"Autour de Londres" est une anthologie de huit nouvelles de Lydie Blaizot. Les réctis sont tous en lien avec son roman "La maison de Londres"

Synopsis :

Londres. Sa Tamise, son célèbre pont, son brouillard, sa banlieue... et ses vampires. Chef charismatique, mousquetaire, danger public ou simple quidam, chacun laisse une empreinte différente dans la Maison qu'il sert. Cette non-vie, trop souvent imposée, plus ou moins bien acceptée, se heurte à la réalité des vivants qui viennent chambouler des existences dont ils ignorent tout. Face à cette problématique, les vampires improvisent, s'adaptent, luttent pour demeurer dans l'ombre ou, au contraire, satisfaire de nouveaux appétits.

Critique :

Lors de la réception, je fus surprise de trouver un marque page dédicacé. Il m'avait semblé que seuls les exemplaires pré-commandés jouissaient de cette attention. Donc bonne surprise, surtout que la citation était du personne d'Arthur  que j'aime de tout mon coeur (lire la critique de la maison de Londres).

Bref... Disons aussi que le livre n'a pas fait la journée...

Les nouvelles sont toutes bien écrites, mais je dois bien avouer qu'elles ne m'ont pas toutes super embalées. Si je les ai aimé (là n'est pas le soucis), je trouve qu'il y manque parfois cette pointe d'humour que j'avais particulièrement bien aimée dans le livre précédent. Sinon, quel plaisir de retrouver les trois mousquetaires et leur maître jedi (pardon, mais elle est tellement facile !). Et surtout les lancés de larbin d'Arthur ! et son affection pour le dynamite (même s'il ne fait rien sauté...dommage).

J'ai beaucoup aimé le nouvelle "Le Clown" mais je pense qu'elle aurait pu être un peu plus longue....Pourquoi pas un futur roman ?  Matthew, le vampire clown, m'a beaucoup plus. Et le petit Sherlock de l'inspecteur aussi.

Sinon, une petite déception sur "Le Boulet". En effet, j'avais hâte de savoir qui avait été assez con stupide pour faire de Donald Crump un vampire. Certes, tel maître tel créature dirait le diction et la nouvelle le montre assez bien....Des bourricots ! Mais je m'attendais à quelque chose de bien plus....loufoques....

Bref, même si j'ai bien aimé, je dois bien avoué que j'ai été un poil déçue. J'avais eu un coup de coeur pour "La maison de Londres", et il ne s'est pas reproduis ici.

Dimanche dernier, le 26 juin, avait lieu près de Rennes "Les Championnats de Rennes d'escrime artistique et de spectacle"

Depuis cinq ans, je pratique ce sport (et oui, c'est bien un sport !) dans un club à Cesson-Sevigné (site internet) sous la houlette de l'OCE.

Quelques camarades ont participé à ce championnat ! Et c'est avec plaisir qu'ils sont remportés certaines catégories !

Thierry Daniel & Julien Pennanec'h 1er en Combat - Grand Siècle

Eric Millet & Alexis Noire 1er en Combat - Médiévale

Bon, je manque de photos, mais j'espère en avoir vite d'autre ! J'aurais peut-être même des vidéos !

Si vous êtes sur Rennes et les alentours, n'hésitez pas nous rejoindre en début de la prochaine année scolaire (octobre).

Ça y est ! Cette fois, c'est bel et bien fini pour moi !

La soutenance de mon travail a donc eu lieu ce matin, avec une demi-heure de retard....Normal.

J'ai eu l'impression d'expédier ma présentation, mais ce n'est pas une surprise tant le jury me faisait peur (et pourtant, les membres de ce jury n'étaient pas cannibales).

Ensuite, critique de mon travail. Perso, je n'ai pas été surprise, je m'attendais à ces réflexions. Il faudra que je me démerde mieux lors de la prochaine fois.....Une petite déception pour le résumé car j'avais suivi des consignes données par les profs de bio de ma soeur, mais le jury n'a pas trouvé que c'était un "résumé"....Bref.....

Bien que je suis heureuse d'avoir fini, je suis un peu contrariée car je n'ai pas eu ma note, même approximative. Je n'ai même pas su si j'avais la moyenne....Je ferai un petit post ultra-court pour annoncer le résultat.

Sinon, je pense que je peux clôturer cette partie opération mémoire. Même si peu de gens ont lu les post, même si les gens s'en fichent de l'enfer de faire un mémoire, j'ai été heureuse de partager ça.

Merci aux lecteurs qui passaient de temps en temps pour suivre l'avancée de mon travail.

Demain, c'est le jour J.... ou plutôt le jour S de la soutenance ! Si faire des recherches et rédiger un mémoire est long, dur, avec ses moments de crises de larmes, de colère et de désespoir, ce n'est pas la pire des choses !

Car pour moi, rien n'est plus pire qu'une soutenance ! Je haïe les oraux ! C'est toujours une épreuve terrible à passer. En entrant à la fac, on m'avait dis l'appréhension passerai....Que nenni....C'est toujours aussi horrible....et  c'est même bien pire !

Dernier post demain dans l'après-midi pour conclure cet épique opération mémoire !

"Le sabre de sang, l'histoire de Tiric Sherna" est le premier tome d'un dytique de Thomas Geha. Ce livre a été chroniqué pour et sur Mythologica.net J'en ai été l'auteur.

Synosis :  Un sabre maudit forgé dans le sang...
Un homme assoiffé de vengeance...
Leur rencontre semble inévitable...
Mon nom est Tiric Sherna. J'ai survécu à la guerre. Mais la défaite que vient de subir mon peuple, les shaos, me laisse un sale goût dans la bouche, comme une envie de vengeance. Les qivhviens - des reptiliens belliqueux- nous ont massacré ou pire encore, réduit en esclavage. Une caravane nous convoie vers Ferza, la capitale de l'Empire qivhvien. Là-bas, dans ce nid de vipères, les plus forts d'entre-nous seront destinés aux arènes, spectacles dont sont si friands ces satanés serpents. Autant dire que je suis voué à une mort certaine...
Mais je suis un shao ! Et un jour viendra, je le jure, où nous nous relèverons et vaincrons l'ennemi. Oui, un jour, j'aurai ma revanche !

Critique :

Je l’ai dévoré avec plaisir. Dur de le poser une fois dedans.

L’auteur maîtrise admirablement bien son univers riche en contrées et paysages, ainsi que ses personnages.

Pour le monde de ce roman, on se croirait presque dans un film de science-fiction tant les peuples sont différents. Pourtant, il n’y a rien de SF là-dedans, c’est bel et bien un roman fantasy. Un petit défaut cependant : le début du roman est un peu difficile à prendre en main avec des termes inconnus. Heureusement, un petit lexique du livre comble ce petit problème. Une fois les mots assimilés, tout coule de source. Le vocabulaire est simple et clair, au profit d’un récit dynamique enchaînant temps calme et action, et beaucoup d’humour. Un autre petit défaut, c’est de ne voir le dit sabre n’arriver que très tard dans le récit. Mais l’excellente narration pare facilement ce point. Car en fait, on se rend compte que le sabre est bien le point central du récit. Le texte nous conduit doucement vers ce point, nous faisant découvrir l’environnement dans lequel il évoluera. Cela pour permet de comprendre pourquoi c’est une arme de malheur. C’est vraiment bien mené !

Le récit, à la première personne, donne l’impression d’être une histoire contée, parfois un journal intime, avec une bonne dose d’humour (j’insiste). Tiric Sherna, le héros, raconte sa triste vie d’esclave, de combattant, sa fuite. Il partage ses rares joies, sa haine, sa tristesse, ses espoirs ainsi que celles de ses compagnons : Kardelj, son frère d’arme Shao, Kahrzoa, la Qivhvienne archiviste en fuite, et Apêo un vielle homme un peu à l’ouest. De plus, Sherna n’est pas un homme tout puissant, il prend des coups, perd des combats ; il doute aussi.

On y découvre des brochettes de personnages plaisants, surtout les Qivhviennes, Lazpo, L’Impératrice ou encore Kahrzoa. Hormis la dernière, c’est un pur plaisir de voir des complots de ces femmes(-lézards) contre leurs ennemies dans la recherche du pouvoir ! Avec les jeux dans l’arène, je voyais très bien les scènes de « Gladiator » avec des lézards de partout.

Une fin superbe ! Si on a aimé le roman, on ne pourra que se jeter sur la suite. Si on n’a pas apprécié, la fin ne nous donne pas un sentiment d’inachevé. L’auteur a réussit à faire en sorte de nous donner des indices tout le long de son récit pour que l’on puisse facilement savoir ce qui va arriver à notre héros une fois la dernière page tourné.

Pour moi, une vrai découverte ! Jamais je n’avais lu un roman de ce genre et ce fut un vrai plaisir ! Je le conseille vivement !

... pour le moment.

Beaucoup de personne de mon entourage (réel et internet) me demande sans arrêt pourquoi je ne tente pas de me faire publier. Certains parmi ceux-là ont lu mes textes, et les ont probablement aimé (sinon, ils ne me pousseraient vers le monde de l'édition).

Certes, je ne serais pas contre tenter l'aventure, mais pas dans l'immédiat. 

Pourquoi ? Il y a plusieurs raisons à cela.

Premièrement, même avec un retravaille léger (correction, quelques modifications), je ne pense pas que mes écrits soient assez bon  pour être présentés à un éditeur. Surtout que les avis que j'ai viennent principalement de mes amis ou de connaissance proches, et j'émets toujours quelques doutes sur leur sincérité (je m'excuse auprès d'eux car cet aveu va probablement les contrarier). Mais c'est vrai que je me pose la question, à chaque fois, si leur critiques sont sincères ou sont là pour me ménager. Il est vrai que ce n'est jamais agréable de voir un avis négatif, mais je pense que c'est plus constructif d'un commentaire positif.

Ensuite, je n'ai pas le temps de m'occuper des relectures et corrections. De plus, relire mes textes, c'est comme caresser un cactus.Ou sans aller jusque là, j'ai un vrai problème de temps.

Enfin, je ne pense pas avoir les épaules pour soutenir un projet de ce genre.

Après, il y a aussi que j'ai, peut-être à tort, un avis assez négatif sur la chose et sur les "concours". En effet, il y a quelques années, j'avais participé à un concours "premier roman" organiser par Jeunesses et sports (je simplifie au max). Bon, avec le recul, mon histoire était mauvaise et immature, mais le problème n'a pas été là. Le concours, s'il a bien désigné un gagnant, n'a jamais prit la peine d'annoncer les résultats... Il a fallu que je cherche comme une sauvage sur le net pour finalement tomber sur un site qui répertoriait les différents prix littéraires. Mon manuscrit m'a été retourné, avec un petit mot sympa, sur un cinquième de feuille, sans même signaler le parcours de mon récit. En effet, il y avait une présélection de 10 romans, puis le gagnant était désigner parmi ceux-ci. Bref, rien... Je me suis sentie comme méprisée. Même si mon roman était mauvais, je l'ai imprimé, relié et poster, ce qui m'avait couter cher sur le moment.... C'est peut-être une démarche normale, mais quand c'est le ministère de la jeunesse qui agit comme ça, quand on a moins de 20 ans....Vraiment une sensation de méprit.

Ensuite, je me suis cassée le cul pour rédiger une nouvelle pour un appel à texte. Je me suis engueulée avec ma mère à ce sujet, j'ai fais chier mon entourage, pour rendre un truc convenable. Mais voila, la dite maison d'édition qui avait fait cet appel est en train de mettre la clé sous la porte. Je ne sais même pas si la sélection des nouvelles qui aurait pu être publier va se faire... Même si je savais que mon texte ne serait pas sélectionné, j'ai l'impression de mettre fait chier pour rien...

Deux expériences différentes qui m'ont laissé un goût amer dans la bouche. Bien sur, je ne suis pas prétentieuse au point de dire que mes écrits allaient être publié, mais je trouve que c'est important d'aller au bout des démarches...C'est l'une des raisons principales qui me poussent à ne pas tenter l'aventure de l'édition.

Donc voilà. J'espère qu'après ça, on me demandera plus si je souhaite publier....

"L'épervier", tiré de la BD du même de Patrice Pellerin, est un téléfilm (en 6 épisodes) réaliser par Stéphane Clavier avec Aurelien Wiik, Martin Lamotte, Lou Doillon, Fanny Valette....

Critique :

Un seul mot pour qualifier ce téléfilm : pitoyable !! Je n'ai jamais vu un travail de "professionnel" aussi mauvais ! J'ai vu des film de fin d'année de lycée en cinéma-audiovisuel bien mieux fait ! En même temps, quand on s'appelle Clavier et qu'on est frère de..., les études de cinéma n'ont pas dû durer longtemps... et visiblement, elles n'ont pas du durer plus de quelques mois !

Un cadrage désastreux ! Pas un seul moment, la caméra n'est fixe ! Le cameraman avait Parkinson ou quoi ? On est agressé par toutes ses images qui bougent ! Le film ne se passent pas exclusivement sur un bateau à ce que je sache?

Un montage encore pire ! Un étudiant en cinéma ou même moi aurait mieux fait ! Sérieusement... : plan 1) le personnage est à terre et commence à peine à se relever, plan 2) il est débout ! Mais le moment complet où il se relève ? Cela s'appelle un faux-raccord et il n'est pas du tout subtile ! Quel honte à ce niveau ! Même les lycéens ne font pas ce genre d'erreur !

Des plans sur le bateau, c'est bien...Mais pas 50 en quelques minutes....Déjà, c'est lassant et puis dans le genre effet bouche trou, on ne fait pas mieux... De dessus, de côté, de l'autre côté, de devant de dessus, etc. Non ! Et puis l'ensemble n'est pas bien filmer....Il y a eu un story-board avant de faire ce film ? J'en doute !

Avec confirmation pas mon maître d'armes, les combats sont "normaux" voir même simple. De plus, il n'y a aucun dynamisme... Là, on entre en plein dans la guerre cinéma français et américains. Pour faire simple, les films américains enchaînent rapidement de très nombreux plans. En France, on cherche à contrer ce dictât en faisait des plans très longs. Sauf que dans une scène de combat à l'épée, où le duel se fait en ligne droite, on ne peut pas utiliser cette technique ! Le plan long ne permet pas de rendre l'action.... Bref, une erreur de réalisation....

Un jeu d'acteur mauvais ! Mais mauvais ! Pas un seul moment, on croit aux personnages. D'ailleurs, est-ce vraiment des acteurs qu'on a choisi ou les premiers venus ? Le meilleur jeu d'acteur revient au perroquet, Monsieur de la Perruche...

Des personnages absolument pas crédibles ! L'épervier au fait 5 ans de galère ? Ha bon ? Vu sa peau de bébé, on dirait pas....

Je sais même pas quoi dire sur les personnages tant ils sont mauvais. A aucun moment, on ne s'attache à eux...Et  je mauvais jeu d'acteur aide pas ! Même le méchant n'est pas crédible ! Vraiment, c'est mauvais, mauvais !!!! Et puis Yann et Agnès ! Pitié ! Leur relation est minable ! Je t'aime, moi non plus, je suis la femme de, j'accours à ta demande et gnagnagna.... Non mais sérieusement, les scénaristes avaient fumé ou quoi ? Pas à un seul moment on doute des sentiments de l'un envers l'autre ! On sent plus une sorte de pseudo vengeance mesquine de gamin de 10 ans ! Encore une fois pitoyable !

Pour l'histoire, je ne sais pas par rapport à la BD, mais elle est plate, molle et fade ! Il n'y a aucun intérêt. On a l'impression que tout tourne autour de la romance citée précédemment et que la recherche de relique est secondaire...Alors que cela aurait du être le contraire ! Puis, l'action (il y en avait ?) est nulle ! Des limaces auraient mis plus d'ambiance !

Un bon point, qui vu les circonstances pourraient aussi passé pour un défaut : il n'y a pas de scène de cul....mais vu la nullité de l'ensemble, cela aurait pu permettre de garder quelques spectateurs....

Un dernier point sur la musique. Si elle n'est pas mauvaise en elle-même, elle ne sert pas le film ! Il y a aussi de long blanc qui sont juste fade, alors qu'une note musicale, même légère aurait donné de l'intensité....Et oui, quand on croit que la musique de film est là pour le décors, c'est qu'on à rien comprit à la réalisation !

Je ne sais pas ce que l'auteur a ressentit en voyant ce téléfilm, mais il a du bien être déçu ! C'est vraiment d'un bas niveau sur tout les points que je me demande comment cette réalisation à bien pu être diffuser sur une grande chaîne nationale ?!

Samedi prochain, je pense même pas m'attarder sur la suite...J'ai regardé avec attention les deux premiers épisodes pour voir des amis qui faisaient de la figuration...Mais je pense pas me donner cette peine la prochaine fois tant c'est mauvais !

Et non, je n'en ai pas encore fini avec mon mémoire. Certes, je l'ai rendu. Mais maintenant, il y a la soutenance ! Par ailleurs, j'ai eu la mauvaise surprise de trouver une faute dans mon titre....Je suis vraiment une incapable.

Bref, alors j'ai une semaine (je passe lundi prochain à 11h30) pour faire mon diaporama de soutenance. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas une chose facile à faire. J'ai près de 15 min pour présenter mon travail, parler des résultats et mettre en avant des perspectives. C'est court et long à la fois.

Le diaporama ne doit pas être trop chargé en texte : sinon, les gens lisent et ne vous écoutent plus. Je ne dois pas non plus répéter ce qu'il y a sur le diapo. Bref, une chose ardu....

Pour l'oral (THE chose que je hais ! Vivement la crise d'angoisse dimanche), il faut parler lentement, clairement et pas trop vite. Il faut faire gaffe à son vocabulaire, aux termes que l'on emploie. Sans compter que chaque erreur sera sanctionner par une question du jury à la fin de la présentation... Horreur car il y en a toujours un pour vous coller. 

Il va donc me falloir du courage et du travail pour parvenir au bout de ce master 2....et qui sait, bientôt ce sera peut-être "opération trouver du boulot".....

Comme je m'ennuie (non, en fait, je suis mal car ma mamie est pas bien...bref, cessons ici les problèmes de ma vie), j'en profite pour poser ici quelques pensées....

Voila, je suis un laideron ! Non, non, je me dénigre pas, je fais juste un constat.

Depuis au moins le lycée, j'ai remarqué  que de nombreuses filles estiment leurs capital beauté en fonction du nombre de garçon qui veulent sortir avec elle, du nombre de petit copain ou du pourcentage de ceux qui les matent. Bref, elles jugent leurs beautés en fonction de la gentes masculine et des magazines montrant des nostalgiques des camps de concentrations (quoi ? regardez les images des prisonniers à l'arrivée des alliés, y a parfois peu de différences....en fait, si les filles des catalogues choisissent d'être ainsi...).

Donc, si je me base sur ces principes : je suis un laideron ! Avec mon mètre soixante-dix et mes.....*roulement de tambour* soixante-huit kilos, je frôle l'obésité ! (Ouai !!). Si on ajoute que jamais un homme ne m'a demandé de sortir avec lui, que les seuls mecs qui m'ont dragués étaient tous bourrés et qu'on ne me matte pas, il n'y a pas photo !je suis un laideron !

Je suis donc un laideron...Mais je le vie bien ! Honnêtement, je trouve que ça me fait une belle jambe...car après tout, je vie pas pour le regard des autres (et surtout des hommes).

Bon, allez n'exagérons pas, je suis sûrement pas plus moche qu'une autre. Mais je tenais à faire ce petit post pour toutes les filles qui passent leurs temps à se plaindre de leurs physiques et qui se maltraitent moralement avec ça ! Franchement, pourquoi se prendre la tête pour cette conneries ? Ça vous plaît que les homme se retournent dans la rue pour mater votre cul en se disant "putain, je me la taperai bien". Vous trouvez ça gratifiant ? Vous êtes heureuses de ça ? Un peu d'estime de soit bon sang !

Sans oublier que ce qu'une fille peut dire à une autre fille, c'est toujours hypocrite ! En effet, vous êtes à vous lamenter : j'ai un gros cul, j'ai de petit sein, et gnagnagna....Sauf que, si c'est faux, la fille en question s'imagine qu'on lui dit ça seulement pour la consoler ! Par contre, si un homme (et souvent le petit copain) dit le contraire, alors là, c'est vrai ! Miracle ! Bon, parfois, les défauts sont vrais. Alors là, c'est le désespoir totale....Mais c'est pas un drame ! C'est un fait....Il me semble que quand on est blanc ou noir, on déprime pas pour ça.... Vous avez un gros cul ? Des petits seins ? Et que sais-je encore, dîtes merde ! Je vous assure que vous serez bien plus belle en assumant vos défauts qu'on les camouflant ! Si vous pensez sans arrêt que vous êtes moches, cela va se sentir et c'est ce que les gens penseront de vous ! Par contre, si vous rayonnez par votre moral et votre  bonne humeur, vous ferez tomber tous les hommes sur votre passage !

N'oubliez pas : je suis bien dans ma tête, donc je suis belle. Et non, je suis belle donc je suis bien dans ma tête....

Bon, voila un petit coup de gueule....

"Les pilleurs d'âmes" est un roman de Laurent Whale.

Mon exemplaire est dédicacé par l'auteur, avec un petit dessin de d'Eric Scala, illustrateur de la couverture. AU passage, la dédicace est juste géniale !!

Synopsis :

Suivez les pas du mystérieux Yoran Le Goff dans ce trépidant roman d'aventure où espionnage inter-galactique se mêle à la flibuste du XVIIè siècle e à ses marins gouailleurs

Critique :

J'avais repéré ce livre depuis longtemps, et j'ai bien fait d'attendre les Étonnants Voyageurs pour l'acheter car, du coup, il est doublement dédicacé.

Pour commencer, la couverture ! Elle juste super belle ! Comme toujours, ce sont toujours les belles couv' qui donnent envie d'ouvrir un bouquin. D'ailleurs, je trouve que le bateau à des vagues airs à la barge stellaire de Jabba le Hutt de Star Wars...Vous trouvez pas ?

Idée originale que de mêler les thèmes de l'espionnage SF et de la flibuste. Cela donne un récit original malgré quelques faiblesses. En effet, si les scènes de batailles navales et d'affrontement sont juste géniales (on s'y croirait), le reste est un peu vague, surtout sur l'île de la Tortue. Un petit manque de description en somme. Sinon, je trouve qu'il y a aussi une petite faiblesse autour du récit qui à lieu sur les autres planète.

On a aussi un peu de mal avec le vocabulaire de SF au début...Mais on s'y accommode vide.

Un gros mauvais point est la romance Le Goff / Ines ! Elle est à rien (aussi bien la romance que la fille) !! Je trouve que ça donne un note de mièvrerie qui s'accorde mal avec la "délicatesses" des frères de la côtes.  Bref, on s'en serait bien passé.

Sinon, le vrai point fort, c'est vraiment l'aspect politiquement non-correct du roman. Pas de tendresse, ni délicatesse. Ça picole du rhum et ça fait couler des tripes. Les scènes de batailles sont des boucheries ! Dieu que c'est bon ! Des pirates, des vraies, qui tuent hommes, femmes et enfants ! Pas de pitié.....

Autre bon point, tout ne se passe pas bien : le héros n'arrive pas à trouver ce qu'il cherche, il se fait prendre, il ramasse...D'ailleurs, le récit à la première personne donne du panache (ponctué de quelques gros mots).

Dernier bon point avec un lexique à la fin du livre pour définir des termes lié à la marine et sur quelques personnages historiques. Une petite bibliographie est aussi disponible.

Un avis un peu mitigé en fin ce compte. Si l'histoire est bien avec un association originale entre SF et pirates, je manque de description par moment donne une certaine faiblesse à ce roman. Néanmoins, c'est un bon livre qui a très bien su rendre l'ambiance dans le monde des pirates.