• City Hall, T.04

    "City Hall, tome 4" est un manga de Guillaume Lapeyre pour le dessin et Remi Guerin pour le scénario.

     

    Synopsis :

    L’enquête qui a tenu la City en alerte au cours des derniers mois semble toucher à sa fin : Black Fowl croupit derrière les barreaux en attendant son procès et Amelia s’apprête à faire ses adieux à Arthur, et prendre congé de ses hôtes pour repartir
    en Amérique. Mais l’orage couve derrière ce calme apparent : alors que Jules se débat dans un conflit intérieur violent et lutte pour accepter la sinistre vérité révélée par son ennemi, la Reine annonce subitement l’exécution sommaire de Pierre Verne et du Corbeau, tous deux enfermés dans les geôles de la Tour de Londres.
    Il ne reste que trente jours au trio pour accomplir ce que Black Fowl n’a jamais réussi à mener à bien en vingt ans : trouver la feuille de papier qui a fait de lui un papercut si redoutable…

    City Hall, T.04

    Critique :

    Nous voilà donc lancés dans un second cycle. Et il commence plutôt bien.

     

    J’hésite à parler de l’histoire de ce quatrième tome, car je ne voudrais pas trop spoiler les révélations qui ont lieu dans le troisième. Quoi qu’il en soit, Jules, Arthur et Amélia partent pour Paris pour tenter de récupérer ce que Black Fowl convoitait tant. Évidemment, les choses ne sont pas si simples, que ce soit en France ou en Angleterre où les choses se gâtent pour Pierre Verne et où les amis trahissent.

    Bref, quoi qu’il en soit, les choses semblent se complexifier et j’avoue être curieuse de voir où l’auteur va mener son affaire.

     

    On retrouve dans ce tome tous les éléments qui font le succès, selon moi, de cette série : les environnements steampunk énormes, des références à de nombreux auteurs et à la littérature, ainsi qu’à d’autres personnages historiques. Bref, je ne vais pas trop m’étaler, mais c’est un vrai plaisir de retrouver cet univers.

    Il y a aussi un coup d’œil et un chapitre bonus à une websérie que je ne connais que de nom : le voyageur du futur. Et c’est bien rigolo.

     

    *Ouverture des cieux noirs, apparition d’un rayon de lumière* Alléluia ! Les personnages féminins ont enfin un tour de poitrine humain !! Eh oui, il aurait fallu un cycle complet de récit pour qu’enfin on retrouve des héroïnes auxquelles on puisse vraiment accrocher, dans tous les sens du terme.

    Ceci dit, Amélia a des vêtements vaguement plus courts (mais qui restent acceptables). Pas grand-chose à dire pour Marie hormis sa belle réduction mammaire. Il me semble aussi que l’aviatrice (oui, Amélia est une aviatrice) est prise des traits de dessins plus « légers »… Mais bon, que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir !  

     

    Un nouveau cycle qui commence vraiment bien. Et cette fois, il n’y a pas vraiment de points noirs. Affaire à suivre avec plaisir.

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