• Tel un spectre, tu parcourais la maison dans notre sillage....jamais proche, jamais loin, mais toujours  tu étais là....

    Maintenant, tu es partie.....la maison en sera à jamais vide....car nul mieux que toi ne pourras hanter les pièces.....

     

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  • Je vous présente une créature issue de la mythologie nordique : le nibelung.

    Comme je vais utiliser ces créatures dans les futurs tomes des Yggardiens, j'avais très envie de les dessiner...Bon, c'est pas encore ça, mais ça viendra !!!! Je vous présente une version modèle réduit (un petit) et un adulte mâle déjà bien âgé.

    http://ekladata.com/wAdp5CniBvGnhLUBFrp24WMd6xs.jpg

     

     

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    Et voici une version faite par Nathanaël Daswhox....Ca a toute de suite plus de gueule....

     

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  • Voila un buste...enfin portait de Macha, l'héroïne de l'histoire du même nom. Ici je l'ai représenté sans son habituel bandeau....

     

    http://ekladata.com/06yyMqwqMGAuM271XD8MRkNFK4U.jpg

     

    J'aime bien son côté un peu masculin....avec ce menton carré et allongé....Mais j'ai du mal pour faire son visage de face...

    Nathanaël Daswhox m'avait gentiment fait un fanart.

    Vous pouvez retrouver les aventures de cette force tête sur Plume Imag'In Air.


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  • Je vous invite à découvrir le blog de Nathanaël Daswhox !

     

    C'est un jeune illustrateur de talent et un écrivain en herbe de génie !! Ses écrits sont disponibles sur Plume Imag'In Air.

    Il est un des fondateurs du forum avec moi.

     

     Le Blog de Nathanaël Daswhox.

     

     

    Voila un dessin pour vous mettre en bouche.

     

    http://i175.photobucket.com/albums/w127/xian_palpatine/Blog%20Plume/365J_amour_mortel_by_Daswhox.png


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  • Je vous propose un petit marque page home-made sur le thème des Yggardiens.

    Vous pouvez retrouver le premier tome de cette série sur Plume Imag'In Air et une présentation de cette histoire.

     

    http://ekladata.com/EEmm6Wbh26dZlvABvxNZeiQPBf4.jpg


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  • Un jour, alors que je m'avais rien à faire (holà, c'était il y bien longtemps), je me suis amusée à transcrire le poème de d'Egar Allan Poe "The Raven" en une courte nouvelle.

    Pour cela, je me suis aidée des traductions de Baudelaire et de Mallarmée.

    J'espère que les lecteurs pardonneront mon audace...et les fautes d'orthographes ....

     

     


     

    Le Corbeau.

     

    Un soir, par une lugubre nuit d’un décembre glacial, une tempête s’abattit sur un sombre manoir. De chacune de ses anciennes pierres suintaient des pleurs qui se mélangeaient aux funestes flocons de neige.
    Seule, une fenêtre affichait une faible lumière. Les rideaux de soie pourpres laissaient passés les lueurs que dégageait chaque tison dans une cheminée bien plus ancienne que la demeure elle-même. Dans cette triste chambre, l‘ombre d‘un fauteuil se dessinait. Un homme, les cheveux brun en bataille, somnolait au dessus d’un ancien volume d’une très vieille doctrine aujourd’hui oubliée. Il reposait sur un siège à cousin de velours violets. Des livres de toutes sorte parsemaient ses pieds, d’où l’homme avait vainement tenté de mettre en sursis sa tristesse. Doucement, il essayait de garder la tête haute, mais le sommeil semblait avoir raison de lui. Le malheureux ne souhait point rejoindre le monde des rêves, de peur d’y voir celle que les anges nommaient Lénore. Il espérait secrètement voir venir le matin.

    Soudain, il entendit un tapotement, presque inaudible, un peu comme quelqu’un qui frappe à la porte. Ce léger bruit empêcha Morphée de le prendre dans ses bras.
    « _Cela doit être quelque visiteur qui frappe à la porte de ma chambre. Cela ne peut rien être de plus. » se murmura-t-il.
    Son cœur battait fort. Le tapotement et les fins bruissements des rideaux, soufflés par les caresses du vent qui pénétrait par la vielle fenêtre, l’avaient empli de terreurs fantastiques, inconnus pour ceux qui ne se trouvaient pas au seuil de la Mort et du Désespoir.
    Le tapotement se refit alors entendre.
    C’est doucement qu’il se leva de son siège, et lentement, encore aux prises avec le sommeil, s’approcha de la porte de sa chambre.
    « _Monsieur, ou Madame » dit-il « Je vous pris de bien me pardonner. Mais je m’endormais et vous frappiez si doucement à la porte que je n’étais pas sûr qu‘il fût réel. »

    Il ouvrit alors la porte : ce ne fut que les ténèbres.
    L’homme fut étonné de n’y voir personne. Son regard se pencha sur le sombre couloir qui menait à sa chambre. Il se mit à penser de choses que personne n’avait osé penser jusqu’à maintenant. Une crainte, un doute l’envahit. Le silence ne fut brisé que lorsqu’il se risqua à chuchoter un nom, celui que son cœur pleurait : Lénore. Mais ce ne fut rien de plus que l’écho du lugubre couloir qui lui répondit.
    Refermant la porte de sa chambre, il entendit de nouveau le tapotement, mais cette fois, plus fort que le premier.
    « _Sûrement qu’il y a quelque chose à ma fenêtre. »
    L’homme patienta un instant que son cœur redevienne calme, puis alla découvrir quel mystère se trouvait à sa fenêtre.
    Il poussa le volet. En même temps qu’une bourrasque de vent accompagnée de flocon de neige, entra dans la pièce un majestueux corbeau digne des anciens jours, dans un tumultueux battement d’aile. C’est sans hésitation, avec la droiture d’un lord ou d’une lady qu’il se percha sur un buste de Pallas, au-dessus de la porte de la chambre. Il s’y installa, et rien de plus.
    L’homme esquissa un sourire. Son imagination l’y poussant à cause de la gravité du maintien et la sévérité de la physionomie de cet oiseau d’ébène.
    « _Bien que tu n’ais ni huppe ni cimier, tu n’es pourtant pas un poltron, Ô ancien et lugubre Corbeau, voyageur parti des rivages de la nuit. Dis moi donc quel est ton seigneurial nom, venu des rivages de la nuit plutonienne. »
    Le corbeau dit alors : « Nevermore* »

    C’est l’émerveillement qui prit possession de l’homme. Émerveillé par le fait qu’un aussi disgracieux oiseau puisse être doté aussi facilement de la parole. Mais sa réponse de lui ne fut pas d’un grand secours et ne semblait avoir aucun sens. Aucun homme vivant n’avait eu l’occasion d’avoir un si sinistre oiseau, perché au dessus de la porte de sa chambre, portant le nom de « Nevermore ».
    L’animal ne dit plus aucun mot ni ne remua une plume, jusqu’à ce que l’homme se mette à lui parler à nouveau.
    « _D’autres amis se sont déjà envolés avant moi. Toi aussi tu me quitteras lorsque le matin apparaîtra Et tu t’envoleras comme mes anciennes espérances. »
    Le Corbeau répondit alors.
    « _Nevermore. »

    La réponse fit tressaillir son auditeur tant elle avait été jeté avec à-propos.
    « _Sans doute, » pensa l’homme « qu’il prononce ce qu’un infortuné maître lui a appris, et que le Malheur l’a impitoyablement poussé sous mes fenêtres en ce sinistre jour. »
    Un sourire s’esquissa de nouveau sur son visage. Il tourna son siège à coussins de velours vers la porte de sa chambre, pour pouvoir contempler cet étrange invité. S’assaillant profondément, il se mit à enchainer les idées, cherchant à savoir ce que cet augural, disgracieux, sinistre, maigre oiseau voulait lui faire entendre avec son « Nevermore. »
    Sa tête reposait sur un coussin. Il regardait le Corbeau dans ses yeux brillant des reflets des tisons de la cheminée. Mais il ne lui adressait plus un mot, pas une syllabe.
    Alors, il lui sembla que l’air s’emplissait de l’odeur d’un encensoir invisible que balançait de majestueux Séraphins, dont les pieds frôlaient le tapis de la chambre.
    « _Infortuné ! » s’écria-t-il  «  ton Dieu t’a envoyé par ses anges de quoi oublié cette Lénore perdue ! Bois, oui bois cet népenthès** »
    Le Corbeau répondit alors : « Nevermore ».

    « _Prophète, être de malheur ! Oiseau ou démon ! Mais toujours prophète ! Que tu sois en envoyé du Tentateur, ou que la tempête t’ait simplement échoué, naufragé, mais encore intrépide, sur cette terre déserte, ensorcelée, dans ce logis par l’Horreur hanté; dis moi, sincèrement, je t’en supplie, existe-t-il ici un baume de Judée ? Dis le moi, je t’en supplie ! »
    Le Corbeau répondit : « Nevermore ».
    L’homme se leva de son siège, les yeux mêlés de larmes et de colère. Il s’avança vers le sinistre et lugubre oiseau.
    « _Prophète, être de malheur ! Oiseau ou démon ! Toujours prophète ! Par ce ciel tendu sur nos têtes, par ce Dieu que tous deux nous adorons, dis à cette âme chargée de douleur si, dans le Paradis lointain, elle pourra embrasser une fille sainte que les anges nomment Lénore, embrasser une précieuse et rayonnante fille que les archanges nomment Léonore ? »
    Le Corbeau répondit : « Nevermore ».

    « _Que ta réponse soit le signe de notre séparation ! Oiseau ou démon ! Retourne dans la tempête qui te mena à moi, vers les rivages de ta nuit plutonienne ! Ne laisse pas une seule de tes plumes noires ici, comme le mensonge que ton âme a proféré ! Laisse ma solitude intacte ! Quitte ce buste au-dessus de ma porte ! Arrache ton bec de mon cœur et prend cette tristesse loin de mon cœur ! »
    Le Corbeau répondit : « Nevermore ».
    Le sinistre volatile, toujours installé sur le buste de Pallas au dessus de la porte de la chambre, a les yeux du brillant d’un démon qui rêve. La lumière des tisons coule vers lui, projetant son ombre sur le plancher. Hors du cercle que dessine cette ombre, un homme resta là immobile sur le sol. Et son âme, perdue dans la tristesse, ne s’élèvera jamais plus.


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  • Robin des Bois  ( Robin Hood en VO ) est un film de Ridley Scott avec Russell Crowe et Cate Blanchett entre autre.

     

    Synopsis :


     À l’aube du treizième siècle, Robin Longstride, humble archer au service de la Couronne d’Angleterre, assiste, en Normandie, à la mort de son monarque, Richard Coeur de Lion, tout juste rentré de la Troisième Croisade et venu défendre son royaume contre les Français.
    De retour en Angleterre et alors que le prince Jean, frère cadet de Richard et aussi inepte à gouverner qu’obnubilé par son enrichissement personnel, prend possession du trône, Robin se rend à Nottingham où il découvre l’étendue de la corruption qui ronge son pays. Il se heurte au despotique shérif du comté, mais trouve une alliée et une amante en la personne de la belle et impétueuse Lady Marianne, qui avait quelques raisons de douter des motifs et de l’identité de ce croisé venu des bois.
    Robin entre en résistance et rallie à sa cause une petite bande de maraudeurs dont les prouesses de combat n’ont d’égal que le goût pour les plaisirs de la vie. Ensemble, ils vont s'efforcer de soulager un peuple opprimé et pressuré sans merci, de ramener la justice en Angleterre et de restaurer la gloire d'un royaume menacé par la guerre civile. Brigand pour les uns, héros pour les autres, la légende de "Robin des bois" est née.

     

    Bande Annonce :

     

    Critique :

     

    Que je me suis bien amusée !

    Ce film est un vrai plaisir !! Je le trouve bien loin des films américains habituels.

    On assiste à un instant de vie de divers personnages (Robin, Prince Jean etc...), à leurs choix....

    Ridley Scott innove un peu dans le style de Robin des Bois. On ne le voit pas combattre le shérif de Nottingham ni le Roi Jean ( et oui, Richard n'est plus, Jean est donc roi d'Angleterre), mais on voit le processus "historique" que le mènera à sa vie de hors-la-loi.

    Donc voila...je ne m'aventurerai pas trop sur le point de vue historique car c'est un film, il ne faut donc pas trop chercher de vérité.... Par contre, je suis un peu déçue par Jean. Encore une fois, il passe pour un connard de service alors que sa situation était bien différente...enfin bref...

    Haaaaaaa, Marianne !!! Ca, c'est de la meuf !!!! Bon, oki la scène à la fin où elle tente de foutre sur la gueule à Mark Strong est un peu...abusée...Mais que voulez vous....il ne faut pas faire passer les  nanas pour de faibles femmes sinon on vous traite de misogyne.....Mais le caractère de la dame aurait largement suffit.

    La musique est franchement pas mal....je connaissais pas compositeur.

     

    Un autre truc : je me suis rincée l'oeil comme c'est pas permis !!! Par contre, tous les mecs ont des cheveux et de la barbe, sauf Mark Strong....pourquoi ????

     

    En résumer, un film bien sympa à voir avec plaisir sur grand écran !!!


    Edit :  Je conseille de le voir en VO ! En effet, certains passages sont en français ! Et c'est tellement mignon d'entendre des anglophonesparler français !!!

     


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  • Imogène McCarthery est un film français d'Alexandre Charlot et Franck Magnier, avec Catherine Frot et Lambert Wilson, sur une musique de Alexandre Azaria.

     

    Synospsis : 

     

    Elle est rousse. Elle est écossaise. Elle aime le rugby et la cornemuse. Elle vit à Londres, mais se considère en exil. Elle a un fichu caractère et une sacrée descente au whisky.
    Elle s'appelle Imogène McCarthery... du clan des McLeod !
    En ce beau jour de mai 1962, Imogène, secrétaire à l'Amirauté, vient une nouvelle fois d'humilier son supérieur hiérarchique. C'est l'esclandre de trop. Dans le bureau de Sir Woolish, le grand patron, Imogène s'attend à être congédiée...
    Contre toute attente, elle se voit confier une mission secrète : convoyer les plans d'un nouvel avion de guerre jusqu'à un contact en Ecosse, à Callander... son village natal !
    Quelle coïncidence !... Quel signe du destin !...
    Imogène agent secret... Voilà de quoi en remontrer à ces satanés Anglais et faire la fierté de son défunt père.
    En montant dans le train qui la ramène au pays, Imogène ignore ce qui l'attend : une machination qui la dépasse, trois agents bolchéviques sans pitié, mais surtout, Samuel Tyler, son grand amour de jeunesse brisé par un terrible secret.


    Bande-Annoce :


    Critique.
    Les critiques que j'ai lu ou entendu de ce film étaient très mauvaise. Mais cela ne m'a pas empêché d'aller le voir.
    Pour être honnête, j'étais pliée en deux pendant tout le film ! Je me suis vraiment bien amusée !
    Ce film est à mi chemin entre la pièce de théâtre et le dessin-animé. Des acteurs qui sur-jouent, certes, mais qui donnent tout son charme à ce film ! Les péripéties sont digne d'un dessin animé.Bref, une comédie poussée dans le burlesque qui a du rythme !
    Les fans du pays écossais ne seront pas déçut : lande, loch, bière et mouton ! Sans oublier le rugby qui tacle souvent les fançais. Et n'oublions pas les kilts ! D'ailleurs, Lambert Wilson le porte avec classe !!!
    Je comprends pourquoi les critiques de cinéma n'aient pas apprécié. Premier film de Charlot et Magnier, ils se sont fait plaisir quit à faire des scènes super niaises...mais c'est pas grave, j'aime !!!! On voit aussi des petites fautes (mouvement de caméra) de débutant...sans que cela ne gêne....
    Par contre, je suis bien incapable de comparer ce film avec le livre dont il est inspiré. Mais les réalisateurs ont bien dis qu'ils n'avaient respecté l'oeuvre à 100%....
    En tout cas, je pense que ce film mérite d'être vu, surtout si vous êtes sur les nerfs !

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