• L'Evanescence

    Il y a quelques années, j'avais commencé un récit fantastique avec toile de fond l'alchimie. A cette époque, mes connaissances dans ce domaine était très limité. On va dire les choses de bases comme Nicolas Flamel, la pierre philosophale et.... quelques symboles...Donc voilà, on va dire la misère.

    J'ai donc, via quelques sites internet, augmenter mes connaissances même si le tout est rester très légers, fautes de temps pour faire des recherches plus approfondies. 

    Mon histoire voit ses premiers chapitres s'écrirent et c'est là que, c'est le drame ! Je découvre la série Fullmétal Alchimist....Et là impossible de reprendre l'écriture de ce récit car j'avais l'impression de faire un copier-coller de ce mange même si les différences sont énormes. Bref, depuis et malgré encore d'autre recherches pour essayé de faire dans l'originalité, je suis dans l'impasse....Je sais que je devrais commencer par écrire cette histoire dans son intégralité puis prendre le temps de la laisser mûrir....Mais j'y arrive pas.....

     

    Je vous propose donc ici le prologue, ainsi que le premier chapitre. Alors, comme toujours, il y a sûrement des fautes qui se baladent malgré mes relectures....J'espère que vous me laisserez des commentaires pour me dire ce que vous penser de ce début.


    Synopsis :L'Evanescence est une chanteuse aveugle et mystérieuse qui se produit dans une boite très privée de Paris. C'est une créature de la nuit. Mais voila que des meurtres inexplicables ont lieu à travers tout l'ancien monde. Et que des sites archéologiques sont vandalisés.


    Prologue



        L’alchimie ! Certains vous diront que c’est une science, d’autre de la magie. Et ils auront tous raison. Sachez déjà que l’alchimie est l’étude et la transformation de  la matière.
    Mais d’abord, un peu d’histoire. L’alchimie est née en Chine aux environs de 4500 av J.C. Puis se rependit rapidement en Inde, en Iran, à Babylone puis en Égypte.
    C’est là, aux royaumes des pharaons, qu’une scission eu lieu. On mit au point les premiers vrais cercles de transmutations : les ouroboros. On vit alors apparaître l’alchimie de transmutation et l’alchimie de préparation.
        L’alchimie de transmutation de fait à partir d’un cercle de transmutation comprenant un ouroboros. Mais c’est une activité difficile puisque que les transformations de matières requièrent de l’énergie vital, la quintessence. 
        L’alchimie de préparation de fait à partir de produit. C’est une sorte de proto-chimie. Les possibilités de cette alchimie sont très limitées.

        Mais peu importe la méthode, tous les alchimistes ne recherchaient qu’une seule, petite, chose : la Pierre Philosophale. Cette Pierre permettrait de transmuter n’importe quoi en n’importe quoi, de transformer les métaux, dont le plomb et le mercure, en or, de prodiguer une médecine universellement et surtout, de donner l’élixir de longue vie : l’immortalité.
        Dans toute l’histoire de l’alchimie, un seul homme parvint à ce but : Nicolas Flamel, avec l’aide d’un livre intitulé « Le Livre d’Abraham le Juif ».  Cependant, il mourut en l’an 1418...et son livre et la pierre disparurent. Néanmoins, on retrouva le livre entre les mains du cardinal Richelieu au XVIIe siècle. Puis le livre disparu de nouveau.   
     

     

    Chap.01

     


       En ce petit matin, dans les rues humides de Paris, les revendeurs de journaux, maisons de la presse étaient pris d‘assaut par des hordes de badauds. Les tirages avaient été fait à une vitesse effréné au cour de la nuit pour changer les gros titres prévus. Voila ce que tous les parisiens pouvaient lire :

    Le Colisée de Rome :

    DETRUIT !!



        Les journaux rapportaient, sur un air mélo-dramatique,  qu’une énorme explosion avait retentit, au cours de la nuit précédente, dans le centre de la capitale. Les patrouilles de polices italienne avaient parcouru la ville de long en large avant découvrir le site archéologique complètement dévasté. Les conséquences de cette explosion étaient désastreuses : la scène n’était plus que poussière et des pans entiers de l’énorme mur d’enceinte menaçaient de s’effondrer. De nombreuses arcades n’avaient pas résisté au souffle de l’explosion.
    Les autorités italienne et les archéologues  se précipitaient au chevet des ruines antiques pour constater eux même les dégâts et pour intervenir le plus vite possible !
    Malgré les risques d’éboulement, la police et les renseignements généraux étaient déjà sur place pour enquêter.
        Comme tous les français, le docteur Gabriel Nohan ne manqua d’acheter son journal pour savoir ce qui s’était passé. La lecture des nouvelles lui glaça le sang. Il réajusta ses lunettes de vue rectangulaire à plusieurs reprise sous l’effet de la surprise. Il ne put s’empêcher de rapprocher ce drame de la destructivité des Bouddhas de la vallée du Bâmiyan par les talibans en 2001. Toute fois, Nohan n’imaginait pas que ce soit des extrémistes musulmans qui ait pu faire le coup.
    Nohan rangea le journal dans une des larges côtes de sa veste, puis s’engouffra dans une bouche de métro afin de se rendre à sa cabinet. Comme tous les matin, les couloirs souterrains étaient pleines de monde fourmillant dans toutes les directions pour prendre la ligne qui les conduiraient à leurs lieux de travail.
    Dans la rame, le docteur Nohan passait aperçut parmi les passants. Ses cheveux châtain et sa barbiche bien rasée, aux reflets sombres, et ses yeux noisettes n’avaient rien de particulier. Ses vêtements, costar cravate, laissait à penser qu’il était cadre ou fonctionnaire. Mais il n’en était rien.
    Après plus d’une demi-heure de trajet, Nohan arriva à son cabinet, dans un quartier chic de la capitale française. 
    C’est sa charmante secrétaire, dans son tailleur impeccable, qui l’accueillit.
    « _Bonjour docteur. Vous avez-vous vu les nouvelles ! C’est une catastrophe ! Un si bel édifice ! Vous pensez que cela pourrait être un attentat ? » dit-il d’un air offusqué.
    « _Aucune idée, mais ce qui est sûr c’est que c’est un drame épouvantable. Mais bon, concentrons nous sur autre chose voulez vous. Nous avons beaucoup de travail aujourd’hui. »
       
                 Comme il l’avait dit, la journée fut très longue et épuisante. Nohan était un médecin très compétent dans les soins des yeux. Les clients, de tous pays, de tout âge, se pressaient dans son cabinet pour être soigner.
    Et comme tous les soirs, il allait sortir prendre un verre dans un des bars petit bar du quartier latin qu’il appréciait particulièrement.
    La nuit tombée, il se rendit dans une boite très privé aux limites du quartier Pigalle et au pied de Montmartre. 
    Il y a quelques jours de cela, le docteur Nohan avait été initié à une ancienne société secrète, paradoxalement, bien connu du public profane. Sur l’invitation du grand maître, le médecin avait été invité à boire un verre, uniquement fréquenté par des membres de la société. Cela aurait pu paraître étrange que le grand maître invite une nouvel recru à passer une soirée en sa compagnie, mais ce dernier était aussi médecin. Lui et Nohan se connaissait de longue date ! En effet, l’un avait été l’élève de l’autre sur les bancs de la fac de médecine.
    « _Ha mon ami vous voila ! Comment allez-vous ? Avez-vous passez une bonne journée ? » Demanda le grand maître en voyant son ami et confrère arrivé.
    « _Très bien je vous remercie. Mais j’ai cru que je n’entrerais jamais, le videur est d’une ténacité et d’une méfiance à toute épreuve. Un vrai cerbère. Ma journée fut dès plus longue et fatigante. Je vais finir par croire que tous les grands de ce pays ont des problèmes d’yeux. Mais ne parlons pas de travail. Que pendrez-vous ? »
    « _Ha, mon ami ! Laissez-moi vous offrir à boire, c’est vous le nouveau ici. »
    Le grand maitre fit signe au barman. Quelques minutes plus tard, on leur servit deux demi-pint d’une excellente bière. 
    « _Vous m’aviez parlé d’un spectacle surprenant qui aurait lieu ce soir ? Puis-je en savoir un peu plus ? » Demanda Nohan.
    « _Ah oui ! L’Évanescence ! Il n’est pas encore assez tard. Elle n’arrivera pas avant minuit, voire une heure du matin. Alors en attendant allons boire. » répondit le grand maître en consultant sa montre, une simple swatch que ses enfants lui avaient offert.
     
        Les heures passèrent. Les deux hommes parlèrent du dramatique événement de Rome. Ils spéculèrent sur qui étaient les responsables de cet acte : extrémistes religieux, jeunes sots, fuite de gaz. Un avant que l’horloge du bar n’indique une heure du matin, un des serveurs vint prévenir le grand maître que l’Évanescence était arrivée.

        Les deux médecins, accompagnés d’autres membres de la société, se rendirent dans une petite pièce à l’étage. L’escalier qui menait à l’étage était ancien, tout en bois. Chaque marche était légèrement concave et usée, signe de nombreux passage. La salle était étroite, presque intimistes, avec quelques chaises placées autours de tables rondes. Il y avait une estrade dans le fond. Nohan fut surprit de constater qu’il n’y avait pas de fenêtre. L’agencement des pierres sur les murs montraient qu’il y en avait eu à une époque lointaine.
    Ils patientèrent un moment, en silence, avant que la porte qui se trouvait dernière eux ne s’ouvre à nouveau.
    Entra alors une jeune femme, d’une vingtaine d’année, habillée d’une longue robe de style gothique médiéval, de velours noir et vert. Elle portait également une longues paire de protège bras de velours noir. Ses longs cheveux noir corbeau lui tombaient jusqu’à la taille et lui couvraient une bonne partie du visage. 
    C’est justement cette partie de son corps qui attira le regard du docteur Nohan. Les yeux de la jeune fille étaient recouverts par un large bandage de soie blanche. Il n’y avait pas de sourire sur ses lèvres.
    Elle marchait avec une longue canne en bois, qu’on aurait plutôt appelé un bâton, sur lequel s’enroulaient deux serpents, et ce terminait avec les deux reptiles nez à nez, tous crocs dehors.
        Son arrivée se fit dans un silence de mort parmi tous ceux qui se trouvait dans la pièce. Le docteur Nohan fut surprit de ce silence, et n’osa le rompre, pourtant des dizaines de questions se bousculait dans son esprit. Il aurait voulu les poser au grand maître.
    La jeune fille s’avança, à une allure normale et ne s’aidant absolument pas de sa canne pour tâter le terrain, comme n’importe quel aveugle ou mal voyant aurait fait. Mais il faut aussi dire qu’ici, le chemin qui menait à l’estrade était dégagée et qu’elle devait le connaître.
    Une fois qu’elle fut sur scène, elle se tourna vers les hommes.
    Elle posa son regard, enfin si l’on pouvait s’exprimer aussi, sur Nohan. Le médecin se sentit désemparé. Que devait-il faire : se présenter ? Quitter la salle ? Le grand maître prit la parole au nom de son ami.
    « _Il s’appelle Gabriel Nohan. Il est médecin comme presque nous tous ici. »
    Elle détacha alors son « regard » du nouveau venu. Celui-ci poussa un discret soupire de soulagement. Il s’était sentit oppressé par la jeune femme. Un incroyable et étrange charisme émanait d’elle. Pourtant, au premier coup d’œil, elle paraissait frêle.
    Elle lâcha sa canne. Nohan ne put s’empêcher d’écarquiller les yeux frénétiquement. Le morceau de bois se tenait droit comme un i sur l’estrade. Le docteur cru d’abord que le pied de la canne avait été mis dans un petit trou. Mais il n’en était rien. L’objet était en parfait équilibre sur les planches de bois de la scène.
    Puis, sans prendre d’inspiration, l’Évanescence se mit à chanter. Le cœur de Nohan se stoppa net dans sa poitrine. Jamais de toute sa vie, il n’avait entendu une aussi belle voix ! Doucement, une étrange sensation le gagna, comme lorsque l’alcool commençai à faire effet sur l’organisme. Tout autour de lui, les gens et les objets semblaient disparaître. Le mélodie l’enveloppa complètement, comme dans un rêve. 
     


     

     

    Les quelques chapitres existants sont disponibles sur Plume Imag'in Air

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 27 Avril 2011 à 12:00
    Aaaaah ! * Cœur qui bat * Tain voilà une de tes histoires que je ne connaissais pas ! En plus sur l’alchimie, que demander de plus ? *p* ( Le nombre de fois où j’ai pensé écrire sur ce thème, mais c’est tellement complexe que j’ose jamais me lancer, du coup j’suis admiratif ! * Oui, je suis lâche, quand c’est trop prise de tête, je fuis. * ) Sinon ouais, tu devrais faire comme tu as dit : Ecrire cette histoire et la laisser mûrir ! ( Soit dit en passant, j’ai pas dépassé le premier tome de FMA, et c’est franchement pas à la première chose à laquelle je penserai en lisant ton histoire. XD ) Sinon, ce que j’en pense ? Je peux être chipoteur ? Alors déjà : "Sachez déjà que l’alchimie est l’étude et la transformation de la matière. Mais d’abord, un peu d’histoire" C’est vraiment mode chipoteur là mais l’accumulation de : Sachez déjà et Mais d’abord, fait un peu lourde. Tu devrais remplacer sachez déjà par, apprenez que, et ça serait plus fluide. ;) Bon pour mon mode chipoteur Re : Je pense que le prologue devrait être un peu modifié pour qu’on ait plus l’impression d’être dans une histoire que dans un documentaire. ( A moins que ce ne soit ce que tu recherchais ? ) Pas mal de fautes et d’erreur d’inattention, mais je ne pense pas que ce soit l’endroit pour les énumérer. ^^ Et sinon, pour le global ? Et bien difficile de donner un avis, il faudrait que je lise d’autres chapitres ( J’ai cru comprendre qu’il y en avait sur plume ? ), mais ça donne en tout cas envie d’en savoir plus. =D Déjà à cause du thème, mais également à cause de la dégaine de la chanteuse qui est vraiment sympathique.
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