• Je n’ai pas été très présente sur le blog cette semaine, car j’avais de la famille (ma mère) à la maison. Si j’ai passé de bons moments avec elle, cette semaine a été endeuillée à deux reprises et pas des moindres.

     

    Mardi, j’apprenais en me levant la disparition de David « Gobelin King » Bowie à l’âge de 69 ans. J’appréciais le chanteur, mais c’est avec son personnage Jareth dans Labyrinth que je me suis pris d’affection pour lui. Surtout qu’il a été le sujet de franc moment de rigolade avec de nombreuses amies. Bref, sa disparition me peinait, mais elle me laissait aussi un peu orpheline.

     

     

    Hier, c’est avec désespoir que j’apprends la mort d’Alan « Severus Rogue » Rickman, a 69 ans aussi. Là, j’avoue que je me sens vraiment effondrée. Rickman était un super acteur, l’un des premiers qui ont marqué mon enfance avec son personnage de Shérif de Nottingham dans Robin des Bois, Prince des voleurs…

     

    Puis est venu Rogue… la rencontre des mes meilleures copines grâce à lui : Ners, Nuna, Nia, Nalyna (ha non, ça, c’est ma sœur, je la connais depuis toujours) pour le noyau dur, puis Nath, Jiji, Elsa mon poussin, San… C’est tout un clan qui est orphelin.

    Une figure de mon enfance et un symbole de l’amitié qui est parti sans crier gare…

     

     

    Le blog restera calme jusqu’en début de semaine prochaine…

     


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  • "Conan le Cimmerien" est un livre contenant plusieurs nouvelles dse aventures de Conan, de Robert E. Howard.

     

    Présentation :

    « Sache, ô Prince, qu’entre l’époque qui vit l’engloutissement de l’Atlantide et des villes étincelantes… il y eut un Âge insoupçonné, au cours duquel des royaumes resplendissants s’étalaient à la surface du globe… Mais le plus illustre des royaumes de ce monde était l’Aquilonie, dont la suprématie était incontestée dans l’Occident rêveur. C’est en cette contrée que vint Conan, le Cimmérien – cheveux noirs, regard sombre, épée au poing, un voleur, un pillard, un tueur, aux accès de mélancolie tout aussi démesurés que ses joies – pour fouler de ses sandales les trônes constellés de joyaux de la Terre. »


    Conan est l’un des personnages de fiction les plus connus au monde. Robert E. Howard l’a créé en 1932 et avec lui, l’Heroïc Fantasy. Ce héros, ainsi que la puissance évocatrice de l’écriture de son auteur, a eu et a toujours une influence majeure, au moins égale à celle de Tolkien, sur tout l’imaginaire occidental.
    Pourtant, les nouvelles du Cimmérien n’ont jamais été publiées telles que son auteur les avait conçues. Elles ont été réarrangées, réécrites, modifiées, artificiellement complétées après sa mort.
    C’est pourquoi le livre que vous tenez dans vos mains est un événement.

    C’est le premier de trois volumes qui rassemblent l’intégralité des aventures de Conan, présentées dans l’ordre de leur rédaction, restituées dans leur version authentique à partir des manuscrits originaux, avec des traductions nouvelles ou entièrement révisées.
    Elles s’accompagnent de nombreux inédits, ainsi que d’articles et de notes sur l’œuvre de Robert E. Howard et l’univers de Conan par Patrice Louinet, qui en est l’un des plus éminents spécialistes internationaux.
    Un ouvrage absolument exceptionnel à tirage limité, superbement illustré par le célèbre dessinateur Mark Schultz.

     

     

    Avis :

    Un ensemble de nouvelles que j’ai plutôt apprécié.

     

     

    Me lançant dans l’écriture d’une nouvelle de Sword and Sorcery pour un AT, je me suis dit qu’aller vers les origines de ce genre pourrait éventuellement être une bonne idée. Surtout que je ne suis pas sûre d’avoir lu des récits classés dans ce sous-genre de la fantasy.

     

    J’aurai probablement dû prendre le temps de faire donner mon avis pour chaque nouvelle présente, mais comme je ne l’ai pas fait et qu’il n’y a pas de sommaire ! dans la version numérique que je possède, j’avoue honteusement que je n’ai pas le courage d’aller feuilleter l’ensemble des presque 300 pages numériques pour retrouver les titres des nouvelles.

    Bref…

     

    Mais quoi qu’il en soit, j’avoue que j’ai beaucoup aimé mes lectures. En effet, les différentes nouvelles de ce livre proposent de découvrir Conan à différent moment de son histoire : roi d’Aquilonie, barbare mercenaire, guerrier un poil bourrin (nonnnnnn !), roi déchu et reconquérant, pirate…

    Au travers de l’ensemble de ces nouvelles, on découvre un personnage rude et « délicat » (oui, c’est de l’ironie là) dans diverses situations.

    J’ai beaucoup aimé les différentes histoires qui sont très différentes les unes des autres, soit par ce qu’elle narrait, soit par l’ambiance, même si l’ensemble reste très sombre. J’ai adoré cet aspect. L’univers est riche, mais rien n’est rose. Les personnages, les dieux, les croyances sont âpres, rudes, très souvent maléfiques et toutes les bonnes « qualités » ou les « bons sentiments » sont souvent absents.

    Ce qui rend l’univers assez accrocheur, ce sont tous les noms qui pourraient faire référence à notre propre histoire, nos propres mythes et légendes : noms de lieux, noms de peuples, noms de lieux... On a beaucoup de facilité à s’immerger dans le monde Conan.

     

    Les personnages aussi sont super appréciables, même les pires saloperies. Parce que oui, ce ne sont pas des méchants pour le plaisir d’être méchant : on n’est pas dans du manichéisme primaire.

     

    Ceci dit, il y a des petits bémols à apporter à ces lectures. Déjà, il faut bien remettre la période où ses textes sont écrits. Parce que, soyons clairs, la place des femmes… on a vu beaucoup mieux dira-t-on… même s’il y a des guerrières « délicates » et à peine sanguinaires.

    Comme je l’ai dit, il y a des éléments qui font référence à notre monde… mais parfois, on aimerait faire : oh, je n’ai rien vu, je n’ai rien lu, je n’ai pas compris, lalala… Soyons honnêtes, je pense que par moment, ça frôle l’antisémitisme (et encore je pense que je suis gentille…) Bref…

     

    Quoi qu’il en soit, c’est une lecture qui m’a beaucoup plus (malgré ses aspects négatifs – qui sont très minoritaires par ailleurs) et j’espère que j’aurai l’occasion de lire d’autres nouvelles du héros en slip – et uniquement en slip – et de sa grosse épée, toujours prête à taper dans le lard.

    Ce fut aussi très agréable pour moi d’aller vers l’origine d’un sous-genre littéraire.

     

     

     


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  • "Le rivage des Syrtes" est un roman de Julien Gracq.

     

    Synopsis :

    À la suite d'un chagrin d'amour, Aldo se fait affecter par le gouvernement de la principauté d'Orsenna dans une forteresse sur le front des Syrtes. Il est là pour observer l'ennemi de toujours, replié sur le rivage d'en face, le Farghestan. Aldo rêve de franchir la frontière, y parvient, aidé par une patricienne, Vanessa Aldobrandi dont la famille est liée au pays ennemi. Cette aide inattendue provoquera les hostilités... Dans ce paysage de torpeur, fin d'un monde où des ennemis imaginaires se massacrent, le temps et le lieu de l'histoire restent délibérément incertains dans un récit à la première personne qui semble se situer après la chute d'Orsenna.

     

     

    Avis :

    Un livre étrange dont je vais avoir du mal à parler.

     

    J’avoue ne pas trop savoir quoi penser de cet ouvrage que je vois cité un peu partout dans divers ouvrages traitant du fantastique.

     

    De peur de me faire lyncher, je dois bien dire que l’histoire m’a un peu beaucoup ennuyé. J’ai eu du mal avec « l’intrigue », car au final, il ne se passe pas grand-chose. On suit un jeune homme qui se retrouve nommé dans un coin perdu de son territoire, les Syrtes. De l’autre côté de ces Syrtes, le Fagherstan, l’ennemi intime, avec qui une « paix » règne.

     

    Cedi dit, j’ai eu l’impression que c’est dans ce « pas grand-chose » que se cachait toute la force de ce livre. L’auteur passe beaucoup de temps à évoquer les ambiances, une sorte de sentiment sous-jacent, des sensations… comme si tout résidait dans le « non-dit ».

    Par moment, je me disais : « mais ce n’est pas possible… si je gratte les lignes et les mots de cette page, je vais trouver un autre message dessus, caché ». Une sensation de lecture étrange que j’ai du mal à exprimer. Et c’est pour cette raison que je suis allée jusqu’à la fin de l’ouvrage (contrairement à l’une de mes dernières lectures que je n’ai pas pu terminer).

     

    Que dire de plus ? Je me sens un peu perdu pour parler de ce livre, car j’ai l’impression de ne pas avoir « les connaissances » ou les « capacités » pour en parler avec justesse (et si possible avec intelligence). La lecture fut assez étrange pour moi et comme vous l’aurez compris je peine à évoquer mon ressenti sur cet ouvrage. Tout éclairage serait pour moi le bienvenu.

     

    Pour la première chronique de l’année, je n’aurai pas pu faire pire…

     

     

     

     


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  • "Avril et le monde truqué" est un film d'animation français de Franck Ekinci et Christian Desmares avec les voix de Marion Cotillard, Philippe Katerine, Olivier Gourmet et Jean Rochefort, entre autre.

     

    Synopsis :

    1941. Le monde est radicalement différent de celui décrit par l’Histoire habituelle. Napoléon V règne sur la France, où, comme partout sur le globe, depuis 70 ans, les savants disparaissent mystérieusement, privant l’humanité d’inventions capitales. Ignorant notamment radio, télévision, électricité, aviation, moteur à explosion, cet univers est enlisé dans une technologie dépassée, comme endormi dans un savoir du XIXème siècle, gouverné par le charbon et la vapeur.
    C’est dans ce monde étrange qu’une jeune fille, Avril, part à la recherche de ses parents, scientifiques disparus, en compagnie de Darwin, son chat parlant, et de Julius, jeune gredin des rues. Ce trio devra affronter les dangers et les mystères de ce Monde Truqué. Qui enlève les savants depuis des décennies ? Dans quel sinistre but ?

     

     

    Avis :

    Un dessin animé bien sympathique, mais qui possède quelques défauts.

     

    Une réalisation basée sur l’univers visuel de Tardi, dans un monde tenant du steampunk et de l’uchronie : il y avait de l’audace dans ce projet.

     

    Déjà, la première chose à dire qu’il est vraiment très agréable à regarder et le style de l’auteur d’Adèle Blanc-Sec est parfait pour ce type de chose. J’avoue que j’aimerai d’autre dessin animé de ce genre.

    L’animation est très bien, comme quoi on peut faire de très bonne chose de par chez nous.

     

    Pour ce qui est de l’histoire, c’est aussi très sympathique même si l’on surfe, parfois, sur des choses un peu déjà vues – plus dans la SF, j’ai envie de dire avec le côté reptilien.

    C’est peut-être là qu’on commence aussi à toucher aux défauts de ce film.

    Le film s’ouvre avec une double introduction : une première qui explique le point de divergence historique et la mise en place du monde tel qu’il va être dans l’histoire ; une seconde où l’on voit les parents d’Avril disparaitre. J’avoue que j’ai trouvé ces deux intros un peu longues et qui cassaient un peu l’ambiance du film. Je sais que pour quelqu’un comme moi, qui lit et connait un peu l’urchonie et le steampunk, abordé cet univers peu être facile ; contrairement à d’autre : la première intro donne l’impression qu’une explication pour public non connaisseur. Ce qui est un peu dommage.

    Surtout que l’on retrouve une fin, un peu dans le même genre, assez tranchée, dirons nous, et une sorte de postface finalement un peu rapide et superficielle.

    Je ne sais pas si cela doit sonner comme un reproche ou non, mais parfois, on sent l’inspiration issue de l’univers de Miazaki. Par ailleurs, je pense qu’il y a pas mal de référence, dans les décors notamment : il me semble bien avoir vu quelque chose qui ressemblait à un Dalek.

     

    Pour les personnages, j’avoue que je n’ai pas grand-chose à dire, si ce n’est quelque regret pour Avril. Bien « garçonne », au caractère bien trempé, j’avoue que j’ai eu un peu de mal quand elle enfile sa robe rose (surtout que le placard ne contient que des robes roses de tailles différentes). Ce n’est pas tant la robe que sa couleur qui me gêne… puis bon, elle est toujours aussi délicate après, mais même si je sens que les réalisateurs ont voulu jouer avec ce chiclé, je le trouve un peu limite. Surtout qu’à partir de ce moment-là, sa relation avec Julius tend à changer.

    D’ailleurs, c’est un truc que je regrette un peu cette romance dans l’histoire. Non pas qu’elle ne pouvait pas être présente, mais j’aurai aimé un final moins… échange de bave. C’est un peu gros diront nous.

    Ceci dit, le personnage d’Avril est vraiment sympathique. Le style graphique de Tardi permet d’éviter de se retrouver avec une nana au physique plaisant (genre, elle est douée et belle… non parce qu’une fille intelligente, c’est bien, mais si elle n’est pas belle… bref, des vieux cliqués bien pourris). J’avoue que j’étais très heureuse de voir mise en scène une jeune fille scientifique, ce qui n’est pas si courant que ça ne mine de rien.

    Après, l’ensemble des personnages est sympa, avec des personnalités plus ou moins attachantes.

    Je ne sais pas si c’est voulu, mais je trouve que Julius, il a de vagues ressemblances avec Renaud dans sa jeunesse (genre un peu ouvrier avec la gavroche et le foulard rouge).

     

    Peut-être pour chipoter sur un détail : au début de l’histoire, dans la première intro, on voit Napoléon III. Je ne suis pas historienne, je sais que le personnage est peu aimé et surtout peu connu en France, mais cette voix… j’avoue que le choix du doubleur m’a laissé perplexe. On ne présenterait pas le personnage, on pourrait juste penser à quelqu’un de lambda.

    Autre point peut-être un peu gênant, c’est le nom de famille d’Avril (et de sa famille) : Franklin. Je ne vais pas dire que ce n’est pas français, mais comme ça résonne avec Benjamin Franklin qui n’est pas français lui, j’ai trouvé ça un peu dommage. J’aurais peut-être aimé quelque chose de plus… francophone… je sais pas trop comment le dire…

     

     

    Un dessin animé que j’ai beaucoup aimé même s’il possède quelques défauts, peut-être dus à une certaine inexpérience... allez savoir. Mais j’ai vraiment passé un bon moment.

     


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  • Challenge Textes Anciens II, le retour !

     

    Il est de retour !

    Malgré le peu de succès de la première édition, j'ai décidé de relancer mon challenge Textes Anciens, car très égoistement cela m'a permis de découvrir plein de livres.

     

    Pour plusieurs raisons, j'ai "allégé" le Challenge en supprimant les défis !

     

    Si vous êtes tenté.e.s de lire des oeuvres issus de l'Antiquité et du Moyen-Âge, n'hésitez pas à vous inscrire !

    Toutes les infos sont ici !


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  • "Ouija" est un film de Stiles White avec Olivia Cook, Anna Coto, Daren Kagasoff, Bianca Santos, Douglas Smith et Shelley Smith.

     

    Synopsis :

    Après avoir perdu Debbie, son amie d'enfance, dans des circonstances atroces, Laine tombe sur une vieille planchette Ouija dans la chambre de Debbie et tente alors d'y jouer pour dire "Au revoir" à la disparue… Pour l'heure, seul Pete, petit copain de Debbie, accepte de l'aider. Convaincue qu'il ne peut s'agir d'un suicide, Laine mène l'enquête et découvre que l'esprit convoqué par la planchette se fait appeler "DZ" et tient à poursuivre la partie coûte que coûte…Tandis que des événements de plus en plus étranges se multiplient, Laine sollicite l'aide de sa sœur cadette Sarah, de son amie Isabelle et de son petit copain Trevor.Peu à peu, les cinq adolescents se plongent dans l'histoire de la maison de Debbie et comprennent que leur amie n'était ni la première victime, ni la dernière. Et s'ils ne parviennent pas à refermer le portail qu'ils ont dangereusement ouvert, ils connaîtront le même sort que celle qui les a initiés au jeu de Ouija…

     

     

    Avis :

    Quoi de mieux que de débuter l’année avec un bon nanar bien moisi sorti de derrière les fagots ?

     

    Parce que oui, Ouija est un bon gros film bien pourri, un bon nanar dans son genre, car réussir un film d’horreur qui ne fait pas peur…bin voila quoi !

     

    Bon, j’adore les films d’horreur et même s’il m’arrive de frissonner (voire même sursauter) lors des « effets » caractéristiques de ce type de réalisation, j’ai rarement « peur » ou je n’angoisse pas vraiment… Donc quand je dis ici que ce film ne m’a pas effrayé, c’est pour dire que tous éléments de cette production sont mauvais.

     

    Le rythme est chiant. Il ne se passe pas grand-chose – on flirte parfois plus avec le drame adolescent/jeune adulte plutôt qu’autre chose —, le surnaturel est au final peu présent et ses ressorts angoissants sont tellement connus et surtout mal mis en scène qu’il est difficile de ressentir la moindre émotion.

    Les maquillages ou effets spéciaux des êtres surnaturels ne sont pas assez bien faits pour qu’on puisse vraiment ressentir quoi que ce soit.

    Le scénario est très classique et n’apporte aucune originalité si ce n’est de mettre une scène une planche de Ouija. Et encore, cette fameuse planche aurait très bien pu être un pendule que cela ne changeait rien au schmilblick !

     

    Les personnages sont inintéressants et sont des condensés de clichés tout aussi inutiles que barbants.

     

    J’avoue que si j’ai pu apprécier ce film, d’une certaine manière, c’est que je l’ai visionné avec plein d’ami.e.s et que le spectacle était dans la salle. C’était génial ! Encore plus génial que c’est vraiment un très très mauvais film d’horreur ! Je n’ose imaginer mes camarades face à de vraies réussites !

     

    Bref, ce film est à voir entre camarades ou à ne pas voir du tout, car il n’a aucun intérêt.

     

     


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  • Cette année, j’ai décidé de participer au challenge Le film de la semaine organisé par Benji’s Cinéphile (histoire de ne pas imiter mes camarades Anaiscience et Arieste).

     

    L’objectif de ce challenge est de regarder 52 films dans l’année soit un par semaine. Comme je trouve cela très raisonnable, je vais tenter cette aventure ! Surtout que j’ai une belle dvdthèque qui ne demande qu’à être vue (et avec près de 400 DVD, je peux vous assurer que j’ai de quoi faire !).

     

    J’aimerai, à cette occasion, en profiter pour voir des « classiques » ou des films plus « intelligents ». J’ai donc fait rapatrier chez moi mes deux coffrets de Herzog et mes Fritz Lang devraient suivre. Et j’avoue que je souhaiterai m’initier aux  films de Bergman (non, cela n’a rien à voir avec le fait que Max Von Sydow était l’une de ces égéries et qu’il soit présent dans le dernier Star Wars).

     

    Mais pour cette semaine, j’ai déjà prévu mon film et on va débuter avec du bien pourri !

     

    Si jamais vous souhaitiez aussi participer à ce challenge, vous pourrez retrouver toutes les informations sur le blog de Benji’s Cinéphile.

     

    Que la Pellicule soit avec vous !

     


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  • Je vous souhaite à tous.

     

    Pour cette nouvelle année, je vous souhaite toutes les meilleurs choses possibles et imaginables dans tous les domaines possibles !

    Et que la Force soit avec vous !

     


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  • "Les nefs de Pangée" est un roman de Christian Chavassieux.

     

    Synopsis :

    Pangée, terre immense au milieu de l'océan unique, continent de terre sèche et d'embruns où vit le peuple de Ghiom, dont l'histoire, en ce jour de la dixième chasse à l'Odalim, bascule.

    Les Grands de Pangée ont parlé : le monstre marin doit mourir. Pour la paix. Pour l'ordre. Pour la promesse d'une nouvelle ère faste à venir, dans ce monde rongé par les mésalliances et les guerres fratricides.

    Pourtant, quand les Nefs s'engagent sur l'Océan, une seule question demeure : si la traque échoue, si l'Odalim survit, si l'union faillit, les enfants de Pangée se dévoreront-ils ? Cette dixième chasse ne serait-elle alors qu'un chant du cygne ?

     

    Avis :

    Pour commencer, merci à Babelio et à Mnémos pour ce SP.

     

    Hélas, je n’ai absolument pas accroché à ce livre.

     

    Et quand je dis que je n’ai pas accroché, c’est que je ne suis pas allée jusqu’au bout, ce qui n’est pas dans mes habitudes. En effet, j’essaie toujours de terminer un livre quand je l’ai en SP. Mais là, je m’ennuie trop (pour rester polie) pour faire cet effort.

     

    Je ne suis jamais vraiment parvenu à entrer dans l’ouvrage et arriver à la moitié, j’ai abandonné. J’ai bien trop de choses à lire pour m’attarder sur un ouvrage comme ça.

    Mais outre que je suis toujours resté très extérieur, je crois que ce qui a été le plus pénible dans cette lecture, c’est la froideur de l’ensemble. Je ne sais pas si c’est le récit en lui-même ou le style de l’auteur, mais à aucun moment je n’ai ressenti d’émotions. C’est froid… je ne sais pas comment le décrire autrement.

     

    L’univers que présente ce livre est riche et aurait pu être plus sympathique si j’y avais accroché. On sent que l’auteur a travaillé son monde.

    Mais hélas, le manque d’élément « de comparaison », de chose à quoi se rattacher, ne donne aucune saveur. L’ensemble est en plus souvent alourdi par des superlatifs et je parlerai presque de folies des grandeurs. Bon, OK, Basal, c’est gigantesque, son arsenal et ses portes sont monumentaux… mais c’est tellement grand qu’il y a un moment où l’on y croit plus.

     

    Les personnages aussi sont froids. Hormis peut-être l’oracle Yma, avec son parler très reconnaissable, tous les protagonistes – et même les autres – n’ont pas de personnalités propres. Ils sont presque tous interchangeables. Impossible de s’attacher outre mesure à eux.

     

    Tout parait simple dans le livre. On parle de voyages longs et compliqués, mais on n’a jamais vraiment l’impression que c’est su pénible que ça. J’avais plus l’impression de longues randonnées…

    La grosse déception vient aussi que la quatrième de couverture nous promet de l’épique : j’avoue qu’arriver à la moitié de l’ouvrage, l’épique, je l’attends encore. La chasse à l’Odalim, que j’imaginais grandiose – surtout vu le nombre de nefs en marche – est un pétard mouillé… merde, il est où mon combat ? Elle est où la déferlante de puissance ? Moi qui voyais déjà « Achab » et « Moby Dick » se livrer un duel à mort dans des conditions dantesques… bien rien… Quelques malheureuses « altercations » puis… la bête est morte… Bref, froid, plat et sans aucune envolée fantastique…

     

    L’un des thèmes de l’ouvrage est le changement de « société », de civilisation. Un sujet que j’aime beaucoup. Hélas, je trouve que la chose bien étrange ici… si l’auteur, très rapidement, fait sentir que certaines personnes ne sont pas aussi enthousiasme ou aussi « croyantes » sur les tenants et les aboutissants de la chasse à l’Odalim, je trouve que le changement qui s’opère est trop important, trop différent, pour être crédible.

    On voit presque apparaitre au jour au lendemain des « hordes » d’adorateurs de Remet. Mais ils sortent d’où ? Certes, j’ai bien compris que le Prophète prépare son coup depuis un moment, cependant ces adorateurs tombent un peu comme un cheveu sur la soupe (probablement dû aux soucis de l’écoulement du temps dans ce livre, j’en parle plus bas).

    De plus, les changements sont brutaux et immédiats. La monnaie est adoptée de manière presque spontanée bien qu’inconnue jusqu’alors et bien que cela semble emmerder les commençants…

    Il aurait peut-être fallu que j’en lise plus pour saisir de possible subtilité, mais mon côté archéologue a du mal avec ce changement très (trop) brutal…

     

    L’ouvrage se passe sur une très longue période, mais j’avoue qu’on passe souvent à côté de cet aspect. D’un chapitre à l’autre, il peut y avoir des mois, des années qui se sont écoulées sans que l’on le ressente vraiment, surtout chez les personnages. Par exemple, Logal prend plus de 20 ans dans le récit, mais on n’a pas l’impression que c’est juste « une année » alors quand l’Univers laisse entendre que c’est long…

     

    J’essaie toujours de trouver de bonnes choses dans les ouvrages que je lis, mais là j’ai beaucoup de mal tant je suis restée externe. Comme vaguement dit, on sent que l’auteur a bossé son univers, mais comme je n’ai pas particulièrement accroché.

    Ha si, la couverture est magnifique.

     

    Un ouvrage bien décevant surtout que j’en avais entendu grand bien par nombres de mes camarades blogueurs (camarades biens plus doués que moi dans le domaine) et que la quatrième de couverture me laissait entrevoir un grand récit mythologique avec un souffle épique…

     

     


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  • Mes ami.e.s,

     

    Toute l'équipe....bin moi en fait...vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année. Profitez bien de vos proches, familles, ami.e.s, etc ; manger beaucoup ; buvez avec Parcimonie et Modération (elles sont cools) et faites attention à ne déchirer que vos paquets cadeaux !

     


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