisses. Une petite trousse des coutures ne me quitte jamais –au cas où je perde un doigt ou une oreille. La créature de Frankenstein est un petit joueur niveau rafistolage.

            Plus j’écris, plus j’ai envi de pleurer. Je tombe en morceaux, je sens pire que des pieds, mon haleine est cette d’un chacal…et mon potager vient de partir en fumée !

Mais continuons ce récit.

J’ai erré pendant longtemps, avec difficulté pour cacher ma décomposition. Cela n’a pas été simple. Et puis il a fallu investir des sommes astronomiques dans des parfums de plus en plus forts.

Un jour, j’en ai eu marre de cette chienne de vie –ou de mort. J’ai investie dans une petite maison, paumée au milieu de nulle part. Là, j’ai peu aisément me dissimuler aux yeux du monde. Pour m’occuper, je ne suis abonné à plein de magazine sur les arts, la décoration, le jardinage, la littérature et les sciences.

Malgré les risques de démembrement, je me suis mis en tête de faire un jardin, de faire pousser des légumes : choux, navets, carottes, petits pois, citrouilles. Les récoltes allaient être merveilleuses ! Et mes citrouilles ! Ce ne sont plus des cucurbitacées, mais des monstres ! Des bêtes gigantesques. De toute mon existence –lamentable-, je n’avais vu d’aussi grosses citrouilles. Je n’ose même pas imaginer le prix d’une seule de ces géantes. Les doigts et mes orteils ont souffert le martyre pour en arriver là. Les bras aussi. J’ai même du mal à trouver de la place pour de nouvelles coutures.  

Et tout ça pour en arriver là !

Mon beau potager ! J’y avais mis tout mon cœur et mon temps. Combien de doigts ai-je perdu dans cette entreprise ? Combien de fois ai-je du recoudre mes bras et mes pieds pour faire les sillons ? Il a pris feu ! Comment ? Je n’en sais strictement rien ! Il n’y a personne à des kilomètres à la ronde. Mais ça a flambé ! Tous mes légumes…

Là où j’ai le plus de peine, ce sont pour mes citrouilles. Mes pauvres citrouilles ! Elles étaient si grosses et si belles. J’allais pouvoir me faire de sublimes tartes et succulentes soupes. Mais pourquoi ? Pourquoi ? Qu’ai-je dont fais pour mériter cela ?

Je ne peux même pas me suicider ! Je suis déjà mort...et mes citrouilles aussi ! Me tailler les veines. Mes mains vont tombées. Me pendre. Ma tête se détachera de mon corps. Faire une overdose de médicament. Je me réveillerai quoi qu’il arrive. Me jeter du haut d’un pont. Je me disloquerai. Je ne peux pas mourir !

Et puis il pleut ! Mon potager a brulé ! Il ne pouvait pas pleuvoir à ce moment là ? Ce n’est pas juste ! Ce n’est pas normal !

Il pleut et je n’ai rien à faire ! Je n’ai que ce vieux magazine d’Art Conceptuel qui tente de convaincre un public qu’une femme sous morphine qui s’enfonce des épines de roses dans le bras dans une « performance » équivaut à une toile de grands maitres de la Renaissance.

            La vie, pardon, la mort, ma mort est une suite de d’événement tragique n’ayant pour unique but de me faire payer mon ignorance et mon insouciance de jeunesse. Ha si seulement j’avais su. Oui, si j’avais su ! C’est bien malin de ce dire ça maintenant ! On a tout le temps de penser quand on est mort ! Enfin, quand on est un zombie. Je ne pense pas que mes petits camarades qui pourrissent dans un cercueil pensent !  

Vie…non, Mort de merde !

"Histoires Extraordinaires, T.02 : La Mort Rouge" est une BD de Roger Seiter au scénario et Jean-Louis Thouard au dessin. Elle s'inspire des nouvelles "Le Masque de la Mort Rouge", "Le Roi Peste" et "Le Chat Noir".Le tome 01  et 02 ont été critiquées  ici et là.

Synopsis :

Ce quartier est un des plus anciens de Baltimore ! Il a été frappé voilà un siècle par une terrible épidémie de variole, d'où le nom de "Mort Rouge"... Jugé insalubre, il fut condamné pour éviter la propagation du mal. Depuis ce temps, on parle de la "Mort Rouge" comme d'un lieu maudit et maléfique !

Critique :

Pas grand chose à dire sur ce tome, si ce n'est qu'il s'inscrit très bien à la suite des deux premiers tomes.

Quelques petits défauts, comme une fin un peu rapide et la "réapparition" de Jupiter (j'en avais parlé dans la critique du tome 2). Et puis Keeza et William qui se mettent ensemble me parait être un petit raccourcis de scénario pour faire en sortes que les quatres personnages principaux, Edgar et William pour les hommes et Kitty et Keeza pour les femmes, se mettent en couples....