• Après un article où j'apparaissais (concernant l'archéologie), me voilà une nouvelle fois dans le journal dans le cadre de la création du réseau d'Osez le Féminisme sur Rennes.

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  • Mes héroïnes ont toutes tendances à être désigner par ces qualificatifs : rebelle, indépendante. Et Macha n'échappe pas à cette règle.

     

    Le contexte historique dans lequel elle évolue est d'ailleurs très propice pour mettre en scène un tel personnage féminin, le XVIIe siècle. Certes, je ne prétends pas reconstitué "réellement" cette période de l'histoire (par manque de temps pour mes recherches principalement), mais j'essaie de faire en sorte de respecter les "bases". J'espère que quand les gens lisent (s'ils lisent...) les aventures de Macha, qu'ils aient l'impression d'évoluer dans la Paris de Louis XIII.

     

    Donc, revenons à notre demoiselle.

    Macha est une jeune trentenaire, grande et bien taillée, avec de long cheveux noirs qu'elle coiffe en catogan et qu'elle repousse sur sa tête avec un large bandeau, et des yeux verts de toute beauté. Son aspect légèrement androgyne est accentué par les vêtements hommasse. Une large balafre lui parcours la partie droite de son visage, de haut en bas. 

    Elle a un fort caractère, ce qui semble faire tout son charme. Elle peut tout aussi bien se montrer très sociale et charmante que colérique et violente. C'est une personne sur laquelle on peut compter sans soucis. Elle est très dévouée envers ses amis. Sur certains points, elle est d'une mauvaise fois sans égale. 

    Une partie de son passé passe pour une énigme. Personne ne sait d'où elle vient. Mais son arrivé dans une célèbre Ecole d'Arme (où elle rencontrera Tolbiac et Sagamore), laisse entendre qu'elle serait bien née. Mais elle ne parle jamais de ses origines. Après son départ précipité de l'Ecole, personne ne sait où elle va ou ce qu'elle fait.

     

    Elle évolue dans un univers où elle a bien l'intention de faire ce qu'elle veut de sa vie. Ayant tirée un trait sur son passée, elle s'installe bon gré mal gré en dans une boutique (à cette époque, les boutiques font aussi habitations), celle du Le Toulousain, en compagnie de Margot, fille adoptive de ce dernier, Enguerrand, garde du Cardinal, et Tolbiac, mousquetaire du Roi et optionnellement ancien ami de la demoiselle. A Paris, malgré une arrivée chaotique, elle espérait trouver une existance calme. Mais elle se retrouve sans arrêt empêtrer dans des histoires politiques. Ses acolytes Enguerrand et Tolbiac en sont les principaux responsables. A ceux-là s'ajoute Sagamore, le anti-héros, voir méchant, de cette série.Outre les aventures "politiques", elle doit aussi faire face à son propre passée, à venir en aide à ses amis qui passent leur "temps libre" à s'attirer des ennuis et a tenté de concilier ses relations avec Tolbiac et Sagamore.

     

    Macha a plusieurs proverbe ou idée qu'elle met assez souvent en avant. La vengeance ne mène à rien. Un personne cherchant vengeance pour "apaiser" son âme ne pourra qu'entrer dans un cercle infernal qui ne lui apportera pas la paix. C'est dans cette optique qu'elle cherche a assainir les relations en Tolbiac et Sagamore qui se détestent (j'en parlerai un autre jour quand je présenterai ces deux personnages).

    Ensuite, pour elle, on a toujours le choix. Mais dans la plus part des cas, la seconde option, immoral, n'est jamais envisageable et immédiatement écarté. Macha estime que cette solution ne doit pas être écarté. De plus, elle n'écarte jamais la possibilité d'une troisième solution.

    Idée révolutionnaire, et qui fait d'elle une rebelle, son opinion sur la noblesse. Son diction préféré, et dont elle prend plaisir à répéter à Tolbiac, "la noblesse vient en vivant et non en naissant". Cette idée lui vaudra pas mal d'ennui quand elle s'adresse à des nobles attachés à leurs titres. De plus, certaines personnes lui font remarquer que seul une personne de sang noble peut se permettre de tel remarque.

     

    Avec Tolbiac et Sagamore, elle forme un trio infernal. Les relations entres ses trois là sont assez géniales ( et surtout plaisantes à écrire). Pour ne parler que de Macha (on parlera des autres en temps voulu), elle cherche a mettre un place une relation amical avec Sagamore. Mais ce dernier ne semble pas disposé à la lui accorder. Elle souhaiterai aussi le "guérir" la haine maladif de ce dernier pour Tolbiac.

    Pour ce qui est de sa relation avec le mousquetaire, on pourrait la décrire comme amicale. Seulement, elle en veut encore à son ami, responsable de bien trop de malheurs. Macha passe beaucoup de temps à le frapper, gentiment tout de même, mais au fond, elle cherche surtout à évacuer son propre malheur. Il faut aussi qu'elle accepte que ce dernier ait changé et en bien.

     

    Une relation qui est aussi immensément plaisante à écrire est celle entre Macha et le Cardinal de Richelieu. Bon, je l'accorde moi-même, et je pense que mes lecteurs iront dans le même sens, elle est complètement improbable ! Comme je l'ai déjà dis, Macha n'apprécie pas les titres ou autres grades. Richelieu n'échappe donc pas à son insolence. Jamais, dans un contexte plus réel, une personne aurait pu parler ainsi à Richelieu sans finir au cachot ! Et autant dire que la demoiselle n'y va pas de main morte, il faut dire qu'elle y prend aussi un certain plaisir. 

    Cependant, malgré son insolence, le Cardinal apprécie la jeune femme audacieuse. Elle lui apport d'ailleurs régulièrement de l'aire, mais ce souvent contre son gré. Ce dernier se doute aussi que Macha n'est pas une simple jeune femme sachant manier les armes et le verbe.

     

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  • Dans ma saga (qui n'en ait pas une étymologiquement parlant, mais enfin bref), les vampires sont très présents. Cela se constate rien que par le fait que l'héroïne principale ait du sang de vampire qui coule dans ses veines.

     

    J'ai choisi de faire des vampires "humains". C'est-à-dire qu'ils en ont l'aspect et les capacités mentales, mais leurs besoins sont bel et bien ceux d'hématophage (=qui se nourrisse de sang). Ils ont la possibilité de consommer de la nourriture normal mais cela ne leur apporte aucuns éléments nutritif. Le sang animal est une source considérable d'alimentation mais n'apporte pas tous les bienfaits du sang humain. Le vampire est donc obligé de consommer du sang humain s'il veut survivre.

    Sexuellement, ils conservent leurs pulsions car ces dernières sont des restes de leur humanité perdue. Pour faire un chouilla scientifique, seul une partie de la physiologie change et entraîne une modification du mode alimentaire.

    Moralement, il n'y a pas de "bon" ou de "mauvais" vampire quand on appartient à ce type de créature. Pour un humains, un vampire sera toujours un créature mauvaise car un prédateur. Comme tout être normalement constitué, ces êtres cherchent à survivre. Le meurtres d'humains n'est pas une nécessité en soit : un humain vivant est une source de nourriture renouvelable. Un humain mort ne sert plus à rien. Pour entrer dans un contexte historique, les vampires sont très peu nombreux. Au temps où la communication était difficile, les vampires pouvaient aisément évoluer sur un territoire sans être inquiété. Même les Yggardiens n'étaient pas une menace importante. La tendance c'est inversé avec l'arrivée des moyens de communication moderne. De plus, la tâche des Yggardiens étant de préserver les humains de créatures "maléfiques", un vampire tuant trop de victime devient  vite repérable et constitue un danger. C'est pour cette raison que les vampires tuent très peu leurs victimes : question de survie. D'ailleurs, les Yggardiens ne prennent "en chasse" que les vampires "détectables" : ceux qui font trop de victime (qui décèdent).

    Donc pas de vampire mauvais, mais seulement nuisible en ce qui concerne sa nature. Par contre, c'est la mentalité du vampire qui fait de lui un être mauvais ou bon. C'est le cas de Mikhail qui, même humain, était plus proche du monstre que d'une personne raisonnable. D'autres vampires, qui apparaîtront dans le second tome, pourront être considéré comme bon car moralement normaux....Vous me suivez ?

    Le concept d'humanité perdue est relative car il faudrait définir ce qu'est l'humanité. Je ne pense pas avoir les moyens philosophies de répondre à cette questions à mon âge (à savoir 24 ans). Bref, pour faire simple, dans les Yggardiens, la différence humain et vampire se fait entre le mode alimentaire (omnivore/hématophage), la durée de vie (80 ans/ éternité) et capacité physique.

     

    Les vampires ne supportent pas la lumière du jours, mais sont à même de se déplacer le jour si le soleil est caché. L'ail les repousse dans le sens où ça pue (d'ailleurs, cela ferait fuir tout le monde !) ; les bondieuserie, poubelles ; le pieu en bois...ha bonne question...le bois a un anti-cicatrisant sur les vampires, un pieu en bois dans le coeur videra le vampire de son sang, mais cela ne le tue pas. Je pense ne rien avoir oublié à ce niveau là....

    Leur force est considérable, ils sont nyctalopes (non, ce ne sont pas des salopes!) et ont des sens bien lus développés que ceux des humains.

     

    Bien que très présent dans la saga, les vampires ne sont pas les grands méchants. Il était hors de question de mettre en scène une chasse aux vampires car je n'aime pas ça. Certains volumes s'orienteront pourtant vers une "chasse à l'homme" où l'homme est un vampire. En effet, j'ai choisi de mettre en scène un vampire méchant, Mikhail, mais qui ne serait pas représentatif de la population vampirique. Mais Mikhail ne sera pas le seul méchant (les Yggardiens ne sont pas une suite linéaire d'intrigue).

    Les vampires tiennent cependant un rôle essentiel dans le second tome des Yggardiens, Le Clan de Prague, car en nombres. Mais ils ne devraient pas monopolisés les tomes suivants (hormis Novgorod et Mikhail).Il me paraissait important de ne pas trop fixé cette sage sur les vampires car le "monde mythologique" offre une diversité considérable d'être à mettre en scène.

     

    Question importante : pourquoi avoir choisit de mettre en scène cette créature alors que le monde est envahit de roman Bit-Lit ?

    Simple. Je ne me soucis pas des publications externes. J'aime les vampires depuis le collège. Pour moi, mettre en scène un vampire offre aussi un grande diversité dans la création de personnage. Il suffit de voir les "grands" vampires de l'histoire de la littérature et du cinéma.

    Plus sérieusement, mettre un scène un personnage mi-vampire mi-humain? me plaisait énormément. A partir de cela, il fallait trouver comment ce personnage serait hybride. Je me suis portée sur le choix du sang ( comment un mort, un vampire, peut donner quelques choses de vivant ? Explication à venir...un jour), donc de naissance. Ensuite, j'ai choisi de faire intervenir le parent vampire pour donner du piquant, tout en donnant un rôle important à ce dernier.

    Pour les autres vampires que l'on retrouvera dans le Clan de Prague, j'étais heureuse de pouvoir mettre en scène des vampires avec des "modes de vie" différents. Certains vivants en communauté, d'autre en solitaire. Cela m'ouvrait aussi les portes des différentes psychologiques pour les vampires.

    Bref, mettre en scènes des vampires permets une grande variabilité physique, morale et sociale.

     


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  • Cette histoire s’intitule,

     

    La Fac

                   

     

    Il faut savoir que cette histoire se base sur des faits réels et que chaque jours que Dieu (s’il existe) fait, des étudiants souffrent…horriblement.

    Dans une certaine ville, d’un certain département, d’une certaine région de ce pays, se dresse une université pas comme les autres. Une université grande et moche qui met la santé mentale et physique de ses étudiants chaque jour à l’épreuve. Cette université, nous la nommerons R.II.

    Il faut aussi savoir que ce qui se passe dans cette université se passe aussi dans d’autre. Elle n’est que le membre d’un vaste complot n’ayant qu’un seul et unique but : l’élimination des étudiants !

    Lycéens ! Quand vous choisirez la voit de l’université, armez vous d’une patience à toute épreuve, d’une boussole, de litre de café (ou de thé), d’une couverture de survie, d’un couteau, de nourriture lyophilisée et surtout de comprimées contre les maux de tête !

     

                Si toutes les universités sont monstrueuses, R.II l’est bien plus encore car depuis des temps immémoriaux elle abrite une population, horrible, perfide et absolument sans pitié. Mais nous en parlerons plus tard.

     

    Dès votre arrivée sur le campus principal, car il y a plusieurs campus dont un à plus de 15 min à pieds, on se confronte à la première épreuve : trouver son chemin. Sans un plan et un sens de l’orientation accru, il est difficile de s’y repérer ! Et ce peu importe que vous soyez à l’intérieur ou à l’extérieur. Nuls noms sur les nombreux bâtiments. Le seul vrai point de repère, qui a aujourd’hui été effacé pour mieux perdre l’étudiant, était un immense « vive la commune » sur le haut d’un bâtiment. Seul votre courage vous permettra d’interpeller un étudiant pour lui demander votre chemin. Mais prenez garde aux passerelles en bois glissant, aux escaliers dérapant et, surtout, aux entrées qui ne s’ouvrent pas. Faite attention aux autochtones : historiens meurtriers sentant le vieux papier, jongleurs fous et autres dresseurs de chiens enragés, sociologues pervers épiant vos moindre faits et gestes vous guettant à la sortie des toilettes pour vos questionner.

    Après des heures de recherches et après avoir échappé à mille périls, vous voilà enfin dans le bâtiment souhaité. Vous pensiez alors que tout était gagné ? Naïf que vous êtes. Vous sortez d’un dédale pour entrer dans un autre dédale, bien plus terrible encore ! Ce nouveau labyrinthe est peuplé d’une espèce vile et intrusive dont bientôt vous ferez inévitablement partie : l’étudiant !

    Il faudra vous frayer un chemin entre eux, montrer et descendre dans des escaliers encombrés de jeunes parlant des langages qui vous échapperons, trouver des salles dont certaines proche des placards à balais, dénicher votre panneau d’affichage.   

     

                            Mais cette déambulation n’est rien comparée à ce qui vous attend !  Car une fois à R.II, il va falloir aller…à l’administration !

    Vous connaissiez la « Maison qui rend fou » des 12 Travaux d’Astérix, découvrez maintenant l’administration de R.II ! Pire que tout, l’administration a elle seule peut venir à bout d’une armée d’étudiant ultra-motivé !

    Premièrement, l’administration est conçue pour que vous ne puissiez pas vous y rendre. Ses horaires d’ouverture sont sur celles des heures de court. La queue est tellement importante que les intercours de 5 ou 15 min ne sont pas suffisants.

    Ensuite, l’accueil vous revoie dans les bureaux selon votre problème. Les bureaux vous renvoient vers d’autres bureaux car ce ne sont pas eux qui s’occupent de votre problème. Vous pouvez ainsi vous balader pendant près d’une heure avant que l’accueil ne se rende que c’était à lui de régler votre problème : « Il faut remplir le formulaire sur internet ».

    Ha, Internet ! Le pain béni de l’administration ! C’est avec ça qu’il tente de vous avoir ! Vous faites la queue pendant des heures pour savoir que les papiers sont à faire sur le net. Puis vous revenez avec les papiers en question. Là on vous dit que ce n’est pas le bon ou qu’il manque encore des documents….Si par miracle vous avez le bon numéro de bureau et l’ensemble des papiers cela ne signifie qu’une seule et unique chose : il faut allez à la Présidence !

     

    Enfin, la chose qui rend R.II aussi atroce, aussi monstrueuse, aussi effrayante, est une race d’habitant. Une race si épouvantable que même le Président ne peut les éliminer. Ce sont…Les Gauchistes !

    Très difficilement identifiable, le gauchiste est un étudiant qui n’a qu’un seul et unique but : vous empêchez d’allez en cours !   Pour cela il est prêt à tout !

    En temps de paix, il apparaît comme un étudiant comme les autres, il va en cours, se bat avec l’administration…Mais dès que le vent se lève, il se métamorphose en un être emmerdeur et chieur. Son seul objectif sera alors de bloquer la fac !

                Les infâmes gauchistes mettront tout en œuvre pour vous convaincre du bien fondé de ses actions, de ses propos. Seulement, leur unique but est de prendre la fac pour en faire un Q.G. de la résistance. La plus part du temps, ils bloqueront la fac,  condamnant le simple étudiant à être privé de la sacro-sainte parole de ses professeurs.

    Les « rouges », autre titre des gauchistes, tirent leurs force du passé de l’Université : centre de rébellion de toujours. Dès l’antiquité, la certaine ville où se trouve ce lieu maudit était surnommé « la rouge » à cause de sa muraille en brique cuite.

     

                Si malgré touts ces avertissement, vous choisissez de poursuivre des études à R.II, je ne donne pas cher de votre santé mentale…ou de votre vie….  

     


    Note de l’auteur : si ce n’est l’administration infernale, je tiens à préciser que la fac, dont on n’a pas donné le nom, est un endroit très bien !

     

     


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  • "Histoires Extraordinaires, T.02 : Usher" est une BD de Roger Seiter au scénario et Jean-Louis Thouard au dessin. Elle s'inspire des nouvelles "La Chute de la Maison Usher" et "Petite discussion avec une momie".Le tome 01 a été critiqué ici.

     

    Synopsis :

     

    «Il s'appelle Roderick Usher et sa propriété familiale est bâtie sur les bords de l'Hudson River. Il appartient à une très ancienne famille, installée sur ces terres depuis des temps immémoriaux... une race étrange qui ne s'est perpétuée jusqu'à ce jour qu'en ligne directe. A tel point que le nom primitif du domaine s'est fondu dans la bizarre appellation de Maison Usher... C'est une maison inquiétante qui provoque une sorte de malaise chez le visiteur qui s'en approche...»

     

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    Critique :

     

    Sur cette BD, je n'ai aucun élément de comparaison avec les nouvelles utilisées car je ne les ai pas lu ! (elles font parties du second recueil de nouvelles : Nouvelles Histoires Extraordinaires)

    Sinon, on reste dans cette ambiance sombre et lumineuse du premier volume. Les couleurs semblent un peu moins brouillons cependant.

    Pour l'histoire en elle-même, on y retrouve des références à d'autres nouvelles : le double assassinat de la rue Morgue....euh zut, j'ai oublié le titre des autres.....Et il a fort à parié que l'inspecteur Branann est un personnage d'une nouvelle.

    Défaut, le personnage de Jupiter (le vieux noir) n'intervient pas une seule fois dans cette aventure, mais il est présent car dessiné ! Pour moi, c'est une petite bourde car on l'oublie complétement...

    Contrairement au tome 01 qui aurait pu s'arrêter, ce tome 02 annonce clairement un troisième tome !


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