• Le signe des quatre

    "Le signe des quatre" (The Sign of four en VO) est un roman de Sir Arthur Conan Doyle.

     

    Synopsis :

    Chaque année, la jeune Mary Morstan, dont le père, officier dans l'armée des Indes, a disparu voilà longtemps, reçoit par la poste le présent d'une perle. Le jour où une lettre lui fixe un mystérieux rendez-vous, elle demande au célèbre Sherlock Holmes de l'y accompagner... Cependant que le bon Dr Watson est conquis par le charme de la jeune fille, nous nous enfonçons dans une des plus ténébreuses énigmes qui se soient offertes à la sagacité du détective. L'Inde des maharajahs, le fort d'Agra cerné par la rébellion des Cipayes, le bagne des îles Andaman sont les décors de l'extraordinaire aventure qu'il va reconstituer, et qui trouvera sa conclusion dans les brouillards de la Tamise...

     

     

    Avis :

    Un livre sympathique.

     

    Ayant bien commencé ma lancée, je continuais donc ma lecture des aventures de Sherlock Holmes. De plus, je choisis de livre les livres dans leurs ordres de sortie (merci, Wikipédia kof).

    Comme pour Une étude en rouge, j’étais un peu anxieuse pour ma lecture, car à faire de voir des films et séries, j’avais l’impression de connaitre l’histoire sur le bout des doigts… et bien pas tant que ça. Si l’intrigue je la connaissais, j’ai été surprise que ce soit dans cette aventure (soit la seconde !) que Watson rencontrât son épouse ! Je savais que Watson se mariait, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit « aussi rapide » et qu’il rencontrait la jeune femme au court d’une enquête. Donc c’était plutôt une bonne surprise.

     

    Après quoi dire de plus ? La plume de Doyle est vraiment agréable. Même si on connait l’intrigue (ou presque), à aucun moment je n’ai senti de longueur. Je ne me suis pas ennuyée non plus.

     

    Comme pour le tome précédent, la lecture nous fait ressentir l’érudition de Doyle et sa capacité à nouer des intrigues à partir de ces dernières. Au final, il y a un côté exotique sans que celui-ci soit trop prononcé (pas d’orientalisme primaire).

     

    Bref, un moment de lecture très sympathique.

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