• C'est avec plaisir que je vous souhaite à tous un Joyeux Noel !

    http://ekladata.com/ZbnmF2tJpChUb947KhdSB7Muqk4.jpg


    1 commentaire
  • "La Lignée" ( "The Strain" en VO) est le premier tome d'une trilogie écrits par Guillermo Del Toro et Chuck Hogan.

     

    Synopsis :

    Depuis son atterrissage à l'aéroport de JFK à New York, un avion en provenance de Berlin ne répond plus à la tour de contrôle. Le spectacle qu'Ephraïm et son équipe d'épidémiologistes découvrent à bord a de quoi glacer le sang : tous les passagers, sauf quatre, sont morts en apparence paisiblement. Ont-ils été victimes d'un attentat au gaz ? D'une bactérie foudroyante ?

    Lorsque, le soir même, deux cents cadavres disparaissent des morgues de la ville, Ephraïm comprend qu'une menace sans précédent plane sur New York. Lui et un petit groupe décident de s'organiser. Et pas seulement pour sauver leurs proches car c'est la survie de l'humanité tout entière qui est en jeu...

     

    http://ekladata.com/KeFo7Xb12EODAAo8mKbHlBzHVFw.jpg

     

    Critique :

     

    Bon, bien que je lise pas mal de livre de vampire, je dois bien dire que je n'ai pas l'habitude de livre des romans classés dans la catégorie horreur.

    Bon alors je dois dire que bien que ce roman soit plaisant, il ne m'a pas pour autant transcender. Je trouve que ça manque d'action et de suspense. Je pense que l'on annonce les vampires dans la quatrième de couverture nous bouffe le suspense.Pour rester dans les points plutôt négatif, toutes les références de marques font parfois un peu grosse ! Certaines passent bien comme les pez, mais d'autre moins bien.

    Sinon, il y a une grande diversité de personnage qui sont présenté et bien mis en scène ! D'ailleurs, on sent qu'il y a eu pas mal de recherche de la part des auteurs pour mettre tous ces personnages en scène.

    Les vampires sont plus proches des monstres des films gores que des hommes. Mais là encore, l'explication scientifique sur leurs naissance me "casse" un peu mon plaisir. J'ai remarqué que beaucoup d'auteurs donnent, ou se plaisent à donner, des explications scientifiques pour expliquer l'apparition des vampires. Personnellement, ça gâche mon plaisir car tout mystère disparaît.

    Cependant,  l'idée de clan est plutôt pas mal et je pense qu'on en saurait plus dans le prochain tome.


    votre commentaire
  • "Harry Potter et les reliques de la Mort, partie un" ("Harry Potter and the Deathly Hollows") est un film de David Yates avec Daniel Radcliff, Emma Waston, Rupert Grint, Brendan Glesson, Ralph Fiennes, Alan Rickman, Jason Isaac, David Twelis, Robbin Coltran, Helena Bonham-Carter.

     

    Synopsis :

    Le pouvoir de Voldemort s'étend. Celui-ci contrôle maintenant le Ministère de la Magie et Poudlard. Harry, Ron et Hermione décident de terminer le travail commencé par Dumbledore, et de retrouver les derniers Horcruxes pour vaincre le Seigneur des Ténèbres. Mais il reste bien peu d'espoir aux trois sorciers, qui doivent réussir à tout prix.

     

    Bande-Annonce :

    Critique *spoiler* :

    Déception. De tous les films, c'est bien de loin le plus chiant ! Bon, certes je n'ai pas lu les livres donc je ne peux pas comparer le niveau de "fidélité", mais je ne pense pas que cela est une grande importance.
    Le début : scène d'intro un peu lourdingue mais importante car on cherche bien à mettre en avant que les temps ont changé et que la situation est très grave. On essaie de nous faire croire que les trois héros, eux aussi, prennent conscience que le temps de l'amusette, c'est fini. La suite du film montrera que finalement, ils n'ont peut-être pas tout compris à la situation.
    Ensuite, la scène au manoir Malfoy est superbe et Rogue.....Rrrrr....mais pardon je m'égare....Rogue, Lucius et Voldemort sont toujours au niveau et superbes ! Dommage qu'on ne les voyes pas plus longtemps ! D'ailleurs, le second passage au manoir est bien aussi. Bellatrix est aussi extraordinaire ! Heureusement qu'elle est là !
    Viens LA grande scène d'action de ce long métrage : la fuite de Privet Drive. Tonton Momo (Maugrey), toujours rabajoie meurt à ce moment là et on remarque d'ailleurs que Harry ne semble pas vraiment affecter par sa disparition contrairement aux autres. Donc, la scène d'action : course poursuite pour échapper aux Mangemorts et à Lord Voldemort. Elle est dynamique et pleine de rebondissement. Cependant, elle a ces défauts : j'ai pas compris pourquoi Hagrid s'évanoui ? Je suppose qu'il prend un truc dans la tronche mais j'ai pas vu quoi. Hedwige meurt aussi. Harry semble triste mais pas plus que cela non plus. Après tout, pourquoi pleurer la mort de sa compagne chouette ?
    Commence alors de longues scènes de vide et creuses. Heureusement, Naguini déguisé en vieille femme sauve un peu la mise. On remarquera aussi que Harry, à 17 ans, est capable de se sortir, the finger in the nose, d'un anneau d'un serpent constrictor de plus de 10m, capable d'avaler un être humain, en lui donnant un coup de brique sur la tête....Chapeau monsieur Potter.
    Revenons aux scènes creuses, contrairement à ce que l'on pourrait croire au début, les gamins n'ont pas complètement conscience de ce qui se passe. La preuve est qu'ils trouvent le moyen de se disputer, de s'engueuler en mettant en avant leurs problèmes personnels. Dans le classique "mon meilleur ami veut se faire la fille que j'aime alors qu'il se fait déjà ma soeur", on est servit ! Mais franchement, le moment est-il bien choisi ? Faut croire que oui....C'est normal de se prendre la tête à 17 ans, je dis pas le contraire, mais quand le monde qui t'entoure part en vrac....
    Des problèmes aussi avec les personnages : l'espèce de loup-garou avec les rafleurs, c'est Greyback ? On dirait un chaton face à Bellatrix au manoire avec qu'il est flippant dans le 6.
    Bref....passons à des aspects plus techniques....
    Déjà, la répartition de l'action est monstrueusement mal répartie puisque tout se passe au début et un peu à la fin dans le manoir.Enfin, tout bon réalisateur, bon scénariste sait qu'il faut doser l'action tout le long du film sinon, c'est plat....Faut croire que certains ont oublié ce détail.
    Parlons d'abord de l'effet caméra à l'épaule : c'est bien mais avec modération ! Quand on a l'impression de voir un film de vacances, on se dit qu'on a pas payé pour ça ! Surtout que l'image "film" ne permet pas d'apprécier pleinement les mouvements de caméra (ce qui n'est pas le cas pour des vrais films à l'épaule).
    Ensuite, les courses poursuites en ultra-accélérer où on voit rien, c'est vraiment pas la peine ! Pourquoi Hagrid tombe dans les pommes ? J'ai pas vu. Qu'est ce qui se passe quand les rafleurs poursuivent les gamins ? ils lancent des chaînes pour les attraper !!! Ha !!!!!!!!
    La musique : rien.....
    Sinon, il y a quand même du bon ! Les possibilité de bavouille est assez importante....mais ce point là dépend de chacun. Outre cela, c'est aussi plaisant de revoir John Hurt en Olivanders, même si le déteste, Ombrage.  Ensuite, celle-là je l'attendais : la mort de Dobby ! Dieu que c'est beau !! Enfin qu'on se débarrasse de ce truc qui sert à rien ! D'ailleurs, j'en remet une couche en disant que la scène est nulle, ça laisse vraiment de marbre !
    Neville, un le voie une fois, mais il est très bien ! Dommage qu'il ne soit pas plus mis en avant.
    Donc voila pour ce film est m'a bien déçu. Mieux vaut être un mangemort qu'autre chose dans ce film. De nombreuses tares sur le plan de la réalisation et de la mis en scène.

    1 commentaire
  • "Le monde de Narnia : l'odyssée du Passeur d'Aurore" ( "The Chronicles do Narnia : the voyage of the Dawn Treader" en VO) est un film de Michel Apte avec Georgie Henley, Skandar Keynes, Ben Barnes et Will Poulter. L'histoire est une adaptation du livre du même nom de C. S. Lewis.

     

    Synopsis :

     Happés à l’intérieur d’un intriguant tableau, Edmund et Lucy Pevensie, ainsi que leur détestable cousin Eustache, se retrouvent subitement projetés dans le royaume de Narnia, à bord d’un navire majestueux : le Passeur d’Aurore.
    Rejoignant Caspian, devenu roi, et l’intrépide souris guerrière Ripitchip, ils embarquent pour une périlleuse mission dont dépend le sort même de Narnia. A la recherche de sept seigneurs disparus, nos voyageurs entament un envoûtant périple vers les îles mystérieuses de l’Est, où ils ne manqueront pas de rencontrer tant de créatures magiques que de merveilles inimaginables. Mais ils devront surtout vaincre leurs peurs les plus profondes en affrontant de sinistres ennemis, tout en résistant à de terribles tentations auxquelles ils seront confrontés.
    Il est temps pour eux de faire preuve d’un courage légendaire au cours d’une odyssée qui les transformera à jamais et les emportera au bout du monde, où le grand Lion Aslan les attend.

     

    Bande-Annonce :

     

    Critique :
    Alors, pour commencer, il faut savoir que le film a changé de producteur. Ce n'est plus Disney mais la Fox.
    Et c'est sûrement à cause de cela que le compositeur a changé, donc que la musiqua a changé. On ne retrouve pas le thème des deux opus précédent et c'est bien dommage. La musique, par ailleurs, n'est pas terrible...A un moment, j'ai même eu l'impression d'entendre un morceau de Star Wars....
    Sinon, que ce soit Lucy, Edmud ou Caspian, les enfants ont bien grandi. Et ce dans tous les sens du terme. Les demoiselles me contrediront, mais Caspian avec de longs cheveux et du poils au menton, ça rend bien mieux ! Lucy (Georgie) a bien grandi et est devenu une jolie jeune fille. C'est plaisant de voir que certains enfants deviennent tout de même de beaux ado ou adultes.
    Niveau scénario, difficile de faire une comparaison avec le livre car je n'en ai lu aucun.... Il faudrai que je pense à m'y mettre...
    Sinon, comme les deux opus précédents, cette aventure est encore un voyage initiatique pour Lucy et Ed, mais aussi pour l'épouvantable cousin Eustache. Ce nouveau personnage est juste abject au début du film et on a juste envie de le tuer ! Il n'y a pas énormément d'action et certains passages sont assez longs.
    Un truc un peu chiant mais compréhensible, c'est la volonté de Lucy à vouloir être belle comme Susan. Si on met mon côté féministe de côté, je trouve ça un peu dommage d'avoir autant insisté sur ce point....
    Je resterai aussi muette sur certains bien "catholiques" mais cela vient directement des contes de Lewis et non de la production et/ou du réalisateur.
    Beau générique de fin, mais la musique est toujours décevante.
    J'ai tout de même préféré les deux premiers à celui-là. Le film est bien certes, mais moins bien que les deux premiers...


    votre commentaire
  • "Frankenstein, le fils prodigue" est  l'adaptation BD des romans du même nom écrit par de Dean Koontz. Le scénario est de Chuck Dixon, le dessin de Brett Booth et les couleurs de Color Dojo, Andrew Dalhouse et Mohan.

     

    Synopsis :

    Un tueur en série rôde à la Nouvelle-Orléans. La police retrouve ses victimes atrocement mutilées.
    Que fait-il avec les morceaux de corps humain qu’il prélève ?
    Et qui est ce géant mystérieux, au visage tatoué, qui navigue dans son sillage ?
    Enquêter sur ces meurtres pourrait bien mener les inspecteurs O’Connor et Maddison en enfer…

     

    http://ekladata.com/b9jXm8R0ohjYL3Pk8LpeCKck2zE.jpg

     

    Critique :

     

    Tout le monde rêve de faire mumuse avec le mythe de Frankenstein....mais bon, il es pas facile de le faire bien.

    Cette adaptation moderne du mythe est bien mené même si j'ai un peu de mal avec la plupart des adaptations moderne. La "créature" est enfin doté d'un nom.

    Forcément mis dans un contexte policier, les personnages principaux sont plutôt sympa mais assez caricaturaux.Des victimes : des hommes dont des parties du corps leurs sont arrachés avec un certain mode opératoire et des hommes assassinés violemment avec des organes retirés. Les points de vue de l'histoire se passent par les policiers et par au moins 1 tueur...

    O'connor, l'héroïne principale, doute sur plein de chose ce qui la rend assez attachantes.

    Un truc que j'aime pas trop, c'est que Victor  Hélios (Frankenstein)  passe un peu trop pour un fou. J'ai du mal avec cette vision car dans le livre, Victor est loin d'être un fou. Donc notre Victor, qui semble échapper au temps, j'amuse à faire des créatures en série pour "repeupler" la terre où il se prendra pour Dieu (rien que ça).

     

    Le dessin est assez proche de Micheal Turner  (Witchblade) ce que le rend beau. Mais d'un autre côté, cela donne un certain manque de "personnalité" au trait.


    1 commentaire
  • "Raiponce" ("Tangled" en VO) est un dessin animé de Byron et Nathan Greno, c'est une création Disney.

     

    Synopsis :

    Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d'émotion, au cours de laquelle l’improbable duo va rencontrer un cheval super-flic, un caméléon à l’instinct de protection surdéveloppé, et une drôle de bande de malfaiteurs.

     


    Bande-Annonce :

    Critique  *spoiler*:

    Génial ! Un vrai bon Disney ! Je vais quand même faire ma chieuse et dire que je préfère l'animation 2D à celle en 3D mais bon.....
    Premier truc génialissime : personne (de gentil j'en conviens) ne meurs ! Disney sortirai-t-il enfin de cette fâcheuse manie de toujours tuer quelqu'un de gentil ?
    Raiponce, malgré son aire de poupée barbie (et oui on peut trop de demander) a beau être niaise, elle n'ai pas désagréable pour autant. Vu sa situation, enfermé dans sa tour depuis toujours, on peut aisément comprendre son côté naïf et niais. Mine de rien, elle a un sacré caractère et fait preuve d'un grand courage. Elle a aussi une bonne prise d'initiative (une fois sortie de sa tour bien sur) qui la tirera elle et Flynn de bien des mauvais pas.De plus, elle manie avec brio la poêle à frire. Poêle à frire, une arme redoutable dont l'efficacité n'est plus à prouver.
    Flynn. Je dirais presque enfin! un "prince" de Disney canon ! Sûrement le poil au menton....Pas grand chose à dire sur lui sinon....ha si que son vrai nom est à chier mais ça c'est typique quand on prend des pseudo.
    PASCAL !!!!!!!!!!!!!!!!!! Moi aussi je veux un petit caméléon-grand-frère ! Ha, je kiff grave-de-la-mort-qui-tue ! Dommage qu'il ne soit pas plus mis en valeur tout au cour du film.
    Maximus, le cheval soldat un brin entêté qui se laisse mener à la baguette par une jolie demoiselle à la chevelure de 20m de long....ha les soldats, tous les même.
    Ensuite, j'adore la bande de voleur de la taverne ! Ils son absolument géniaux ! Caricaturaux au possible mais terriblement plaisant et drôle ! Note spécial pour le vieil "angelot" décrépi !
    Pour les méchants, je trouve que les deux brutasses qui courent après Flynn sont sous exploité et la Mère de Raiponce est chiante au possible. Je trouve que ce dernier personne n'a pas été assez travailler sur le point comportement et psychologie.
    Pour l'histoire en elle-même, rien de révolutionnaire. Cependant, j'ai bien aimé le côté chemin initiatique de Raiponce qui malgré les épreuves finit par se rebeller "d'elle même'. Bon on passera sur la scène un peu plan plan de la fin, mais si la niaiserie n'était pas là, ce serait bien moins drôle.
    Autre chose que j'ai bien aimé ce sont les parents de Raiponce, les vrais. Bon, on va résumer : bébé Raiponce est enlevée à la naissance par sa "méchante" mère. Pour ce qui est des vrais parents, j'ai beaucoup aimé de voir le papa pleuré quand, au bout de 18 ans, lui et son épouse envoyaient encore des lanternes dans l'espoir de voir revenir leur fille. C'est plaisant car souvent, on voit les mères effondrées et les pères presque résignés ou plus réservés. Là c'est presque le contraire !
    Le film est hilarant ! J'ai beaucoup ri !
    Voila ce que je pouvais dire de ce très bon Disney. Il ne faut surtout pas se priver d'aller le voir, que l'on soit grand ou petit. Je le recommande particulièrement aux grand-enfants nostalgiques des niaiseries de Disney.

    votre commentaire
  • "La Malediction des Trente Deniers" est la nouvelle aventure de Blake et Mortimer en 2 tomes. Le premier tome est signé Jean Van Hamme au scénario, René Sterne et Chantal De Spiegeleer au dessin et Laurence Croix et Chantal De Spiegeleer aux couleurs ; le second tome est de Jea Van Hamme au scénario, Antoine Aubin au dessin et Laurance Croix et Etienne Schréder aux couleurs.

     

    Synopsis :

    Blake partant aux États-Unis après l'évasion spectaculaire d'Olrik de la prison de Jacksonville, Mortimer se retrouve seul pour ses vacances. C'est alors qu'il reçoit l'invitation du professeur Georges Markopoulos, archéologue grec, de venir l'épauler dans une affaire extraordinaire. En effet, ce professeur a découvert des manuscrits et un denier qui affirment qu'un prêtre chrétien grec du Ier siècle nommé Nicodemus aurait rencontré Judas Iscariote. Celui-ci aurait raté son suicide mentionné dans la Bible. Judas est enterré avec les légendaires 30 deniers dont il ne s'était jamais séparé. Toutefois un des deniers a été gardé. Mais il semble être devenu un objet maudit, apportant la mort à son possesseur... Mortimer décide de poursuivre les recherches avec Markopoulos mais le comte Rainer von Stahl, un ancien officier nazi des SS pendant la Seconde Guerre mondiale et proche de l'entourage d'Adolf Hitler qui se fait passer depuis la fin du conflit en 1945 pour un Arménien, Belos Beloukian, milliardaire à la fortune d'origine mystérieuse, compte lui aussi s'emparer des mystérieux objets, avec l'aide d'Olrik qu'il a fait évader, pour devenir le maître du monde. Mais lorsque l'officier allemand s'apprête à s'emparer des deniers, le fantôme de Judas sort de sa tombe et brandit la malédiction qui finit par entraîner sa perte. Decontenancé, Olrik tente d'achever Blake et Mortimer avec sa mitraillette au moment où les deux amis essayent de sortir de la porte des Enfers, mais disparaît au fond d'une crevasse provoquée par un tremblement de terre sous-terrain.

     

     

    http://ekladata.com/Fka9a9LIl37RSqj07b_UQeB4lH8.jpg

     

    Critique :

     

    Bon commençons en étant méchatce : les couvertures sont vraiment à chier ! Honnêtement, elles auraient pu être mieux. Je resterai tolérante sur la première car le dessinateur est mort (ce qui explique le changement sur le tome 2) et que je pense que c'est la première ébauche de couv' qui a été retenue....

    Sinon, l'intégration des personnages féminins est très agréable. Entre Jessie, une vrai femme d'action, et Eleni une vrai petite archéologue de l'époque, on ne peut que se retrouver.

    Après, comme pas mal d'aventure de B&M, je trouve que toute l'action tourne un peu trop autour de Mortimer. Dommage car je préfère Blake à Mortimer....Et puis, il fait preuve d'un humour (galanterie) à se fendre la gueule : comme s'interposer entre Olrik et Jessie en l'incitant à tirer sur lui plutôt que sur la jeune femme....Ha ha ha...c'est pas comme si Olrik n'attendait que ça....

    Ensuite, je trouve qu'Olrik n'est pas assez bien exploité ! Il fait même rien dans cette aventure....

    Pour le sc"nar, il est pas mal mais sans plus. Mais c'est surtout la fin qui est vraiment nul ! C'est honnêtement la fin de "La Dernière Croisade" d'Indiana Jones....Vraiment, je dirai pas que plagiat, quand même, mais pas loin...J'ai l'impression que le scénariste ne savait pas comment terminer cette aventure....


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires