• L'or des Malatesta

    "L'or des Malatesta" est un roman de Laurent Ladouari.

     

    Synopsis :

    Tancrède et Julien ont grandi dans un orphelinat financé par la fortune de l’énigmatique Adamas. Le jour de leur vingtième anniversaire, ils apprennent qu’ils sont les enfants d’Alexandre Malatesta, un mafieux et trafiquant d’armes dont on les a tenus éloignés. À l’article de la mort, ce dernier demande à ses fils de porter son nom et d’honorer sa tombe en échange de quoi, ils hériteront d’un trésor fabuleux, fruit d’une vie de crimes.

    Tancrède accepte. Julien refuse.

     

    Avis :

    En premier lieu, je tiens à remercier HC Editions pour le SP.

     

    Un livre qui n’est pas mon genre de lecture.

     

    Ce livre est une « suite » à Cosplay (renommé Adamas, maitre du jeu). Je n’ai pas lu ce premier tome qui trône dans ma bibliothèque depuis bien longtemps. Ceci dit, L’or des Malatesta peut se lire individuellement sans soucis. Bien sûr, je pense que certains points ont été plus parlants pour les lecteurs de Cosplay, mais je n’ai pas ressenti de gêne particulière. En revanche, ce n’est pas dit que ce tome ne spoile pas le premier. À voir avec les lecteurs de Cosplay.

     

    Perso, j’ai eu quand même du mal avec ce livre. Déjà, je l’ai trouvé bien trop gros ! J’avoue que j’ai eu l’impression de trainer le livre pendant des lustres bien que l’écriture soit fluide et agréable sans difficulté particulière.

    Je pense qu’il y a un problème de rythme. J’ai trouvé l’intrigue assez linéaire dans son déroulement. Ça manque de retournement de situation spectaculaire, de scènes tendues, de retournement de situations. Je n’irais pas dire qu’il y a des choses « convenues », mais je n’ai jamais été surprise.

     

    Le livre possède cependant des qualités. Une écriture plaisante à lire. Mais aussi toutes les ribambelles de personnages d’horizon très différents. Niveaux diversités, il n’y a rien à dire ! Pareil pour les personnages féminins.

    Comme quoi, on peut faire des récits proches du « post-apocalype » et offrir aux lectorats des personnages de la diversité et des héroïnes dignes de ce nom. Quand on veut on peut dit le dicton.

     

    Les personnages sont tous bien construits et hormis le personnage de Julien que j’ai eu du mal à apprécier et à comprendre, je pense qu’il n’y a rien à dire à ce sujet. Par ailleurs, je me suis demandée sur les deux prénoms des protagonistes, Tancrède et Julien n’avaient pas un sens caché. Non que le livre soit cryptique, mais je pense qu’il joue sur des références.

     

    Pour ce qui est de l’intrigue, pas facile d’en parler sans en dire trop. Surtout que le livre traite des sujets auquel je ne suis pas familière. De plus, ce n’est jamais vraiment le type de récit que je recherche en général. Je ne suis pas le public type. Je pense aussi que l’aspect « ostentatoire » de certaines choses ainsi que la facilité avec Tancrède parvient à ses fins n’a pas réussi à me convaincre.  

    Le récit est engagé politiquement, je l’ai ressenti. Hélas, comme je l’ai dit plus haut, certains aspects presque « convenus » donnent une sensation de gros. Il faut dire que l’on est un peu dans un récit genre « complotistes ». Et ce n’est pas ma tasse de thé.

     

    L’or des Malatesta n’est pas un mauvais livre en soi. Mais sa lecture ne m’a pas emballé. Je ne suis pas le public type. De plus, je ne suis pas friande de ce type de récit.

     

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