"White-Tiger", ou "WhiT" en abrégé, est une histoire de pirate et de corsaire (enfin, plus pirate que corsaire). C'est ma première du genre.


Synopsis :


Ha, je ne pouvais pas envisager d'écrire sans m'essayer au roman de Cape et d'Epée et au roman de corsaire. Ce roman de pirate arrive plus vite sous mes touches d'ordinateur ( et oui, je n'écris pas à la main ) que ma série Macha, déjà présentée.
Donc une bonne petite histoire de pirate bien sympa...Rien de très extraordinaire, mais je me suis bien amusée à l'écrire et j'adore mes personnages, même si certaines sont des énormes clichés...C'est quelque chose qu'il faut essayé d'éviter dans les récits, les clichés, mais il y en a que j'aime trop pour ne pas les utiliser...

J'avais présenté cette histoire à un concours d'écriture. Je savais que je ne pourrais pas gagner avec ça, mais bon, qui ne tente à rien n'a rien. Au final, je n'ai jamais eu les résultats de manière officiel et de ce que j'ai appris que les conditions de sélections énoncées dans le règlement n'ont pas été respecter. Je me suis sentie méprisée et j'ai été dégouté des concours littéraires.


Petit bonus : voila un petit dessin du personnage principal White-Tiger. C'est un dessin en style Chibi-manga. Mais comme je ne peux faire mieux....je ne peux que vous fournir que ça.

"Conan le Destructeur", ou "Conan the Destroyer" est un film de Richard Fleischer, sortie en 1984. C'est le suite de Conan le Barbare.


Synopsis :

La reine Taramis promet à Conan de ressusciter celle qu'il aime s'il accepte d'escorter la princesse vierge Jehna à travers un territoire ennemi. Ils doivent affronter la magie du sorcier Thoth Amon…

Bande Annonce :




Critique :

Bon, ce second volet est moins bien que le premier, même si ce nanard est toujours plaisant. Une musique assez bonne mais elle ne vaut pas celle du premier. L'histoire est assez banal, pas de grand rebondissement mais là, c'est une faute de scénar.
Le gros défaut est le présene de personnages qui ne servent à rien....

"Car la vie est dans le sang" , " For the Blood is the Life", est une nouvelle de Francis Marion Crawford (un écrivain américain) écrite vers 1880.

Synopsis :

Assis sur la terrasse d'une tour, un homme raconte à son ami une bien étrange histoire.

Critique :

Petite nouvelle super sympa ! Encore une fois, on retrouve l'image de la vampire amoureuse, ou du moins qui se donne se sentiment à l'homme qu'elle séduit. L'homme se retrouve réduit en esclavage par cette apparition. Il a beau essayé de s'éloigner, de ne pas céder à cette sensuelle envie, il échoue.
Le vampire est ici une âme tourmentée, qui retrouve un semblant de vie grâce au sang dont elle se nourrit.

"Conan le Barbare", ou "Conant the Barbarian" en VO, est un film de John Milius, réalisé en 1982, avec Arnold Schwarzenegger, James Earl Jones (la voix de Darth Vader, si si je vous jure !).


Synopsis :

Des milliers d'années avant la naissance de Jésus Christ, Conan reçoit de son père, le forgeron, un glaive d'un acier spécial, qui vient des étoiles. Il sera le symbole de sa vie. Il lui faudra découvrir le secret de l'Acier au cours de multiples aventures, en particulier celle qui l'amène à combattre Thulsa Doom, le Dieu-Serpent et l'assassin de ses parents…

Bande Annonce :




Critique :

Ha, un bon navet comme on les aime ! Je m'explique. Il existe deux type de navets : les bon navets et les navets merdiques.

• bon navet : film avec un scénar nul, des acteurs nul...mais où l'on s'éclate tout de même tellement c'est énorme
• navet merdique : film vide, la nulité du film est total ( et souvent se sont des films que l'on annonce comme bien !)

Donc, Conan est bon navet : des barbares avec des grosses épées et des casques en fer, un méchant très méchant super crédible, du sang, de la baston, encre de la baston, du cul, de la baston...
Enfin bref, on reconnaîtra tout de même à ce super navet une très bonne BO !
C'est un classique qui mérite au moins d'être vu une fois.

Gloire à Krom ! *se frappe la poitrine*

"Danse avec les Loups", "Dances with Wolves" en VO, est un film de Kevin Costner sortie en 1990. Le film a eu 7 oscars dont ceux du "best director" et meilleur musique ( de John Barry ).


Synopsis :



Bande-Annonce :



Critique :

Ha, très beau film ! Une superbe musique, des décors somptueux...J'aimerais bien vivre dans un bled aussi paumé....
Ce que j'ai surtout retenu de ce film, c'est montrer à quel point la haine et la bêtise humaine n'ont pas de limite. Dès le moment où Costner adopte le mode de vie indien, il est considéré comme tel et haït par ceux qui l'aurait respecter s'il n'avait pas changer son mode de vie. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est typique des américains, mais ils en tiennent une bonne couche dans ce domaine.
Il montre aussi comment on peut apprendre les uns les autres sans même parler la même langue : vouloir échanger suffit.
Un défaut, par énorme non plus, mais à noter : la mise en scène que Kévin Costner fait de lui même... Bon, rien de bien méchant... Mais c'est pas le premier film que je vois où il montre ses fesses (qui sont pas mal d'ailleurs....).
Certes le film est long, mais on ne voit pas le temps passé !

"Le Vampire" est une nouvelle de John William Polidori écrit en 1819. Cette histoire fut d'abord attribué à Lord Byron, dont Polidori était le secretaire et médecin. C'est le premier texte présentant le vampire "moderne".

Synopsis :

Le jeune Aubrey est fasciné par Lord Ruthwen, un personnage étrange. Il décide de l'accompagner lors de son voyage en Europe.
Mais le Lord semble ne pas avoir de point commun avec l'espèce humaine.


Critique :

Ce texte est une petite merveille ! Mais il faut s'accrocher pour la lire ! Le niveau d'écriture est assez élevé !!
Sinon, quelle histoire ! Lord Ruthwen est la première figure du vampire moderne, c'est à dire où il est proche de l'humain, ce n'est plus une bête. Dans la nouvelle, Ruthwen ne se limite pas à boire le sang de ses victimes, par ailleurs il doit se nourrir une fois l'an, il leur pompe leur argent !
Prisonnier de son serment, Aubrey ne peut sauver sa soeur de Ruthwen, et l'histoire finit mal !!

Depuis qu'il avait été annoncé, je l'attendais de pied ferme ce livre ! Il y a enfin deux mois (ou un peu plus) sortait le "Traité de Vampirologie", sous titré " Par de docteur Abraham Van Helsing,  M. D., Dr. Phil., Dr. Li; etc. Traduit et adapté de l'allemand et du néerlandais sous la supervision d'Edouard Brasey, suivis d'autre traités anciens, rares et précieux, sur le même sujet.".


Résumé :

Les vampires existent-ils? Quelle formes prennent-ils pour séduire les humains et leur famille? Quelles sont les armes pour les détruire?
C'est à ces questions épineuses que répond ce "Traité", rédigé au début du XX^e siècle par le plus grand chasseur de vampires, le docteur Van Helsing, qui terrassa Dracula de la pointe de son épieu.
Authentique grimoire d'antan, cet ouvrage de référence est parfaitement documenté sur tous les aspectss du vampirisme tels que nous pouvons les connaître par l'Histoire, les légendes, le folklore, les croyances et les superstitions. D'anciens traités et nouvelles, signés de grands maîtres du fantastique tels Poe, Hoffmann ou Dom Calmet, viennent compléter ce précieux traité.
Un ouvrage passionnant à conserver sur sa table de chevet, entre le crucifix et les chapelets de fleurs d'ail.







Critique :

Commençons par le livre lui même : il est superbe. Conçu comme un grimoire, le papier fait penser au papier-chiffons d'antan, aucune page n'a la même taille que celle qui la suit ou précède. Les pages sont agrémentées de nombreuses illustrations (gravures, détails pour la décoration). Le seul reproche que je fais à sa présentation, c'est la figure de "chien à trois tête" de la couverture qui me fait bien trop penser au films de Coppola "Bram Stocker's Dracula" et qui ne fait pas sérieux (bien que ce film soit peut-être l'adaptation la plus fidèle au livre).
Passons au contenu.
D'abord, je trouve ça assez sympa de faire passer ce traité pour un authentique écrit de Van Heling. Cela donne un aspect mystérieuse à la lecture, surtout celle qui préface de Brasey qui nous fait douter.
Mais c'est peut-être cela qui rend une partie de la lecture assez "gênante". En effet, l'auteur du traité, à savoir Van Heling, présente la vampire des origines. Seulement voila, son point de vu est assez misogyne. A l'exception de sa - défunte - femme, presque toutes les femme sont des dévergondées castratrices.... Son appartenance à la religion chrétienne a sûrement son importance dans cette vision. On pourrait même finir par croire que les femmes vampires sont des êtres encore plus dangereuses et cruelles que les vampires masculins.
On regrettera que Brasey n'est pas fait une note à ce sujet pour modérer ce point de vue misogyne.
Ce traité évoque aussi le vampire au cour du temps, et le vision qu'on en avait, ainsi que les différents type de vampires. On peut y voir une vraie éruditions.
Autre regret, c'est que Brasey n'est pas ajouter une petite analyse du vampire à l'époque contemporaine. Les écrits de Van Helsing s'arrêtant au XIXè siècle.
Un détail écrit me gêne aussi, l'auteur (Van Helsing) parle de Dracula (son ennemis juré) : il prétend qu''il s'agit d'un prince valaque répondant au nom de Vlad Drakul ou Vlad Tepes. Je ne prétends pas être une experte, mais Drakul et Tepes, ne sont pas le même homme : Drakul (Vlad II) était le père de Tepes (Vlad III), mais les deux était nommé Dracul (ou Dracula). D'ailleur Vlad II Drakul laissa son nom à sa lignée : les Draculae.
Le traité de Van Helsing n'est pas très long en lui même, il doit faire la moitié du livre. L'autre moitié se compose d'extrait d'autres traités qui permet de compléter nos connaissances sur le sujet, ainsi que des textes littéraires traitant des vampires (comme "Le Vampire" de Polidori).

En relisant pas critique, j'ai l'impression d'avoir descendu ce livre plus qu'autre chose. Malgré les défauts, j'ai pris un vrai plaisir à le lire. Je ne peux que le recommander à ceux qui sont férus de vampire, à conditions de le lire avec un regard critique.

"C'est en faisait n'importe quoi que l'on devient n'importe qui", tel est la devise de Rémi Gaillard.
C'est imbécile heureux, il faut bien ce qui est, fait n'importe quoi : il peut défois nous faire rire, defois non...
Je vous propose le meilleur vidéo de lui (du moins de quelques vidéos que j'ai eu le plaisir de voir).

Après Jean-Paule Sartre qui avait perdu sa cigarette, c'est au tour de Monsieur Hulot de perdre sa pipe à cause de la Loi Evin. A la place, Hulot a le droit à un petit moulin à vent.
J'ai vu l'affiche ne passant dans les couloirs du métro de Paris. Sur le moment, cela ne m'a rien fait : une expo sur Tati avec une affiche sympa, drôle.... Quand on ne connait pas trop Tati (comme moi qui ne le connait que de nom) on ne percute pas.

Mais voila quand on apprend que le petit moulin à vent est une application de la loi Evin, là on rigole bien. Sartre en avait déjà fait les frais il y a quelques années.
Franchement, je ne crois pas que voir Sartre ou Tati fumer incite à fumer. Il faut arrêter de prendre les gens pour des cons.... Ce n'est pas parce que un grand écrivain, ou réalisateur ou qui vous voulez de connu, fume que les gens qui aiment son oeuvre vos ne mettre à fumer à leur tour ! Certes, j'admets que cela peut-être influencer un public jeune (12-18 ans), et encore ... Et encore, je veux bien mettre une jupe pendant une semaine si vous trouvez un jeune de moins de 18 ans ayant lu du Sartre et vu du Tati !
De plus, l'affiche de "Coco avant Chanel" où l'on voit Audreay Tautou avec une cigarette à la main a put être affiché sans problème....Y a un problème là...

Et puis demain, ce sera quoi ? On supprimera la pipe à Sherlock ? On n'écrira plus que Baudelaire buvait ? On floutera les films où l'on voit des personnages fumer ? On modifiera toutes les photos de personnalités qui fument ?

Je ne fume pas, je suis très heureuse qu'on est plus le droit de fumer dans les lieux publics (on peut enfin aller tranquille dans les bars !) car je ne supporte pas la fumée de cigarette ! Mais voila, je crois qu'il faut aussi arrêter de déconnoner !


Imaga originale.


Imaga modifiée.

Mon amie Nath Daswhox m'a fait un super fan art de Macha.




Je la remercie encore.
 Avec Yuna (une autre amie), elle prépare une BD :"Le collectionneur". Yuna est au scénario et Nath au dessin. Les premiers essais sont sur son Deviant art. Vous pouvez aussi retrouver les écrits de Yuna à partir de son Myspace, et son histoire "Le collectionneur" est sur Plume Imag'In Air.
Je vous propose ici le synopsis de ce superbe trhiller :
Journal intime d'un monstre, mais au fond, qu'est-ce qu'un monstre? Un homme haït de tous pour ce qu'il a fait, pour ce qu'il a décidé de réaliser au nom d'idéaux qui nous sont alors inconnus. Une histoire cruelle, morbide et sanguinaire, mais surtout l'histoire d'un être humain qui aurait très bien pu être vous.