• Le troisième Salon du Vampire se tiendra les 20 et 21 septembre, à Lyon, à la Maison des Italiens. Le thème de cette année « Chasseurs et chasseuses de vampires ».

     

     

    Le salon proposera des conférences, des animations et bien sûr des rencontres avec des auteurs. Ont déjà été annoncés : Jacques Finné, Nicolas Stanzick, Pascal Croci, Jeanne-A Debats, Sophie Dabat, Li Cam et Fabien Clavel.

    Il y aura aussi des stands d’éditeurs…

     

    Pour les personnes habitant loin de la capitale des Gaule et n’ayant pas de moyen de logement à proximité, sachez que le Salon est partenaire avec un hôtel non loin de la Gare Part-Dieu. Plus d'infomations sur le site des organisateurs.

     

    Vous pouvez devenir bénévoles pour les deux jours du Salon. Renseignement ici.

     

    Pour suivre l'actualité du Salon et découvrir toutes les annonces, je vous invite à suivre le site du Lyon Beefsteack Club, le site des organisateurs.

     

    Pour ma part, j’ai réservé mon week-end pour y aller ! Croisons les doigts qu’il n’y ait pas d’empêchement !


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  • "Picatrix, l'échelle pour l'enfer" est un roman de Valerio Evangelisti.

     

    Synopsis :

    1361. A Saragosse, quiconque entre en possession du Picatrix, un ouvrage de magie occulte, est assassiné par de monstrueuses créatures à tête de chien. Pour résoudre ce mystère, l'inquisiteur Nicolas Eymerich va devoir pénétrer sur les terres de ses ennemis musulmans, dans le royaume arabe de Grenade. Sur sa route, il croisera les grands penseurs et mystiques orientaux, d'Ibn Khaldûn à Al-Khatib, et affrontera l'horreur avant de découvrir l'explication de ces meurtres terrifiants. Au Libéria, des siècles plus tard, des mercenaires de l'Euroforce, alliés aux chemises noires de la RACHE, provoquent l'exode massif et apocalyptique des enfants de sable de la tribu des Temne vers le mystérieux empire du Bouganda. Aux Canaries où il s'est exilé, le professeur Marcus Frullifer, entraîné par une séduisante journaliste scientifique, assiste à un bien étrange phénomène : une fois par an, au moment de la Fête du diable, les malades de la clinique psychiatrique locale se mettent à aboyer. Trois intrigues qui vont se lier inextricablement pour former un puzzle diabolique...

    De l'Espagne du XIVe siècle au futur proche d'une Afrique parallèle, Valerio Evangelisti nous promène une fois encore le long de l'échelle du temps, dans un roman vertigineux où se fondent aventures historiques, réflexions sur l'état du monde, réinterprétations imaginaires et audaces narratives.

    Picatrix, l'échelle pour l'enfer

    Avis :

    Un ouvrage qui m’a déçu.

     

    Ce livre, proposé en Masse Critique, m’a fait beaucoup de pied et j’étais très heureuse de le recevoir.

     

    Le livre se compose de deux récits. Deux avec le personnage principal Nicolas Eymerich qui semble relativement simultané ; un dans une Afrique parallèle et un dans les Canaries.

    La seconde partie avec Eymerich semble à part et l’on se demande le lien avec l’autre part de narration. On le découvre à la fin.

     

    Ma très grosse déception vient du manque de lien entre les trois récits principaux. Bien qu’ils tournent tous autour d’un même phénomène, ils n’ont rien en commun. Le premier avec Eymerich n’est pas de lien, ou de conséquence, sur le second, ni sur le troisième, ni aucun entre eux. C’est un peu comme le passage des comètes : elles passent à telle et telle date, selon les époques les gens réagissent d’une certaine manière. Mais c’est tout… Donc on lit toute l’histoire pour savoir ce qui lie les histoires et puis rien. Juste une explication « scientifique » que je qualifierai de fumeuse par produit un effet de deus ex machina que je n’ai pas aimée. Après, cette explication scientifique pour avoir des fondements, mais elle est mal exploitée.

    Les personnages, surtout dans le récit avec Eymerich, vont de déductions en déductions avec une telle facilité que Sherlock ferait bien d’aller se cacher. Les livres ésotériques qui permettent l’avancement ne sont pas obscurs pour les personnages, mais le seront pour le lecteur : certains balancent des choses comme des évidences.

    Ces fins sont d’autant plus décevantes que les trois histoires sont relativement plates, sans grandes surprises, ni rebondissements. Tous sont très linéaires et manquent d’âme. C’est assez surprenant parce que le récit en Afrique montre des choses particulièrement horribles, mais dont on reste assez indifférent au final.

     

    Pourtant, j’avais bien aimé le début de ma lecture. Les personnages n’apparaissaient pas comme lisses. Mais on finit par se lasser d’eux. Eymerich, est un salop fini, mais il n’y a tellement rien pour s’y attacher, même dans la méchanceté (il y a des méchants qu’on aime détester) qu’on fini par juste en avoir marre de lui. Bref, aucun personnage de ce roman ne m’a vraiment emballé.

    Je ne parle pas des personnages féminins qui sont inexistants. Il y a deux nanas dans le récit des Canaries, mais elles sont tellement insipides qu’on s’en passerait bien. Surtout que l’une sert surtout à mettre des émotions fortes à un personnage.

    On va dire qu’il y a un personnage féminin « caché ». Quand je l’ai découvert, j’ai été assez surprise et même très contente. Hélas, du moment où le personnage est signalé comme femme, il devient niais, fade et n’apparait plus que comme « une amoureuse »… Pff…

     

    Le style d’écriture n’est particulièrement mauvais, mais manque de rythme. Les descriptions et les scènes d’actions s’accordent mal. Les scènes de batailles sont fades ; il n’y a pas de tensions dans les moments durs…

     

    L’auteur, bien que ses histoires soient sans surprises, montre de grandes connaissances dans les domaines qu’il exploite.

    Le livre fait partie d’une série. C’est le septième. Mais je n’ai eu aucun souci à « me mettre dedans ». S’il y a des renvois à des histoires antérieurs, on n’est pas gêné. Le livre peut donc très bien se lire de manière autonome.

     

    Un livre qui ne m’aura vraiment pas emballé. J’ai poussé la lecture jusqu’au bout pour voir le lien entre les histoires. Si j’avais su, je me serais arrêtée avant.

     


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  • "Maléfique" ( "Maleficent" en VO) est un film de Robert Stromberg avec Angelina Jolie, Elle Fannig, Sharlto Copley, Sam Riley.

     

    Synopsis :

    Maléfique est une belle jeune femme au coeur pur qui mène une  vie idyllique au sein d’une paisible forêt dans un royaume où règnent le bonheur et l’harmonie. Un jour, une armée d’envahisseurs menace les frontières du pays et Maléfique, n’écoutant que son courage, s’élève en féroce protectrice de cette terre. Dans cette lutte acharnée, une personne en qui elle avait foi va la trahir, déclenchant en elle une souffrance à nulle autre pareille qui va petit à petit transformer son coeur pur en un coeur de pierre. Bien décidée à se venger, elle s’engage dans une bataille épique avec le successeur du roi, jetant une terrible malédiction sur sa fille qui vient de naître, Aurore. Mais lorsque l’enfant grandit, Maléfique se rend compte que la petite princesse détient la clé de la paix du royaume, et peut-être aussi celle de sa propre rédemption…

    Avis :

    Un film sur lequel il y a beaucoup à dire. Mais à ma grande surprise, ce n’est pas un « mauvais film ».

     

    J’avoue que je ne sais pas par où commencer et je m’excuse par avance pour cet avis légèrement bordélique.

    Attention, cette chronique contient des spoilers. Je suis désolée, mais j’y suis contrainte pour développer mes propos.

     

    Maléfique est mon personnage de Disney préférée, encore plus s’il s’agit des vilains. Quand j’ai appris qu’on allait avoir droit un film sur elle, j’ai été contente, mais aussi très angoissé. Réalisé par Disney, je savais bien que le personnage allait être édulcoré pour le jeune public : on ne peut pas faire d’une grande vilaine une héroïne. L’annonce d’Angelina Jolie dans le rôle m’avait révolté avant de m’apaiser en me disain qu’un miracle est toujours possible.

     

    Qu’a donc donné cette réalisation ?

    Visuellement, je pense qu’il n’y a pas grand-chose à dire. Les effets spéciaux sont sympa, tout comme l’univers féérique développé même si l’on sent qu’il est plus conçu pour les enfants que pour les adultes.

    Une musique correcte. La manière de filmer est plutôt bonne, mais j’avoue que les plans où Maléfique vole dans les nuages lors d’un soleil couchant, lui donnant des airs d’ange déchu, m’ont mis mal à l’aise. Le côté pauvre innocente, puis rédempteur me sont apparus comme « too much ». Il participe au processus de valorisation positive de Maléfique.

     

    Les costumes de Maléfique sont vraiment sympa, si ce n’est cette espèce de capote de latex alors de la scène de la malédiction. Sérieux, c’est quoi cette merde ? Oui, Maléfique semble porter des « couvre-chefs » une bonne partie du film, mais pourquoi cette espèce de cagoule en latex pourri ? C’est immonde ! De plus, on se demande pourquoi elle passe d’un coup d’une coiffure normale (cornes à l’air et chevelure détachés) à ces « couvre-chefs » ?

     

    Le scénario.

    Il a beaucoup de choses à dire : des bonnes et des moins bonnes.

    Comment faire d’une méchante de légende un personnage que les enfants pourraient aimer ? Tout simplement en la rendant gentille ou simplement méchante par « réponse à un traumatisme ». Car c’est bien connu, une femme ne peut pas être méchante de nature. Disney ne déroge pas à cette idée. Maléfique est donc une gentille fée qui tombe amoureuse d’un jeune homme, Stéphane. Le jeune paysan rêve de devenir le maitre du grand et beau château de son royaume. Quand le roi, sur son lit de mort, déclare que celui qui tuera Maléfique gagnerait le trône et la main de sa fille, Stephane ne peut résister à la tentation. Ceci dit, il ne parvint pas à tuer son amie et se contente de lui couper les ailes. Voilà donc pour la trahison amoureuse (certes, je l’ai pas dit, mais Stéphane et Maléfique étaient amoureux).

    Cette romance met en scène la première grosse incohérence. En fait, la Lande, le monde des fées, et le monde humain sont en conflit. Le roi, désirant envahir la Lande, est blessé : c’est pour cela qu’il veut la tête de Maléfique. Stéphane, au lieu d’aller parler d’une éventuelle paix durable entre les deux mondes, préfère lui couper les ailes. C’est bien connu que si les personnages réfléchissaient, il n’y aurait pas d’histoire.

    La seconde incohérence vient du fait que Maléfique devient reine de la Lande, donc en relative guerre froide avec Stéphane qui monte sur le trône. On ne comprend donc pas la présence des trois petites fées à la cour. De plus, la Lande accepte « bien » Maléfique comme reine (alors qu’il n’y en avait pas avant). Maléfique n’apparait donc pas isolée. Bien que trahie, elle a toujours son foyer et ses compagnons d’enfance. La colère et la souffrance de Maléfique se comprend, mais je pensais que ces sentiments allaient la couper de Lande. Se retrouver trahit par son « amant » et son « foyer », sa malfaisance était donc compréhensible. Et on comprenait aussi la défiance des fées.

    La troisième incohérence, c’est Maléfique qui nous la livre : elle maudit bébé Aurore, mais propose aussi le moyen de lever sa propre malédiction.

    Hormis le fait que Stéphane fait bruler des rouets et des quenouilles dans une pièce du château (logique hein, tout le monde fait ça), l’histoire suit presque un cours normal : les fées font s’installer dans une maison dans les bois avec le nourrisson.

    L’intrigue prend alors une tournure « inattendue ». Maléfique découvre le lieu de résidence de la « mocheté » et garde un œil sur sa victime. Un lien affectif va donc se créer. J’ai trouvé que c’était une idée plutôt intéressante, surtout par rapport au travail psychologique des personnages. Ceci dit, j’ai trouvé cela épouvantablement dommage, car le lien est vraiment positif. Il n’y a pas de comportement sadique de la part de Maléfique. On aurait pu s’attendre à ce qu’elle se fasse aimer de la petite pour ensuite mieux la détruire.

    Le lien entre Maléfique et Aurore fait donc cette fée une personne dotée de sentiment d’amour et lui donne un bon fond. Donc, Maléfique est juste une femme qui a souffert, mais qui peut encore aimer et même se faire aimer. La rédemption quoi… La chose est intéressante, mais ça me laisse un gout amer parce que pour moi Maléfique est fondamentalement mauvaise et aime infliger la souffrance.

    Une chose positive (bien que critiquable puisque Maléfique ayant bon fond m’attriste) : ce n’est pas le prince charmant qui éveille Aurore, mais Maléfique elle-même. Eh oui, l’amour véritable, ce n’est pas forcément l’Amour (genre sexualité), mais une affection profonde et sincère (comme en amitié).

    Et on finit le film dans le monde des bisounours puisque tout le monde à sa happy-end, même Maléfique qui retrouve ses ailes perdues, elle a uni les deux mondes et Aurore sera toujours proche d’elle (même si la princesse craque pour son prince charmant).

    Un scénario donc intéressant à plus d’un titre (même si l’on reste dans le niais et le convenu Disney), mais qui, pour moi, ne représente pas ma Maléfique ! Les sentiments et les événements, même si certains sont relativement violents, rentent dans un cadre positif. Bref, une histoire pour les enfants…

     

    Les personnages.

    Les deux personnages mis en avant dans cette histoire, ce sont Maléfique et Stéphane. Bon, on pourrait pleurer sur les identités perdues du dessin animé. Ceci dit, ils restent tous deux intéressants sur de nombreux points. Ces derniers auraient pu l’être plus sans les incohérences du scénario, qui entraine aussi des incohérences dans les personnages. Maléfique effleure seulement les « ténèbres » puisqu’elle ne subit qu’une trahison amoureuse. On ne comprend donc pas qu’elle puisse être un être démoniaque. Cette incohérence de comportement est flagrante quand elle donne elle-même le moyen de lever la malédiction d’Aurore.

    Hormis que Stéphane est idiot, l’évolution de son personnage est vraiment intéressante et j’ai beaucoup aimé (bien que l’on ne retrouve pas le personnage du DA que j’adore). Certes, il est ambitieux et regrette son geste. Il est prêt à tout pour empêcher le triste sort de sa fille et sombre lentement vers les ténèbres. Ce qui est assez étonnant, car il effectue (presque) le parcourt que l’on aurait voulu voir chez Maléfique. 

    Les trois fées ne servent juste à rien, si ce n’est apporter un élément comique complètement plat.   

    Aurore est l’innocence. On ne change pas une princesse Disney aussi facilement. Bien que simplette, elle ne fait qu’effleurer la niaiserie, contrairement au prince Philipe. Ce dernier, comme beaucoup de princes ces dernières années, en prend vraiment pour son grade.

    Diaval est aussi un personnage intéressant, bien que sous-traité. Un est aussi un élément comique, bien plus crédible que les fées. Il tient aussi le rôle de « conscience » pour Maléfique. Une sorte de Gemini Criquet à plume. Il permet aussi de montrer sous un autre jour et la relation qu’ils entretiennent manque de développement. La surprise vient du fait que l’on pensait le voir s’afficher comme le prince charmant. Ce qui n’est pas le cas. J’avoue que du coup, je me suis demandé ce qu’il foutait là. Sa présence aurait largement pu être dispensable sous sa forme d’humain.

     

    Bref, un film qui me laisse un gout étrange dans la bouche.

    D’un certain côté, il y a de bonnes choses mêmes si l’on s’éloigne de La belle au bois dormant de Disney. Une relecture du conte relativement intéressant, mais qui manque parfois de profondeur et souffre d’incohérence.

    Mais hélas, je ne retrouve pas la grande vilaine que j’aimais. Je me suis donc un peu dépossédé de ma Maléfique.

     


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  • "La Machine à assassiner" est un roman de Gaston Leroux, c'est la suite de "La poupée sanglante". L'histoire fut publiée sous forme de feuilleton.

     

    Synopsis :

    Après les aventures décrites dans La Poupée sanglante, la peur s'abat à nouveau sur Paris. Alors que le relieur d'art Bénédict Masson a été guillotiné pour avoir tué de nombreuses femmes, les mystères continuent. Bénédict Masson avait toujours clamé son innocence, qu'en est-il maintenant après sa mort ? La Machine à assassiner est la suite directe de La Poupée sanglante de Gaston Leroux. On y retrouve le même mélange d'aventures, d'intrigue policière, de fantastique que dans la première partie. Et le tout écrit avec la même poésie noire. Un chef-d'œuvre injustement oublié.

    La machine à assassiner

    Avis :

    La machine à assassiner est donc la suite de la Poupée Sanglante.

     

    J’ai un peu moins aimé ce tome, mais il reste sympa.

    Le livre a un gros défaut : on sent le côté feuilleton. Les points de vue et les angles de narrations changent beaucoup, ce qui est parfois bizarre.

    Attention : évitez de lire la préface qui dévoile toute l’intrigue du roman. C’est un peu chiant de tout savoir à l’avance, surtout que l’on revient sur des faits de la Poupée Sanglante.

    Comme pour le tome précédent, Leroux joue avec le fantastique. On se demande toujours si ce fantastique est présent ou s’il y a une explication logique. C’est moins présent que dans la Poupée.

     

    Les personnages sont toujours aussi sympa et on voit avec plaisir évoluer Christine vers des choses plutôt positives, même si elle reste assez passive. L’ensemble est bien travaillé et l’on sent que certains personnages sont des critiques ou des caricatures de certains personnages « réels ».

    Leroux connait bien « le peuple » et ses craintes, ainsi que la vie de Paris. Ceci dit, comme dans la Poupée Sanglante, il y a probablement des choses qui nous échappent, car elles sont le reflet d’événements de son époque.

     

    Une suite qui reste agréable à lire.

    J’avoue avoir été très contente de découvrir ce diptyque de Leroux qui chevauche le mythe des vampires et celui de « Frankenstein ». 


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  • Aujourd'hui est un grand jour, car c'est la sortie de Chimères !

    Vous pouvez donc découvrir cette nouvelle fantastico-historique sur la boutique de l'éditeur et sur les plateformes immatériels pour le prix astronomique de 0,99€ !

     

    Synopsis :

    Mai 1610.

    Paris est en émoi suite à l’assassinat du roi Henri IV. Mais Hector n’a que faire des intrigues politiques qui secouent la capitale. Un homme à l’allure inquiétante a fait enlever ses sœurs et il est prêt à tout pour les retrouver.

    Cependant, le bretteur est loin d’imaginer quels sombres desseins se jouent réellement dans les entrailles de la ville.

    Publication : sortie de Chimères

    Vous pouvez découvrir un extrait ici ou sit le site de Flammèche Editions.

     

     

    J'attends vos retours avant impatience et un peu d'angoisse. N'hésitez donc pas à me faire parvenir vos avis. Du moment que c'est contruit, j'accepte les commentaires positives et négatifs !

     

    Merci à tous pour votre soutien.


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