• J'avoue que je me suis prise d'affection pour les Challenges !

     

    Je participes à plusieurs d'entre eux et j'avais envie de faire un petit point sur ces derniers.

     

    Le premier "Challenge Textes Anciens" est un challenge que j'ai lancé au début d'année pour lire de la littérature antique et médiévale, tous pays cofondus. J'avoue m'être découvert une certaine affection pour la littérature médiévale à cette occasion. Le challenge fini en fin d'année, mais je pense que je vais le relancer  l'année prochaine, car j'ai pris connaissance de nombreux ouvrages.

    Divers

     

     

    Je participe aussi au CRAAA, Challenge Recueils And Anthologies Addict, lancé par mon amie Cornwall de La Prophétie des Anes.

    Je crois que tout est dans le titre pour ce challenge. J'avoue que lire des nouvelles, ou des anthologie de romans courts, me plait bien. Il faut dire que la Nouvelle est un genre encore trop méprisé ou dénigré, alors que cela n'a rien de facile.

    Et en plus, on a tous un tas d'anthologie ou de recueil dans nos PAL ! Ca donne une bonne raison de les lire !

     
     
     
    Tout récemment, je me suis inscrite à un challenge qui va tourner autour des savant.e.s et de la science, Challenge Savants et Savants Fous, organisé par Salyna de L'Ecosystème d'Anaiscience. Je n'ai pas encore prévu de PAL mais je pense que j'ai quelques ouvrages dans mes biblio qui conviendront très bien.
     
    Challenge Savants et Savants fous
     
     
     
    Je viens tout juste de m'inscrire pour le challenge Francofou de La Magie des Mots où il faudra chroniquer des romans, nouvelles, anthologies, BD de SFFF Francophone. Le challenge peut être coupler avec d'autre challenge, ce qui est parfait pour faire une pierre deux coups avec le CRAAA.
    J'avoue que je suis très heureuse de participer à ce challenge parce que j'en ai marre de toujours entendre qu'il n'y a pas de bonnes SFFF francophone et française pour faire un peu de chauvinisme.
     
     
     
    Pour finir,  je participe au Challenge Imaginales 2015, soit lire tous les livres achetés lors des Imaginales de cette année. Il est organisé par Vision Livre
     

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  • "Le grand livre de Mars I" est un livre de Leigh Brackett contenant "L'épée de Rhiannon" et "Le secret de Sinharat"

     

    Synopsis :

    Matt Carse, archéologue et aventurier, s'est installé sur Mars. Lorsqu'un informateur martien lui indique l'emplacement d'une tombe légendaire, celle de Rhiannon le Maudit, il se voit déjà riche ! Mais sa profanation a un prix : Matt est projeté un million d'années plus tôt sur une Mars couverte d'océan et de verdure… Eric John Stark, un agent terrien, s'engage comme mercenaire au service de Delgaun, seigneur de Valkis, le repaire des anciens Rois Pirates. Cet ambitieux veut entraîner les tribus des Terres Sèches à la conquête des riches Etats-Cités. Stark se joint à une caravane, sous la conduite de Kynon et de Berild, la reine aux cheveux de flamme. Une puissance diabolique est à l’œuvre, et la guerre qui s'annonce peut ensanglanter la moitié de la planète. Mais il y a peut-être encore une chance de l'arrêter.

     

    Avis :

    Deux courts romans qui se dévorent comme des petits pains.

     

    Parfois, il y a des livres qu’on aime et qu’on chronique assez facilement. Parfois, on adore mais on a du mal à trouver les mots pour l’expliquer. Et j’avoue que les pour les récits dans ce livre, «L’épée de Rhiannon » et « Le secret de Sinharat », c’est le cas.

     

    Je crois que la première chose que j’ai aimé, c’est le côté direct du style. Il y a de la vie sur Mars, des civilisations entières, récentes ou passées, mais l’auteure ne s’attarde pas dessus. Il n’y a pas des lignes et des lignes pour « justifier » tel ou tel aspect. C’est comme ça, point. Et j’avoue que c’est assez plaisant.

    Les deux livres se lisent hyper bien. On enchaine les pages à  un rythme fou (« oh, j’ai déjà lu 20 pages !) car l’écriture est fluide, dynamique, va à l’essentiel. Ca fonctionne divinement bien.

     

    J’ai aimé les deux héros des deux récits. Des sortes de Han Solo (référence pas anodine d’ailleurs) ni vraiment mauvais garçons, ni vraiment gentils garçons non plus.

    Comme je l’ai dis un peu plus haut, Mars possède de nombreuses civilisation passées ou présentes. Je ne peux qu’être admirative de l’auteure qui sait parler de ces choses là en toute simplicité mais avec force. Il y a beaucoup de références mythologiques.

     

    Comme c’est une auteurE, les personnages féminins sont supers bien : a la fois belles et fortes, qui ne sont en rien des potiches même si ce ne sont pas vraiment elles les héroïnes. Elles sont courageuses, nobles. On sent que l’auteure les a travaillés en profondeur ! Bref, j’ai vraiment aimé. Si je me permettrais un reproche sur cet aspect, c’est jamais ce ne sont elles les héroïnes  (personnages principales) et c’est dommage car j’aurai adoré voir comme l’auteure les auraient mis en scène.

     

    S’il y a une chose qui m’a moins plu dans ces deux récits, ce sont les fins. Non pas qu’elles sont mauvaises, mais je trouvais qu’il y avait peut-être quelques choses d’un peu « convenu ». Je ne suis pas vraiment parvenue à détecter quoi exactement.

     

    Quoi qu’il en soit, ce sont deux supers romans que je recommande à lire quand on a envie de lire un truc fun, rythmé et dynamique.

     

    Je remercie ma camarade Arieste de m’avoir prêté ce livre.

     

     


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  • "La station de l'Agnelle" est un recueil de nouvelle de Jean-Claude Dunyach.

     

    Synopsis :

    Bientôt mille ans que j'attends l'événement : la Grande Conjonction, l'alignement de toutes les étoiles de la galaxie Dunyach dans un même chapelet de perles rares. Mille ans, c'est long ! Surtout qu'à chaque saison de chaque année d'autres astres éclosent et qu'il faudra aller les moissonner un peu partout dans l'univers.

    Cueilleur d'étoiles. Des étoiles qu'on rit à chaudes larmes quand elles décrivent les habitudes migratoires des pères Noël, des étoiles qui se pleurent en silence aux abords de la station de l'Agnelle, des étoiles à vous glacer les neurones lorsque sonne l'heure des vers. Et en filigrane, dans chacun de leur noyau en fusion, une infinité d'histoires d'amour avec chute. Dans ce premier opus, il y a tout ça, et plus. Il y a Jean-Claude Dunyach, le semeur d'étoiles.

     

     

    Avis :

    Un recueil dont je suis ressortie mitigée.

     

    J’avoue que je vais avoir du mal à donner mon avis sur ce petit livre qui, mine de rien, se lit super bien. En effet, si certaines nouvelles m’ont parfois laissée perplexes, j’avoue que l’écriture de l’auteur se lit avec un certain plaisir, avec un style plus ou moins léger selon les textes.

     

    Mon principal soucis que j’ai eu en lisant a été de comprendre où l’auteur voulait en venir avec sa nouvelle. Par exemple, je ne suis pas certaine d’avoir compris le sens du premier texte, ce qu’il signifie, ce que l’auteur a voulu dire, transmettre.

     

    D’autres textes, comme « Fin de l’été indien » m’a plu mais m’a laissé sur ma fin. Le récit est très court ; Dunyach montre qu’il a compris le chamanisme, mais….cette fin…On a l’impression d’être juste sur un moment de vie, sans vrai début, ni vrai fin. J’avoue que j’aurai voulu en lire plus. J’ai eu l’impression d’un début de récit coupé brutalement.

     

    Heureusement, certaines nouvelles m’ont bien plu, comme « Le jeu des dédicaces ». Bien que l’on sente la « private joke » dans ce récit, il n’en reste pas moins qu’il est tendre et touchant. J’avoue que comme « jeune auteure », il m’a touché et je me suis dis que moi aussi, un jour, j’aurai aussi ma chance.

    « L’heure des vers » est probablement le texte le plus glauque du recueil mais il est super.

    « Rapport sur les habitudes migratoires des Pères Noel » m’a bien fait rigoler. J’avoue avoir retrouvé la plume rigolote que j’avais découverte en préface de l’anthologie « Trolls et Licornes ». Un bon moment de rigolade.

     

    Je pense que j’ai eu du mal  à accrocher aux textes SF mais que j’ai eu plus de facilité avec ceux fantastiques. Cela vient peut-être du fait que je ne suis pas une grosse lectrice du premier genre.

    Quoi qu’il en soit, l’ensemble se lit assez bien car le style de l’auteur est très agréable.

     

    Un ouvrage sympathique mais peut-être plus pour les amateurs de nouvelles et de SF.

     

     

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  • "Chronique de Nestor, Naissance des mondes russes" traduite du vieux-russe par Jean-Pierre Arrignon.

     

    Présentation :

    Au début du XIIe siècle, dans le monastère des Grottes à Kiev, le moine Nestor entreprit de rédiger cette Chronique, qui porte son nom, et qui est la plus ancienne histoire de la Russie que l’on connaisse.
    L’entreprise était formidablement ambitieuse. Il s’agissait en effet d’une mise en ordre du temps afin d’inscrire la principauté de Kiev, capitale de ce qui s’appelait alors la Rus’, dans la continuité de l’histoire universelle chrétienne. Nestor commence ainsi son récit avec le partage du monde qui eut lieu après le déluge, et, nommant les peuples qui habitèrent la terre, fait entrer dans l’histoire (au commencement du septième millénaire après la création du monde) les différents peuples slaves qui occupaient les forêts et les rives des grands fleuves entre la Baltique et la mer Noire. Année par année, il recense les événements qui ont marqué la naissance de cette Russie primitive, articulant habilement les récits mythiques ou légendaires des âges obscurs, puis raconte comment, du mélange des tribus slaves avec les scandinaves installés entre Novgorod et Kiev est née le premier embryon des mondes russes. À la suite d’expéditions commerciales et de pillage contre Constantinople, la lente et difficile christianisation des Russes commence, au milieu des guerres entre princes ou tribus, accompagnée de la diffusion de l’alphabet cyrillique, qui véhicule le christianisme orthodoxe sous le patronage très prégnant de l’Empire byzantin.

     

     

    Avis : 

    Un livre intéressant mais inégal.

     

    Cet ouvrage, écrit par le moine Nestor, retrace toute l'histoire de la Rus' (grosso modo actuelle Ukraine – Kiev- et une partie de la Russie) de ses débuts – depuis le Déluge- jusqu'à son époque – XIIe siècle. C'est une chronique, donc le découpage se fait année par année : telle année, il s'est passé ceci et cela.

     

    Pour le contenu, j'ai trouvé cela très intéressant car l'on découvre une partie de l'Europe qu'on connaît peu, avec ses populations – il faut parfois s'accrocher avec les noms – leur mouvement, parfois quelques éléments « d'ethnographie » ; ses souverains et ses guerres, etc.

    L'ouvrage n'est pas forcément facile d'accès. A cause des noms premièrement : je ne vais pas dire qu'ils s'appellent pas tous pareils, mais presque. Les noms des divers protagonistes sont assez proches les uns des autres, des parents à enfants...J'avoue que je m'y suis parfois perdu.

    Ensuite, il y a parfois des longueurs où le moine -l'auteur- place des extraits de divers livres religieux pour illustrer quelque chose. Mais c'est parfois une page entière !

    Le livre retrace l'histoire des souverains avec ses guerres de pouvoirs et ses jeux fratricides – rien à envier à Games of Thrones. C'est parfois un peu complexe entre les noms des protagonistes et les noms ds villes, mais cela reste sympathique.

     

    Dans la chronologie, on voit aussi l’émergence de la religion chrétienne (byzantine) chez les populations dont principalement chez les souverains de Kiev. C'est assez intéressant bien qu'un recul soit nécessaire (après tout, c'est écrit par un moine, il ne va pas vanter les païens). Par contre, dès que la religion chrétienne est bien implanté, j'avoue que je n'ai trop accroché aux longs passages sur la naissance de tel monastère, son histoire, ses chefs ect…Il faut dire qu'on retrouve souvent des longueurs.

     

    Le livre a une carte qui aide assez bien mais elle ne représente que les plus grosse ville.

     

    Cet ouvrage bien qu'intéressant a quelques longueurs (mais peut-on l'en blâmé, ce n'est pas un roman!). L'ensemble n'est pas toujours facile à comprendre à cause des noms qui se ressemblent et qui se répètent.

     

    Je le recommande uniquement pour un public averti et qui aime ce type de livre.

     

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  • "Les Evangiles des Quenouilles" traduits et présentés par Jacques Lacarrière.

     

    Présentation :

    Écrit en « françois » mêlé de formes picardes et publiés à Bruges en 1480, Les « Evangiles des quenouilles » ont acquis très vite une grande popularité. Depuis longtemps, ce texte sert de référence à tous les spécialistes du folkore et de l'histoire des mentalités et, pourtant, il n'avait jamais été traduit en français moderne jusqu'à ce jour. Six femmes « sages doctoresses et inventeresses » se réunissent au cours de six veillées pour disserter à tour de rôle sur les maladies, remèdes, recettes, dictons, conseils et interdits de leur vie quotidienne. L'œuvre anonyme recueille donc un grand nombre de croyances et de superstitions concernant les femmes. Croyances qui ne sont nulllement mortes avec le Moyen Age et dont beaucoup survivent encore dans nos campagnes.

     

    Avis :

    Un livre qui se lit tout seul.

     

    J'avais vu cet ouvrage cité dans nombreuses de mes dernières lectures, j'ai donc été très heureuse de le trouver à ma bibliothèque. En effet, Les évangiles des quenouilles est évoqué comme une référence pour ce qui concerne les mentalités de l'époque et les croyances. Si je parle de cela, je pense que c'est important pour aborder ce livre. L'introduction nous y prépare mais je l'ai trouvée peut-être un peu « simple », bien qu'à relativiser vu que l'ouvrage doit s'adresser à tous les publics.

     

    L'auteur, probablement un moine, écrit les recommandations, préceptes, avertissements de femmes – six plus exactement – lors de six soirées. Ces dames, des sages, évoquent la médecine, des croyances, des remèdes ; bref elles narrent un savoir que les femmes instruites possèdent.

     

    Certains de leur dire prêtent à sourire pour le lecteur de maintenant – j'avoue – mais ils reflètent la manière dont les gens de l'époque concevait les choses, où magie, hasard et signes ont un sens.

     

    Le livre se lit très facilement, sans vrai problème bien que le traducteur est choisi de conserver certains mots anciens. Après pour la compréhension, je pense qu'il y a plusieurs niveau de lecture selon ce que l'on « recherche » ou que l'on connaisse. J'avoue que si je n'avais pas su que cet ouvrage était une référence sur l'histoire des mentalités, je serais sûrement passée à côté de beaucoup de chose. Et probablement que j'ai loupé beaucoup d'élément.

     

    Quoi qu'il en soit, ce fut une lecture plaisante. Je pense que tous les publics peuvent le lire, mais ce n'est pas sûr que sa réception se fasse de la même manière. De ce fait, il faudrait mieux le réserver à un public amateur de ce type d'ouvrage et ayant déjà quelques connaissances.

     

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  • "Nos bons voisins les lutins : Nains, elfes, lutins, gnomes, kobolds et compagnie" est une anthologie de textes réunis, présentés et annotés par Claude Lecouteux.

     

    Présentation :

    Il était une fois des créatures fantastiques sur lesquelles on croit tout savoir, et même si elles portent bien des noms, on les appelle les nains. Ils ont inspiré non seulement les écrivains comme Hermann Hesse ou Charles Nodier auquel nous devons Trilby ou le lutin d'Argail, mais aussi des poètes et des compositeurs. Pour tout un chacun ce nom évoque les homoncules qui recueillent Blanche-Neige ou encore ces statuettes que l'on aperçoit dans les jardins. Malgré des études érudites, ces individus sont encore nimbés de mystère. Les contes et légendes rapportant leurs faits et gestes ont plus accrédité des stéréotypes que dévoilé leur véritable nature. Bref, les nains forment un ensemble d'une complexité redoutable, eux dont la pérennité est des plus étonnantes, et l'image que nous avons d'eux est issue d'une longue tradition dont nous tenterons de cerner les contours. le vocable " nain " est un terme générique qui recouvre des êtres formant quatre groupes distincts : les génies domestiques, les génies de la nature, les esprits tapageurs et les nains proprement dits. Au fil des siècles, ces groupes se sont confondus et leur spécificité respective s'est estompée. Pour cette anthologie, nous avons essentiellement retenu des récits de croyance et, pour bien les distinguer de la littérature, des contes et légendes empruntés à divers pays. le lecteur pourra constater combien la facture est différente, notamment en comparant certaines narrations avec leur adaptation littéraire que nous transcrivons lorsque cela est possible. La majeure partie des textes provient du monde germanique, de recueils inconnus en France parce que jamais traduits et souvent rédigés en dialecte local. le classement en chapitre est destiné à procurer une vue d'ensemble des traditions, mais il est évident que chaque texte relève de plusieurs chapitres, selon le thème principal retenu. Cet ensemble de textes confrontera le lecteur à des motifs rares, voire inconnus ici. Qui sait que les nains ne peuvent venir à la surface du sol que quelques jours par an ?, que la perte de leur bonnet ou d'une chaussure les prive de sommeil ?, que les objets sacrés les fixent sur place ? Ces récits au bois dormant méritent de sortir de leur léthargie séculaire.

     

     

    Avis :

     

    Une anthologie intéressante.

     

    Dans ce livre, Claude Lecouteux nous propose de découvrir tout un ensemble de texte traitant des petits êtres, nains, elfes, lutins. L'auteur a regroupé des récits (européens) qui évoquent ces créatures et les a classés en divers thèmes.

     

    La première chose qui est frappante c'est la diversité des créatures. La liste, non exhaustive, est assez incroyable et majoritairement germano-scandivanes. Je suis sûre qu'il y en a encore beaucoup d'autres, mais il serait probablement impossible de toute mettre dans un seul ouvrage.

     

    Les textes, plus ou moins anciens, sont tous très accessibles et ne présentent pas de difficultés particulière de lecture. La seule chose qui est parfois « pénible » c'est l'effet répétition : en effet, certaines histoires sont presque les mêmes, avec seulement les noms qui changent.

     

    Les amateurs d'une célèbre saga mettant un jeune sorcier balafré devraient retrouver d'agréables « sources » à l'un des personnages (que personnellement, je déteste).

     

    J'ai beaucoup apprécié ma lecture. J'y ai découverts plein de chose, de références pourrait-on dire, surtout que j'ai pu lire de nombreux ouvrages de l'auteur.

    Un livre que je recommande à tous les amateurs du genre.

     

     

     

     


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  • "R.U.S.T. T.01 : Black List" est un comic de Luca Blengino au scénario et Nesskain au dessin et couleur.

     

    Synopsis :

    Rayés de la surface de la Terre par des monstres mécaniques surgis de nulle part, les humains vont devoir leur salut aux pires criminels? Les robots géants dynamités par le graphisme de Nesskain. An 2100. Le Conseil des Douze Métropoles doit faire un choix. Succomber aux S-Cats, ces créatures qui ont balayé l'humanité et obligé les survivants à se réfugier sous terre? Ou bien faire appel à la Black List et confier les plus puissantes machines jamais construites à de dangereux psychopathes?

     

     

    Avis :

     

    Une BD qui m'a emballée !

     

    Est-ce que vous connaissez le manga/anime Evangelion ? Oui, non ?

    Notre monde a été attaqué et en partie détruit par des S-Cat, d'étranges créatures venues dont ne sait trop où, forçant les humains à se replier sous terre. Les scientifiques, à partir de fragments de ces créatures, sont parvenus à créer des RU, des robots mi-machine mi-vivante, que seules quelques personnes peuvent contrôlées.

    Mais voila, le seul problème c'est que tous les pilotes sont morts et leurs clones ne sont pas encore mature. La seule solution : cinq personnes, toutes psychopathes, tueurs ou fanatiques religieux...Bref, des gens hyper-dangereux pour l'humanité déjà bien affaiblie.

     

    L'une des premières choses que j'ai adoré, c'est le dessin, et surtout la coloration. Cette dernière est particulière mais elle permet de donner toute sa force et son charme à cette BD. J'avoue un gros faible pour les R.U, créatures aux formes étranges. Les S-Cats ne sont pas mal non plus dans leur genre.

     

    J'y prête souvent peu d'attention, mais il y a un découpage du récit qui rend l'ensemble très cinématographique et donc très dynamique.

     

    J'ai adoré les personnages. Tous sont superbement construits avec des caractères biens trempés. Je ne pourrais donner qu'un très bon point pour les personnages féminins qui sont toutes les deux géniales dans leurs genres (je pense que le « génial » est à relativisé dans le cas de la fanatique religieuse, mais elle est tellement...bizarre).

     

    L'idée de mettre des gens « dangereux » et « amoraux » dans les RU est très bien pensée car lorsque qu'on regarde (ou découvre) les scientifiques qui dirigent le programme de recherche sur les S-Cat et les RU, on remarque que ce n'est pas l'éthique qui les étouffent.

     

    J'ai vraiment beaucoup aimé cette BD, un coup de coeur en ce début de rentrée littéraire (même si l'ouvrage n'est pas sortie à cette occasion).

     

     

    R.U.S.T. T.01

    Merci à mon camarade Loic de me l'avoir prêtée.


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  • A partir du 14 septembre et jusqu'au 20 septembre, je vais tenter mon premier marathon lecture !

    En effet, le blog Chroniques littéraires organise un marathon où il faut lire 3000 pages ! Mais pour les novices comme moi, il est possible d'en lire moins. Je tente donc les 1000 pages. Et si je peux, j'en lirais plus.

     

    Une seule consigne : lire les livres des challenges en cours ! Et je pense qu'entre le CRAAA, le challenge texte ancien et le challenge Imaginale 2015, j'ai de quoi faire !

     

     

    Je n'ai pas vraiment préparer de PAL....mais je tacherai d'éditer ce post au fur et à mesure de la semaine.

     

    Lundi 14 :

    15h18 : fini Les évangiles des quenouilles > 135 pages

    Mardi 15 :

    15h15 : fini Chronique de Nestor que j'avais repris page 92 > 188 pages ; total 323

     Mercredi 16 :

    16h44 : fini La station de l'Agnelle > 124 pages ; total 447

    Samedi 19 :

    11h04 : fini Le Grand livre de Mars I > 314 ; total 761

     

    Bilan :

    J'ai débuté "Même pas mort" de Jean-Philippe Jaworski samedi après Le Grand livre de Mars I.  J'en ai lu 75 pages.

    J'ai donc terminé le challenge avec 836 pages lues. C'est pas mal pour une première participation à ce type de challenge. Il faut dire que j'ai aussi eu une semaine bien remplie.

     

    J'espère faire mieux la prochaine fois.

     


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  •  

    La nouvelle vient de tomber : le prochain épisode de Star Wars, l'épisode VII, The Force Awakens, sortiera le 16 décembre en France, soit deux jours avant les Américain où cette sortie est prévu le 18 !

     

    Nous sommes donc à 100 jours de sa sortie !!! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!

    (oui, je fais rarement deux posts en une même journée, mais là, c'est presque la fête !)


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  • Aujourd'hui, c'était le jour de l'opération "J'achète de la SFFFH francophone". J'ai donc fais mes petits achats, principalement en Ebook.

     

    Mais commençons par le livre papier : Port d’Âmes de Lionel Davoust tout récemment paru aux Editions Critic.

     

     

    Pour le numérique, j’ai craqué sur Smog of Germania de Marianne Stern aux Editions du Chat Noir

     

    Enfin, je me suis laissée tenter par Ankh, opération tempête de sable de Hina Corel aux Editions La plume et le parchemin (la seule maison d’édition SFFF de l’île de la Réunion).

     

     

    Au passage, j’avais acquis au mois d’août deux livres des Editions du Riez (qui est à l’honneur de Un mois, une maison, un achat) : Au sortir de l’ombre de Syven et Les tangences divines de Franck Ferric.

    N’hésitez pas à soutenir cet éditeur breton (et finistérien !)

     

     

    J’en profite pour remercier celles et ceux qui se seraient laissé.e.s tenter par les antho où je suis présente ou pour ma nouvelle Chimères.


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