• "Ao, le dernier néandertal" est un film de Jacques Malaterre avec Simon Paul Sutton et Aruna Shields.

     

    Synopsis :

    Pendant plus de 300 000 ans, l'homme de Néandertal règne sur la planète.
    Il y a moins de 30 000 ans, il disparaît à tout jamais...
    Son sang coule-t-il encore dans nos veines ? Nul ne le sait, sauf AO... le dernier des Néandertaliens !

     

    Bande-Annonce :

     

     

    Critique :
    Je vous rassure, je ne vous ferais pas une critique archéo de ce film. Premièrement, la préhistoire c'est pas tellement mon truc. Secundo, l'anthropologie humaine non plus. Tertio...j'ai pas envie....
    Donc, la principale chose sympa de ce long-métrage sont les décors, les environnements. C'est vraiment très beau !!
    Après niveau scénar, je sais pas trop quoi en penser. En effet, l'idée était de réhabilité néandertal car trop souvent désigner comme un sauvage. Mais en regardant le film, j'avais l'impression de voir le mythe du "bon sauvage". Il vit en harmonie avec la nature, etc... J'ai rien contre cette vision, c'est mieux que celui de la brute épaisse, mais j'ai l'impression qu'on va d'un extrême à l'autre. (heureusement que j'avais dis que je parlerai par archéo).
    Bref...mais pour continuer sur la lancer, je trouve que c'était bien de ne pas donner une "raison" de la disparition des Néandertaliens : maladie, présence de sapiens... Vraiment ça c'était très bien.
    Après, y a pas trop de chose à dire. C'est un petit film mignon, sympa...qui, mine de rien, aborde plein de sujet concernant l'archéologique préhistorique : rite funéraire, armement (propulseur), grotte peinte, cannibalisme, ect...
    Une bonne chose est la présence  d'un making of et d'un reportage sur le DVD. Le reportage surtout est vraiment intéressant (c'est de la vulgarisation, les archéologues pourront facilement passer à côté).

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  • "Naüja T.02 : la voix des ombres" est une BD de Termens, Elias et Castillo.

     

    Synopsis :

    Il est bien trop tard pour faire marche arrière, et Gorb doit accepter sa destinée dans la Naüja... Il a dû laisser derrière lui le confort du fortin et épouser les ombres malfaisantes mais néanmoins attirantes, sans tomber dans le piège d'un monde où la réalité n'a plus sa place. La légende s'accomplit. Une déesse lunaire arrive pour accompagner le retour d'un roi.

     

    http://ekladata.com/0Hvkz_cf5Ne0tp0sDmP9bSHgP9c.jpg

     

    Critique :

    Le dessin de cette BD est vraiment bien, avec une superbe colorisation. Vraiment Il y a une vrai diversité des personnages, des décors, des costumes....

    Malheureusement, le scénario n'est pas super prenant. Pourquoi, je ne sais pas trop...Ce manque de mystère. Cela vient peut-être du manque d'intensité des dessins, des scènes...et parfois d'un cruel manque de dynamisme.

    C'est dommage car on sent que certains personnages, surtout Gorb, en a gros sur la patate (Sir ! on en a gros !)....

     

    Bref, une critique très courte pour cette série qui, décidement, n'arrive pas à me faire accrocher malgré des qualités graphiques indéniables


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  • Mais qu'est ce que les Terrible Twins ?

     

    Ho, c'est très simple. Il y a quelque jours, je vous parlais de l'écriture à quatre mains. Et que me concernant, j'écrias avec ma soeur.

    Bref, tout ça pour dire que nous avons ouvert une page Facebook pour que vous pouviez souivr eun peu plus facilement les avancés de nos divers projets.

    La page s'intitule "The Terrible Twins".

    https://www.facebook.com/pages/The-Terrible-Twins/165361706882055


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  • L'écriture à quatre mains est un exercice intéressant.

     

    Pour ceux qui ne connaîtraient pas, l'écriture à quatre mains consiste simplement à rédiger une histoire en duo. Deux auteurs. En ce qui me concerne, je compose avec ma soeur, Salyna Cushing-Price (SCP°.

     

    Ensemble, nous avons déjà écrit une histoire : Eelyonn et robin des bois. Nous planchons actuellement sur la "suite", Eelyonn et Sherlock Holmes.

    Autant dire que l'écriture des aventures d'Eelyonn, surtout avec Robin des bois, fut très facile et surtout extrêmement poilante. Fan du film avec Kevin Costner, on se demandait comment lui et ses compagnons pouvaient être aussi "propres" sur eux. On se demandait aussi pourquoi un héros est toujours beau. Delà est venu cette histoire honteuse qui défonce un peu le mythe (désolé Kevin Costner) et dont le texte est ponctué d'injures.

    Bref, pour faire simple, le plus dur dans la rédaction de ce récit, hormis l'absence totale de scénario, mais d'écrire allongé sur le clavier d'ordinateur en pleine crise de fou rire...

    Malgré sa vulgarité, ses péripéties aussi farfelues que débile et son niveau littéraire sous les couches paléolithiques, cet histoire à au moins le mérite d'avoir amusée ses auteurs.

    Pour la suite, Eelyonn et Sherlock Holmes, on suit le même chemin...à ceci près que cette fois, on a pas de scénario et que ça nous bloque.

     

    On a aussi d'autres histoires en suspend, faute d'inspiration. Une première, "Arthur, Oscar et moi", met en scène une ado gothique sont la vie est bouleversée par l'arrivée, dans sa maison, des fantômes d'Oscar Wilde et Arthur Rimbaud. Autant dire que cette histoire aussi, c'est un peu du n'importe quoi...Mais c'est assez drôle.

     

    Enfin, avec SCP, on bosse sur ce que l'on appel notre "tuerie littéraire". Bon, je sais que ça fait vachement prétentieux, on est très fière des idées qui se mettent en place dans ce récit. Certes, je ne sais pas si l'histoire en elle-même plaira à certains, mais en tout cas, elle a, encore une fois, le mérite de nous plaire à nous.

    Cependant, là où nos autres récits s'écrivaient assez facilement, les difficultés sont plus nombreuses. Premièrement, parce qu'on fait un texte sérieux ( et oui, on avance bien moins vite).

    Outre les problèmes de cohérence, le principale problème vient du fait que l'on écrit pas de la même façon, SCP et moi. Il arrive, très souvent, que l'on s'engueule sur un passage car l'une le trouve bien et pas l'autre. Il faut donc réussit à se concilier...et ça, c'est dur ! Sans compter qu'il faut que l'on soit toutes les deux inspirées un minimum. 

    Moins dur, mais un peu problématique, s'approprier les personnages. On en a chacune créé pour cette histoire une héroïne ( je passe sous silence les autres perso).

    Bref, passées ces étapes, on obtient une histoire. Et à raison d'un chapitre par semaine (on est lente), on finira...un jour.

     

    Voilà donc un peu pour l'écriture à quatre mains....

     


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  • "Le sabre de sang : l'histoire de Kardelj Abaskar" est le second tome du Sabre de sang de Thomas Geha.Ce livre a été chroniqué pour Mythologica.net. J'en ai été l'auteur. 

     

    Synopsis : Laissé pour mort, Kardelj est repêché par des pirates samanciens auxquels il va se joindre.
    Très vite, il devient le second du capitaine, Asukil. Mais un lourd secret va le conduire, après quelques années, à fuir de nouveau. Pendant ce temps, Tiric, devenu puissant grâce au sabre maudit continu ses conquêtes, mettant le pays à feu et à sang.
    Poussées par les aléas d’une destinée qu’ils ne maîtrisent pas, Tiric et Kardelj, les deux anciens amis, verront leur chemin se croiser à nouveau, manipulés par des puissances qu’ils ne soupçonnent même pas. 

     

    http://ekladata.com/BaybpefN6hDD1QAmGV0R8xlEWXs.jpg


    Ce second tome est bien plus mature que le premier. L’écriture est toujours juste et on ne se rend pas compte des  pages qui défilent. Ce volume apparait aussi plus calme, car le héros, Kardelj est un personnage plus posé que Tiric Sherna (héros du premier tome).

    Il n’y a pas de temps mort, on ne s’ennuie jamais même s’il n’y a pas d’action à toutes les pages. Par ailleurs, les scènes de combats sont toujours aussi bien décrites.  Le scénario en lui-même est très linéaire (dans le sens où on sait grosso modo ce qui va se passer), mais tout est tellement bien fait que cela n’est pas une gêne, ça coule de source.

    L’auteur s’attarde aussi un peu plus sur le monde de son roman. On y découvre plein d’autres peuples : samanciens, carmintrao…

    Par ailleurs, on voit apparaitre de nouveaux personnages, comme le Masque, qui sont très bien travaillés. Je trouve d’ailleurs que c’est une force du roman, car même les personnages secondaires sont décrits, on une bonne psychologique. Rien de superficiel.  Par ailleurs, l’auteur ne fait pas preuve de pitié, car il n’hésite pas à tuer (sans vergogne) certains personnages. Cela rend parfois la lecture triste, mais cela colle très bien à l’univers dans lequel évolue Kardelj.

    J’ai beaucoup apprécié la paternité de Kardelj. C’est vraiment plaisant voir un père être heureux avec son fils sans que cela soit surfait. Et puis il n’y a pas de « ha toi mon fils » un peu viril et macho qu’on peut retrouver parfois dans des romans fantasy…

    Sa prise en main est moins compliquée que le premier tome, car on connait déjà l’univers. La présence du lexique à la fin du roman est appréciable pour comprendre certains termes typiques de ces mondes. 

     

    Un petit défaut est parfois des répétitions des événements passés : à plusieurs reprises, Kardelj nous rappelle que c’est son ancien ami qui a tué Kazhoa, Apeo le forgeron… Autre regret, je trouve que les personnages féminins sont beaucoup moins bien que dans le tome précédent. Elles jouent presque toutes les rôles de mères ou d’amantes. Heureusement, la qvihvienne Zua Lazpoa relève un peu de détail.

     

    Ce second tome a parfaitement répondu à mes attentes, même avec quelques petits défauts.

     

    Coup de coeur coup de coeurN&B

     

     



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  • Il y a bien longtemps (----> ici en fait), je vous parlait d'un récit à quatre mains avec ma soeur , Salyna  Cushing-Price, "Eelyonn et Robin de bois".

    Voila donc que nous remettons le couvert avec la suite des aventures de la jeune fille la plus....délicate et raffinée, de tout le web ( et de tout ce qui ce prétend être un récit). Cette fois-ci, nous nous attaquons à Sherlock Holmes. Que les puristes ou les fidèles soient mis en garde : on va lui faire sa fête ! N'espérez pas trouver un personnage bien respecté...on prend le pire et on le transforme en pire....Bref, avec toujours autant de langage fleuri, de réflexion très intellectuels, et de scènes d'actions catastrophiques !

     

    N'hésitez pas à lire le début d'Eelyonn et Robin des bois pour peut-être mieux comprendre ce début. (Et un jour, je parlerai de l'écriture à quatre mains....)

     

    ********

     

    Eelyonn et Sherlock Holmes

     

    Prologue

     

     

     

     

                Voilà deux mois qu’Eelyonn était en Angleterre pour son programme Erasmus. Et elle en était ravie. Sa traversée de la Manche s’était bien passée, cette fois-ci. Et c’est avec ravissement qu’elle avait emménagé dans le pays de son héros : Robin des bois (même si son image était légèrement modifiée) 1

    Elle avait beaucoup de travail à faire par conséquent, elle n’avait pas encore eu trop l’occasion de visiter la capitale anglaise. Cependant, en ce samedi après-midi, le soleil brillait, un fait rare, et son exposé sur le Roi Richard la saoulait.

    Et, le roi Richard, elle l’avait vu en vrai ! Trente secondes certes, mais trente secondes quand même ! Elle aurait pu passer plus de temps avec lui si cette brute stupide de Petit Jean ne l’avait pas bousculé, et fait tomber dans les douves du château du shérif !

     Elle allait donc profiter de cette éclaircie pour aller se promener. Il y avait beaucoup de vent, il fouettait ses cheveux noirs qu’elle n’avait pas nattés, et ses mèches bleues lui passaient devant les yeux, elle essayait de les coincer derrière ses oreilles, mais sans succès. Quelques cheveux se prenaient dans ses boucles d’oreilles ainsi que dans son piercing à l’arcade.

                Depuis son logement dans la banlieue de Londres, elle rejoint le centre-ville en bus. Mais évidemment, ce connard de bus n’arriva pas à l’heure et elle poireauta comme une conne pendant 20 minutes. Pour s’occuper pendant cette attente, elle trifouilla au fond des nombreuses portes que possédait son pantalon. Et c’était incroyable tout ce qu’elle arrivait à y trouver. Des vieux prospectus, des mouchoirs sales, de l’argent, des cures dents, des glands…. Elle vérifia aussi qu’elle avait bien tout son matériel de « secours » dans sa petite bourse de cuir qu’elle portait toujours à la ceinture. Il est certain que cela lui avait été bien utile lors de son aventure dans les bois de Sherwood.

     Le bus finit enfin par arriver et elle put déambuler dans Londres. Il y avait tellement de choses à voir ! Le British Muséum, les grands magasins londoniens, Time Square, le palais royal, Baker Street, Big Ben et tant d’autres monuments !

    Arrivé sur les bords de la Tamise, il lui prit l’envie de faire un tour en bateau. Se souvenant de sa dernière expérience foireuse, elle s’ordonna d’être prudente. Bien qu’elle se fût bien amusée avec Robin des Bois et sa bande de pecnots, l’idée de chopper des poux ou toute autre bête douteuse ne l’enchantait guère. 

    Elle s’embarqua cependant sur un bateau qui faisait des croisières sur le fleuve londonien. Pour éviter toute catastrophe, dont l’issu pourrait lui être funeste, elle ne s’approcha pas des bords du navire. Tout se passa magnifiquement bien !

    Elle était ravie de sa petite croisière, et c’est tout sourire qu’elle se dirigea vers le ponton qui la ramènerait sur la terre ferme. Mais au moment où elle l’emprunta, un puissant coup de vent la fit vaciller, elle eut juste le temps de penser « hé merde » avant de sentir l’eau froide de la Tamise.

     

     

    1 : Lire Eelyonn et Robin des bois.


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  • "La cavalière au manteau rouge" est une BD interactive de Bruno Tamaillon et Hugo Tartaix

     

    Synopsis :

    Juin 2010, la première journée du Jumping international de Bourg en Bresse prend fin. Un homme observe intensément une jeune femme qui répète la séquence de dressage qui précédera la remise des prix. Quelques minutes plus tard son cheval est volé. La police alertée, Julia découvre au pied du van vide, un carnet rempli de dessins au fusain et d’un croquis détaillé de la Tombe de Marguerite d’Autriche à Brou. Une photo déchirée tombe du carnet. Une fillette vêtue d’un imperméable rouge, tenue par une main adulte. Julia reconnaît le vêtement qu’elle portait toute petite.

     

    http://ekladata.com/lbkYaIiWq-YBmti1vcwVwGOheGY.jpg

     

    Critique :

    Une couverture plutôt sympa avec une demoiselle assez jolie dans le cloître de Brou... Y a pas à dire, c'est tape à l'oeil pour moi.

    Pour commencer, je vais revenir sur le principe de BD interactive. En fait, c'est simple : il y a des flash-codes un peu partout dans le récit pour en apprendre plus sur divers aspect culturel de la région. Pour tout dire, c'est bien l'un des seul bon point que l'on pourrait donner à cette BD.

    Donc passons cette BD à la casserole. Le dessin n'est pas mauvais en lui même mais n'est pas très "travaillé". Parfois, on a l'impression que c'est même un poil bâclé. A presque mi-chemin entre le dessin manga et le style réaliste, ça manque cruellement de dynamisme ! Les cadrages sont mous.  Je parlerai à peine de la colorisation informatique : elle est épouvantable ! Une horreur !

    Pour ce qui est du scénario, c'est gros ! En fait, il aurait fallu plus de tome et de lenteur pour donner à l'histoire un aspect presque crédible. Là, c'est un réçit presque tiré par les cheveux que l'on suit pas à pas (de course). Le seul bon point serait que l'on parcourt la région. Mais là encore, tout va bien trop vite. Je ne parlerai même pas de ce moment "romantique" : pitoyable et qui sert à rien !

     

    Non, il n'y a pas que des mauvais points. Les trois héros : Julia, Jeff et Tom sont bien sympa. Ils m'ont bien fait rire. Dommage qu'ils ne soient pas plus travaillés. Comme dis avant, il aurait fallu plus de tome.

    Autre bon point, une page totalement en patois bressans !

     

    Bref, une BD qui partait d'un bon fond mais qui dans la forme rend très mal. Dommage....


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  • Et me voilà revenue de mon chantier de fouille.

     

    J'ai donc passé un mois de fouille sur le site de Nasium ( et oui, Boviolles est devenu Nasium) en Meuse. Un mois toujours aussi sympathique et plein de surprise. Puis j'ai fais une semaine de post-fouille au site de Grand (il y a les structure adaptées).

    Cette année, j'ai été responsable de secteur ! J'ai eu une petite zone à gérer. Autant dire que cela n'a pas été facile, mais c''était très formateur.

     

    Je ne vais pas m'étaler sur tout ce qui s'est passé de bien sur ces semaines de délire.

    J'espère vite reprendre mes publications.

     

    Bizz à tous !

     


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