• Furyo

    "Furyo" (en VO " Merry Christmas, Mr. Lawrence") est un film de Nagisa Oshima avec David Bowie, Tom Conti, Ryuichi Sakamoto, Takeshi Kitano and Jack Thompson.

     

    Synopsis :

    Java 1942 : un camp de prisonniers américains est dirigé par le capitaine Yonoi, un chef japonais à la poigne de fer. A la crainte et au mépris qu'éprouvent les prisonniers et les subalternes du capitaine à l'endroit de ce dernier, s'oppose la résistance étonnante d'un soldat anglais, Jake Celliers. Face à son attitude provocante, Yonoi devient de plus en plus sévère dans le but de faire plier le rebelle.

     

     

    Avis :

    Un film auquel je n’ai pas accroché du tout, où j’avoue même m’être ennuyé.

     

    Il n’est jamais facile de se faire un avis sur un film ancien (bon, OK, il n’est pas si vieux que ça). Mais je n’ai vraiment pas compris la soi-disant profondeur de cette œuvre.

     

    L’action se passe dans un camp de prisonniers sur l’île de Java tenu par les Japonais. Ils y gardent des prisonniers de guerre Anglais.

     

    Choc des cultures ? Peut-être, mais personnellement je ne l’ai pas particulièrement ressenti. Est-ce parce que je fais partie d’une génération qui a une meilleure connaissance du Japon que la génération qui a découvert cette œuvre ? Est-ce parce que je ne sais pas appréhender les codes du cinéma japonais ?

     

    En regardant le film, j’avoue que j’ai eu parfois l’impression qu’il y avait des « trous » dans l’histoire. Est-ce dû au montage ou est-ce moi qui n’a pas été capable de saisir certaines subtilités : donc du coup, y a des choses que je n’ai pas comprises. Par exemple, j’avoue que j’ai eu du mal à comprendre la fascination du capitaine Yonoi pour Celliers. OK, il est blond, a les yeux pas pareils. Mais je n’ai pas réussi à voir comment ce personnage de Yonoi sombrait dans la fascination… on le voit rencontrer pour la première fois Celliers au tribunal : tout semble moral. Mais un peu plus tard, la fascination est là alors que Celliers n’a rien fait. On a une impression de trou entre les deux moments : celui où la fascination commence à apparaitre… Bref

     

    Il y a une très belle musique, d’ailleurs le thème principal est fort connu.

     

     

    Un film que j’ai eu du mal à saisir et dont les quelques explications qu’on a pu me fournir ne m’ont pas permis de mieux appréhender cette œuvre.

     

     

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